lundi 30 juin 2014

100% cachemire


Ce week-end, j'ai loué un film à la demande, j'ai pris "100% cachemire", que je voulais voir au moment de sa sortie ciné et que j'avais loupé à l'époque.

Grosse déception par rapport à ce que laissait supposer la bande-annonce ! 

C'était très peu drôle, la fin est sans queue ni tête, les acteurs médiocres, le scénario loupé ! 

Le film choisit d'aborder la question de l'adoption, sous un angle assez inattendu.

Le pitch, très succinct : Aleksandra, directrice d'un magazine de mode et Cyrille, galeriste, adoptent Alekseï, un petit garçon russe de sept ans.

Ariane



"Ariane" est un joli film, qui semble désuet de nos jours, mais tout de même sympathique.

Côté casting, il réunit la sublime Audrey Hepburn,le talentueux  Gary Cooper et l'inoubliable Maurice Chevalier.

C'est un happy end pas surprenant, mais comme on les aime ; ) 

Le pitch  :Claude Chavasse, veuf et détective privé, habite un modeste appartement du 5e arrondissement de Paris avec sa fille Ariane, élève au conservatoire de musique. Claude reçoit Monsieur X, un nouveau client qui lui a confié la mission d'épier les faits et gestes de sa femme qu'il soupçonne d'avoir une liaison extraconjugale. Lorsque Claude lui confirme l'adultère de son épouse avec Frank Flannagan, célèbre homme d'affaires américain mûrissant, mais fameux don Juan, qui loue toujours la même suite au Ritz lors de ses séjours parisiens, Monsieur X prend un coup de sang et menace d'aller tuer son rival sur-le-champ. Ariane, séduite par la prestance de Flannagan qu'elle voit fréquemment en photo dans les magazines, veut le prévenir et opte pour la solution radicale : elle se rend au Ritz. Comme le mari est déjà sur les lieux, un stratagème s'impose dans l'urgence : Ariane prend la place de Madame X qui n'a que le temps de s'échapper par la fenêtre quand son mari fait irruption dans la suite avec son revolver à la main. Lorsqu'il découvre Ariane au lieu de sa femme dans les bras de Flannagan, Monsieur X est apaisé et confus. Cependant, Ariane est tombée sous le charme du don Juan qui lui propose un rendez-vous. Pour se mettre au diapason du cynique séducteur, elle s'invente un personnage d'aventurière collectionnant les amants sans jamais s'attacher, ce qui intrigue Frank d’autant plus qu’elle refuse de lui dévoiler son identité (mais sachant que son prénom commence par la lettre « A », il la surnomme « Adolphe » ou « Brindille ») et ils se retrouvent régulièrement l'après-midi lorsque celui-ci est à Paris. La supercherie d'Ariane est éventée par son père alerté par de nombreux indices semés par les mensonges de sa fille. Comprenant qu'Ariane est profondément amoureuse de Flannagan, Claude révèle la vérité à ce dernier qui, pris de scrupule, veut d'abord fuir puis réalise qu'il est sincèrement épris et épouse la jolie menteuse parisienne.

vendredi 27 juin 2014

Hitman



Hier soir, j'ai vu "Hitman", qui passait à la TV.


Je me doutais bien que cela ne me plairait sans doute pas, mais je suis toujours curieuse de sortir de mes genres de films habituels, afin d'en tester de nouveaux. Ainsi, si je n'aime pas, je pourrai le justifier en toute connaissance de cause ; ) Pas bête la nana ! 

Ce film ne m'a pas trop passionnée, et je pense que cela ne m'a pas plu mais, paradoxalement, je suis restée scotchée devant du début à la fin ! 

Pour vous, messieurs, on retrouve la sublime Olga Kurylenko (vue aussi dans "Quantum of solace"). Côté messieurs, on retrouve le séduisant Dougray Scott, que j'avais découvert et adoré aux côtés de Drew Barrymore, dans "Ever after, une histoire de Cendrillon". 

Et dans le rôle principal, l'acteur Timothy Olyphant. J'ai aussi regardé jusqu'à la fin car la tête de l'acteur me disait quelque chose, et j'ai cherché où, dans quels autres films, j'avais pu le voir. Et j'ai fini par trouver, ma ténacité et mon acharnement ont payé : je l'avais vu dans "Girl next door" (j'adore ce film, et je me le repasse régulièrement!) ! 

Le film est adapté d'un jeu vidéo.

Le pitch, en deux mots ? Enrôlé et conditionné par une organisation criminelle internationale connue du seul nom de « l'Organisation », l'agent 47 est le meilleur tueur à gages parmi tous ceux qui ont été formés à ses côtés. D'importantes sommes d'argent lui sont versées pour qu'il accomplisse les meurtres les plus délicats. Qu'il s'agisse d'étrangler un terroriste dans une ruelle à l'aide de sa corde de piano légendaire, ou d'abattre un président dans la foule en pleine campagne électorale, l'agent 47 effectue son travail sans jamais laisser de traces, sans bavures.

jeudi 26 juin 2014

Les Gens heureux lisent et boivent du café


Hier soir, j'ai lu un livre. Oui, ce sont des choses qui m'arrive parfois, de lire des livres... ; ) 

Je pense que je peux le classer sans hésiter dans la catégorie des coups de coeur, vu que je l'ai lu d'un trait, sans le poser !

D'aucun vont dire, mais elle n'a pas regardé le match ? ben non elle n'a pas regardé le match, car elle s'en fout, fout, fout, et encore elle est polie ! 


Il s'agit de ce livre : 


"Les Gens heureux lisent et boivent du café", d'Agnès Martin-Lugand, est un livre qui avait fait beaucoup parlé de lui l'an dernier. Très présent en librairies, en grandes surfaces et grands surfaces spécialisées, je l'avais découvert pour ma part via des affiches sur des kiosques à Aix. C'est rare qu'un livre bénéficie d'une telle publicité ! 

Un an après (je sais, j'arrive souvent après la bataille ; )), j'ai eu la possibilité de me le faire prêter. A vrai dire, j'étais moyennement enthousiaste avant de l'ouvrir. Impression qui avait vite laissé place à la surprise la plus totale ! Le livre m'a totalement entraîné, les pages ont filé entre mes doigts, les mots et les phrases coulaient gentiment et paisiblement du livre à moi. 

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre, je me disais encore une page, bon je vais jusqu'au prochain point, ou la fin du chapitre, et finalement, je l'ai dévoré d'un coup ! 



Les gens heureux lisent et boivent du café est le nom du café librairie tenu par Diane. Cette dernière subit dès les premières pages du livre un grand malheur, elle perd son mari et sa fille. Suite à cela, elle va décider de partir tenter de se reconstruire en Irlande, essayer de retrouver l'envie de vivre, réapprendre à se battre pour rester en vie. Mais y parviendra-t-elle, malgré ce voisin hargneux qui va tout faire pour lui empoissonner la vie ?

Ce livre n'est pas léger, il n'est pas drôle la plupart du temps. Il ne bascule pas non plus dans l'autre extrême, il est émouvant et triste, sans tomber toutefois dans le pathos. Personnellement, il m'en a rappelé un autre, un peu sur le même thème, lu il y a quelques années, et que j'avais beaucoup aimé aussi : "Toute la beauté du monde", de Marc Esposito. Je vous conseille aussi ce livre, ou l'adaptation ciné qui en a été tirée, avec Marc Lavoine dans le rôle principal.

En guise de mot de la fin, hormis vous recommander chaudement la lecture de ce roman, je dirai que les gens heureux, selon moi, lisent et boivent...du thé ; ) 

The Constant Gardener


Hier soir, j'ai regardé ce film, qui passait à la télé.

J'ai détesté ! 


Rien ne m'a intéressée du début à la fin, je n'ai pas aimé l'histoire, pas non plus aimé les personnages ou le jeu des acteurs.

Et manque de bol, il faisait plus de deux heures ! C'est toujours comme ça, sinon ce n'est pas drôle remarquez... ; ) 

Le pitch, en deux mots, pour ceux qui auraient quand même envie de le voir ?

Le diplomate britannique Justin Quayle vit au Kenya avec sa femme Tessa, militante altermondialiste. Celle-ci est en relation avec Hippo, une ONG allemande enquêtant sur les pratiques de l'industrie pharmaceutique, et prépare pour elle un rapport sur KDH et ThreeBees, deux entreprises impliquées dans la lutte contre le Sida au Kenya.
Un jour, Tessa est retrouvée assassinée dans la brousse avec son collègue Arnold, un humanitaire noir belge de l'ONG « Médecins de la Terre ». Secoué par les rumeurs d'infidélité de sa femme, Justin est poussé à découvrir les circonstances réelles entourant cet assassinat.

mercredi 25 juin 2014

Triple alliance

Hier soir, je suis allée au cinéma avec une amie voir "Triple alliance".



En allant au ciné la fois d'avant, on était tombées sur la bande-annonce qui nous avait bien fait rire, et on s'était dit que ce serait l'occasion d'une nouvelle soirée entre filles ! 

"Triple alliance" ne se prend pas pour ce qu'il n'est pas, à savoir un grand film, ni même un bon film. C'est un film sympa, qui détend et permet de bien finir la journée. C'est drôle et original, et on passe un bon moment devant ! 

Le pitch en quelques mots ? Trois femmes vont s'unir (la triple alliance donc, ce qui explique le titre) pour mettre à mal un homme qui les a trompées toutes les trois ; l'une est la femme, et les deux autres sont les maîtresses, et chacune ignorait forcément l'existence des deux autres...

Situations cocasses au programme. Attention, la vengeance est un plat qui se déguste...brûlant ! Et ce pauvre homme aurait dû mieux réfléchir avant de se frotter à ces trois tornades blondes ! 

NB : Mesdemoiselles, film à aller voir pour fantasmer sur la garde-robe et l'appart de Cameron Diaz ! 

mardi 24 juin 2014

Les Visages

Ce week-end, j'ai eu la chance d'aller visiter, avant qu'elle ne soit close, l'expo sur "Les Visages", à La Vieille Charité, à Marseille.



Je crois que La Vieille Charité est un ancien hospice, ou hôpital, au coeur du quartier du Panier, et cet édifice est devenu un lieu d'exposition.

Beaucoup d'amies avaient été voir cette expo, et toutes étaient revenues enchantées, et m'avaient intriguée ! Je ne voulais surtout pas la louper après cela ! 

Je n'ai pas aimé tout ce que j'ai vu. Les supports étaient mélangés, et les photos et autres clichés côtoyaient les tableaux et les sculptures.

Mais j'ai eu quelques coups de coeur que je voudrais partager avec vous.


Thomas Chimes, Rimbaud


J'ai beaucoup aimé aussi le Portrait de jeune fille, de Léonor Fini, mais je ne le trouve pas pour vous le montrer : (


Cette sublime photo de Valérie Belin, Métisse


Ou encore, le travail de Laetitia Morenaar, qui séduira sans doute les fans de Hopper ; ) 

Summer Evening


Sunlight at the cafeteria



lundi 23 juin 2014

La Ritournelle



Même s'il réunit deux acteurs que j'adore, Isabelle Huppert et Jean Pierre Darroussin, "La Ritournelle" appartient à ce courant de films français clairement pas passionnants...

Je n'ai pas trop aimé, et même la présence du charmant Pio Marmaï ne suffit pas à me faire changer d'avis...

jeudi 19 juin 2014

Le Bonheur ne tient qu'à un fil...

Hier soir, je suis allée au cinéma avec une amie voir "La Liste de mes envies".



L'an dernier, nous avions toutes lu le roman éponyme de Grégoire Delacourt au café lecture que je fréquente, et il avait sacrément fait parlé de lui, donnant lieux à des débats parmi les plus animés qu'on ait pu voir ! 

J'ai bien aimé ce film ! 

Je ne me souvenais que des grandes lignes de l’histoire, que j'ai donc redécouvert.

Le pitch ? Jocelyne (Mathilde Seigner) est une femme qui mène une vie simple à Arras. Elle est mariée à Jo (Marc Lavoine), qu'elle aime profondément, ils ont deux enfants, peu de moyens, elle tient une mercerie, "Les Dix Doigts d'or", sort avec ses amies esthéticiennes, les jumelles qui ne se ressemblent pas, Danielle et Danielle (campées par les humoristes Frédérique Le Bel et Virginie Hocq) (non non vous avez bien lu, il n'y a pas d’erreur, les jumelles portent le même prénom toutes les deux, preuve que l'on peut tout se permettre au cinéma et en littérature ; )), elle s'occupe de son père à la mémoire défaillante (Patrick Chesnais), et cela suffit à son petit bonheur, comme elle dit.

Elle donne beaucoup aux autres, est très intègre,et se préoccupe très peu d'elle-même.

Deux événements vont se produire dans sa vie. Le premier est le blog que sa fille va lui créer pour sa boutique, qui va accroître la notoriété et la fréquentation de son commerce. Le second est sa participation au loto, entraînée par les jumelles, qui sont fans, accros et jouent en creusant les probabilités et "écoutant les chiffres".

Jocelyne va gagner un peu plus de 18 millions au loto. Et jusqu'au dernier moment, elle ne va pas aller réclamer son dû. Elle a peur.

Elle a peur du changement, peur que les gens la rejettent, ne la voient plus de la même façon, peur de perdre son petit bonheur qui lui convient si bien.

Lorsqu'elle monte à Paris chercher son chèque à la française des jeux, rebaptisée pour l’occasion "EDJ", il y a une scène très drôle lorsqu'elle rencontre la psychologue ( l'inénarrable Julie Ferrier). Celle-ci la prévient que cet argent est à la fois une chance et un grand malheur, et qu'elle risque de devenir très aimée...Rien d'inventé, puisque je crois qu'effectivement, les gagnants du loto ont droit à un suivi psychologique.

Rentrée à Arras, Jocelyne ne dira rien. Elle ne dira rien à son mari, ni à ses enfants, ni à ses amis. Elle continuera à mener son petit train quotidien, et se contentera de sa routine, entre sa mercerie, son père, son blog, son mari qu'elle soutient dans sa carrière professionnelle, et ses enfants sur qui elle veille. Auparavant, elle aura pris soin de cacher le chèque : d'abord au sein des pages d'un roman (le pavé "Belle du seigneur", d'Albert Cohen, que je vous conseille en passant, très beau livre, quoique difficile), puis sous la semelle d'une de ses chaussures, dans le placard, finalement.

Et parallèlement à cela, elle entamera une "liste de ses envies" (d'où le nom du roman et du film).Elle noircira les pages d'un carnet d'envies aussi futiles qu'indispensables, de choses nécessaires, et d'autres moins, de caprices et de renouveau.

Mais ce nouveau départ potentiel ne lui sera pas accordé car un jour, Jocelyn va chercher la chaussure dans la placard, et le chèque a disparu, en même temps que son mari, soi-disant parti en stage professionnel...

Je ne raconterai pas la suite et ne dévoilerai pas non plus la fin de l'histoire.

Je vous dirai seulement que ce film est plein de tendresse,et d'humanité.Il nous interroge sur des tiraillements émotionnels, et aborde la question de sentiments humains complexes, et de choix. Il parle bien sur aussi de la peur du changement, et de tout ce qu'il entraîne. Il raconte également une vie brisée, une confiance trahie, une femme meurtrie.

Pour l'anecdote, je vous préciserai que si le livre avait donné lieu à un débat si houleux au café lecture, c'est que la plupart des femmes de l'assemblée présentes ne comprenaient pas qu'elle n'ait pas encaissé ce chèque, afin de gâter ses proches et se faire plaisir, et qu'au lieu de cela, elle choisisse de se complaire dans sa petite vie si modeste. D'autres, au contraire, comprenaient les peurs qu'elle pouvait éprouver à l'idée de ce bouleversement dans sa vie, qui viendrait remettre en cause tout ce qu'elle avait connu jusque là.

Pour revenir au film, suite à sa triste découverte, Jocelyne, anéantie, devra se relever et réapprendre à vivre, suite à un dénouement final tout de même inattendu.En cela, elle sera aidé par le délicat Julien Boissellier, que j'avais découvert et adoré dans "J'me sens pas belle".

Trois phrases qui m'ont touchée, car très vraies, et que je retiendrai de ce film, que je vous encourage à aller voir : 

"Je suis aimée mais je n'aime plus"
"Je ne l'aime pas comme je l'aimais lui"


"Dans la vie, on n'aime jamais deux fois pareil. Mais on avance, bien obligé"

...

mercredi 18 juin 2014

Sous les jupes des filles !


Il y a quelques années, Souchon chantait : "Rétines et pupilles,

Les garçons ont les yeux qui brillent
Pour un jeu de dupes :
Voir sous les jupes des filles"...

Personnellement, j'aurai plutôt intitulé le film "Dans la tête des filles" ; ) .

"Sous les jupes des filles" est un film fait par une femme, sur les femmes, et pour les femmes, ne nous mentons pas. Bien que, j'aurai tendance à conseiller aux hommes d'aller le voir, tellement il est juste et vrai ! 

Le film retrace des histoires de femmes, aux problématiques et aux vies très éloignées les unes des autres. On voit ainsi la femme de tête, la femme trompée (c'est d'une banalité à l'heure actuelle), la femme lesbienne, la femme mère, la femme femme, la femme qui vit sa sexualité, la femme perdue dans l'existence, la femme émotive et contrôlée par ses émotions (dans laquelle je me suis totalement reconnue), ou encore la femme qui refuse de vieillir.

Dans ce film, chacune se débat comme elle peut avec son histoire, et chacune est belle à sa manière. On y croise des physiques très différents : la femme-enfant (Vanessa Paradis), la pulpeuse (Laetitia Casta), la taille mannequin (Alice Taglioni), deux femmes aux physiques plutôt ingrats mais au charme atypique (les incomparables Sylvie Testud et Julie Ferrier), l'aguicheuse (Audrey Dana), la beauté froide (Audrey Fleurot), la beauté nature (Géraldine Nakache) et la tout de même très vieillissante et bouffie (cela serait de la mauvaise foi de ne pas le souligner) Isabelle Adjani.

Aux côtés de ses femmes, quelques hommes tentent de s'adapter : Alex Lutz (pas très en valeur dans le film selon moi, et souvent nu alors qu'on ne lui demandait pas), le trèèèèèèèèèèèèès séduisant Pascal Elbé (miam miam dans la première scène où il apparaît torse nu ; ) ! ), et le très remarqué Stanley Weber, même s'il a plus d'apparitions que de réels répliques.

vendredi 13 juin 2014

Pour elle


"Pour elle" est un film stressant ! C'est le premier adjectif que j'ai envie de lui attribuer ! 

Le réalisateur maintient le spectateur en tension tout le long ! Ce sentiment est encore accentué je trouve par des scènes sombres, peu de lumière dans le film, des personnages habillés de noir souvent.

L'histoire est portée par Vincent Lindon, mari amoureux, qui fera évader de prison sa femme, Diane Krueger, emprisonnée à tort pour un meurtre qu'elle n'a pas commis.

C'est une histoire d'amour peu ordinaire, le combat d'un mari qui tente de faire réhabiliter sa femme, et qui, ayant échoué, envisagera une solution plus radicale.

Cet homme va risquer sa vie pour elle, et le "monsieur tout le monde" prof de français va se transformer en dangereux kidnapper déterminé que rien n’arrêtera...

jeudi 12 juin 2014

Nowhere boy



J'ai bien aimé ce film, qui raconte la vie de John Lennon, ou plutôt sa jeunesse.
L'accent est mis sur deux thèmes : les relations avec sa mère, et sa tante, qui est en fait sa mère adoptive en quelques sortes ; autre thématique mise en lumière, les débuts de Lennon en musique, et à la guitare plus précisément.

Petit clin d’œil aux Beatles dans ce film, car le groupe que fonde John, The Quarrymen, voit bientôt parmi ses membres arriver Paul Mc Cartney, ainsi que Georges Harrison...

Je me suis régalée avec la BO rock, qui reprend des vieux standards d'Elvis, ou encore de Jerry Lee Lewis ! 

Côté casting, le rôle principal est tenu par un acteur fort mignon, mais que je ne connaissais pas, Aaron Taylor-Johnson. Et en allant voir sa filmographie sur le net, je réalise que je l'ai vu dans "Anna Karenine" et "Savages"...

A ses côtés, on retrouve l'inégalable Kristin Scott Thomas.

Je recommande ce film ! 

mardi 10 juin 2014

Coups de cœur west coast swing !

Pour ceux qui l'ignoreraient, j'ai fait un an et demi de west coast swing, danse que j'adore mais que pour le moment je ne pratique plus, pour diverses raisons...

Toutefois, mon partenaire de danse de cœur, que beaucoup connaissent, est venu prendre un verre récemment, et il m'a fait écouter quelques nouveautés sur lesquelles on danse ces derniers temps, et que j'ai adorées ! 

Je vous les livre ici en coup de cœur ! 

Petite anecdote : la chanson du premier lien, j'étais persuadée qu'elle s'appelait "Lift you up" ; ) 












Bonne découverte, et/ou bonne écoute ! 

Coup de cœur kizomba !



Ce week-end, je suis allée danser, cela m'a fait un bien fou, cela faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé ! 

Cela ne faisait que deux ans après tout que je disais que je souhaitais tester une soirée dansante là bas... ; ) Comme quoi tout arrive ! 

C'était une soirée rock salsa, mais comme prévu, cela a dérivé aussi vers d'autres danses latines, telles que bachata (je débute mais j’adore ! ), cha cha cha, et kizomba ! 

La kizomba est une danse angolaise, mélange de tango et de zouk, très à la mode depuis quelques années je crois, mais que personnellement je n'ai découvert que l'an dernier, lors d'un week-end pour les trente ans d'une amie ! 

C'est une danse que j'avais adoré regarder, et que j'adorerai tester (j'y songe pour l'an prochain). Et ce week-end, je l'ai vu dansée par un couple, deux très bons danseurs, et la danse du gars en particulier m'a frappée, et je crois que ma mâchoire s'est décrochée aux premiers mouvements de hanches qu'il a fait... ; ) 

Ceux et celles  qui n'ont jamais baigné dans le monde de la danse ignorent à quel point un bon danseur est envoûtant à regarder ! On ne peut pas en détacher son regarder, et la danse finie, on n'a qu'une envie, l'inviter à danser. Danser avec lui, partager ce pti truc si particulier dû à la danse, à la fois unique et intime, et voir si ce que l'on a ressenti en regardant la personne danser se reproduit lorsque l'on est à notre tour dans ses bras...
Après on ose ou pas, moi je n'ai pas osé, peur de ne pas avoir eu le niveau (et même certitude dans ce cas là car malheureusement, je n'ai encore jamais appris cette danse : ( )...

Bref, j'ai ressenti quelque chose d'unique, et en attendant, je vous livre le morceau sur lequel il a dansé, morceau que je ne cesse d'écouter depuis, tellement il est hypnotique et sensuel ! 





Bonne écoute, je vous laisse avec "Magico" , de Mike Mendes ! 



Un long dimanche de fiançailles


Je vous l'avais annoncé il y a quelques billets de cela, en vous parlant de "Delicatessen", j'ai retenté un film de Jean-Pierre Jeunet : "Un long dimanche de fiançailles"...

J'ai détesté ce film, pas pour l'univers de Jeunet, que je n'ai pas retrouvé ici, mais pour l'histoire, la réalisation, etc.

Je me suis profondément ennuyée tout le long, et le film est long justement, plus de deux heures ! Mais bon, je ne l'avais jamais vu, je n'avais pas lu le livre, et n'ayant pas l'intention de le faire, je me suis dit que j'allais voir ce film dont j'avais entendu de si bons échos par une amie fan ! 

Par contre, casting incroyable au rendez-vous ! 

Du côté, des femmes, pour commencer (galanterie oblige, messieurs ; )), on dénombre Audrey Tautou, dans le rôle principal, accompagnée de Marion Cotillard, Julie Depardieu ou encore Jodie Foster (rien que ça ! ) ! 

Du côté des hommes, ce n'est pas mal non plus ! Gaspard Ulliel et Clovis Cornillac côtoient Albert Dupontel, Ticky Holgado, Dominique Pinon (un des acteurs fétiches du réalisateur), mais encore Jean-Pierre Darroussin, Jean-Paul Rouve, André Dussollier (que j'adore et qui ne me déçoit jamais ! ), Jean-Claude Dreyfus (qui tient le rôle principal dans "Delicatessen", rappelez-vous ; ) ), Tchéky Kario, Bouli Lanners (que j'ai personnellement découvert dans "Lulu femme nue") et Michel Vuillermoz (acteur dont je connais le visage mais oublie constamment le nom) ! 

La Voleuse de livres



La Voleuse de livres est un livre que j'avais sur mes tables jeunesse à l'époque où j'étais libraire à la Fnac Il est d'abord sorti en jeunesse, puis il est sorti en adultes, et je ne l'avais jamais lu jusqu'à l'an dernier.
J'avais beaucoup aimé le livre ! 


Aussi, lorsque j'ai vu qu'il était adapté au ciné (encore un ! ), je me suis dit qu'il fallait que j'aille le voir, pour comparer ! Malheureusement, il n'est pas resté assez longtemps à l'affiche et je l'ai raté....

C'était sans compter sur un ami cinéphile qui me l'a donné, heureux hasard ! Et j'ai donc pris le temps de le regarder ce week-end (je l'ai depuis février à côté de mon lecteur DVD)...

J'ai beaucoup aimé ce film, il est presque aussi bien que le livre, dont il fait propose une adaptation fidèle, avec toutefois quelques coupes dans l'histoire (malgré cela, il fait quand même 2h15)...

vendredi 6 juin 2014

A vous de deviner...

En ce moment, je manque cruellement de films à regarder : ( ! 



Du coup je me repasse des saisons de séries déjà vues.

Heureusement que ma sœur et un de mes best friends ont des vidéothèques immenses dans lesquelles je peux puiser, et qu'au boulot, on vient de recevoir plein de nouveaux films (bon OK, sur le lot, il n'y en a que deux que je n'ai pas encore vus, et cette "erreur" sera réparée ce week-end), ça atténue un peu ma douleur ; ) 

Alors, à vous de deviner dans quelle série je me suis relancée depuis hier soir.

Petit indice, elle est truffée de belles femmes, et de jolis garçons... ; ) 

Hum, c'est peut-être un peu mince comme indice en terme de série. Vu que la tête des acteurs est un des critères...

Alors autre indice, une partie du générique : 
"And who am I ? That's a secret I'll never tell ! You know you love me. xoxo".

Alors ? Une idée ?


Delicatessen


Jean-Pierre Jeunet est un réalisateur que j'ai découvert il y a longtemps, avec, je crois, "La Cité des enfants perdus". Je ne me souviens plus très bien de ce film en écrivant ce billet, mais je crois seulement me souvenir que je n'avais pas trop aimé...

J'avais ensuite vu et revu et adoré "Amélie Poulain" ! 

Puis, j'avais voulu approfondir, et j'avais aussi visionné "Micmacs à tire-larigo", que j'avais détesté ! 

Parallèlement à cela, j'avais depuis longtemps envie de voir "Delicatessen". Ce film m'intriguait, je l'avais souvent vu mentionné. je ne savais pas qu'il était de Jeunet, et je ne sais pas pourquoi, je l'avais associé au film "Festen", sans doute dû à la consonance semblable des deux titres.

Hier soir, j'ai vu "Delicatessen". Oui je sais, pour ceux qui ont lu le billet précédent, j'ai aussi vu "les 4 fantastiques", mais hier, j'ai fini tôt, et j'ai aussi eu le temps de lire, regarder une série, etc, lol ! 

Donc, pour en revenir au film, car c'est quand même de lui qu'il est censé s'agir dans ce billet, j'ai détesté lol ! 

J'ai détesté cette ambiance malsaine, glauque, ce film aux tons jaunâtres ! 

J'ai détesté le côté parfois onirique de la chose, alors que ce même réalisateur me l'a fait adorer dans "Amélie Poulain" ! 

Du coup, la suite de ce billet est qu'un autre pour parler d'un autre film de ce réalisateur suivra, car la semaine prochaine, il passe "Un long dimanche de fiançailles", que je n'ai toujours pas vu (ni lu), et je compte bien le regarder, afin de ne pas rester sur la désastreuse expérience cinématographique d'hier !  ; ) 

Les 4 fantastiques et le surfer d'argent


Il y a quelques temps, j'avais vu à la télé "Les 4 fantastiques", et j'avais bien aimé ! 

Du coup, quand j'ai vu qu'hier soir, j'étais chez moi, et qu'il passait la suite, je me suis mise devant.

J'ai bien aimé aussi ! J'ai retrouvé un peu de l'humour que j'avais apprécié dans le premier, et là, il y a, en prime pour nous mesdames, le beau Julian Mc Mahon (alias Christian Troy, dans "Nip Tuck", pour les fans de la série). ; ) !!!

mardi 3 juin 2014

Robert Desnos



Récemment, j'(ai terminé un roman de PPDA, qu'il a coécrit avec son frère : "J'ai tant rêvé de toi". Personnellement, j'ai tant détesté ce roman... ; ) 




Malgré tout, grâce à lui, j'y ai redécouvert le poète Robert Desnos, à travers de nombreux poèmes à lui.

Je vous en livre ici quelques uns que j'ai tout particulièrement appréciés ; ) 

La Rose

Rose rose, rose blanche,
Rose thé,
J’ai cueilli la rose en branche
Au soleil de l’été
Rose blanche, rose rose,
Rose d’or,
J’ai cueilli la rose éclose
Et son parfum m’endort. 

Le Pélican

Le capitaine Jonathan 
Étant âgé de dix-huit ans
Capture un jour un pélican 
Dans une île d'Extrême-orient.
Le pélican de Jonathan 
Au matin, pond un œuf tout blanc 
Et il en sort un pélican 
Lui ressemblant étonnamment.
Et ce deuxième pélican 
Pond, à son tour, un œuf tout blanc 
D'où sort, inévitablement
Un autre, qui en fait autant.
Cela peut durer pendant très longtemps 
Si l'on ne fait pas d'omelette avant.

Coups de cœur musicaux

Deux coups de cœur musicaux, le premier découvert dans le film "L'Arnacoeur", le second, pas forcément récent ; ) ...





lundi 2 juin 2014

Soirée Happy End



J'ai toujours aimé les happy end, comme la plupart des gens, peut-être, et comme la plupart des filles, sans doute ! 

Hier soir, je me suis donc fait une soirée happy end ! 

A la base, je ne pensais regarder qu'un film, mais lorsqu'il s'est terminé, et que j'ai vu lequel était proposé en guise de suivant,je n'ai pas pu résister...

Le premier film que j'ai revu avec plaisir, car déjà vu au ciné, c'était Sex Friends, porté par le duo Ashton Kutcher/Nathalie Portman. 

Beaucoup d'humour et de scènes assez drôles, et le plus mignon des petits chiens que j'ai jamais vu ! 

De ce film, il faut retenir deux choses. La première, c'est que Natalie Portman est sublime dans tous ses films (la saleté! ). Et la seconde, c'est plus une question à se poser que quelque chose à retenir : le sexe régulier sans sentiment existe-t-il vraiment, ou l'un des deux se mentira-t-il forcément à lui-même ?...

Là, j'avais prévu d'aller me coucher, lorsque j'ai vu qu'ils avaient programmé une énième rediffusion de...L'Arnacoeur ! 


J'adore ce film, et celui-ci aussi je l'ai revu avec grand plaisir, après l'avoir découvert au cinéma ! 
Le tandem Vanessa Paradis (sublime elle aussi) versus Romain Duris fonctionne bien. 
C'est drôle, c'est inattendu, gros clin d’œil au fan de Dirty Dancing ! 

Excellents dans leurs rôles respectifs également, les comiques François Damiens et Julie Ferrier.

Et dans ces deux films, des jolis happy end qui donne envie d'y croire encore ; ) 



Maléfique



Ce week-end, je suis allée au ciné avec une amie et son frère, et nous sommes allées voir "Maléfique". La ba était sympa, mais j'étais partagée : allais-je aimer ce "Belle au Bois Dormant" à la sauce "Blanche-Neige et le chasseur" ?

En fait oui, j'ai beaucoup aimé car l'accent est mis sur les ressentis et les émotions, et non sur les combats ! 

On y découvre une Angelina Jolie différente, envoûtante, ensorcelante, mais aussi captivante, blafarde et attachante ! Elle campe un personnage énigmatique, aux traits anguleux.

Le film propose de très belles images, et encore je ne l'ai vu qu'en 2D, et une Aurore un peu niaise par contre,  jouée par une des sœurs Fanning je crois, je ne sais plus si c'est Elle ou Dakota...

On revisite l'histoire de la Belle au Bois Dormant, racontée du point de vue de Maléfique, qui n'a pas toujours été si Maléfique que cela...

Je vous encourage à aller voir ce film, avec une très belle musique de fin (que je soupçonne chantée par Angelina Jolie), et que tous reconnaîtront.

La morale  du film ? L'amour sincère existe bien, mais il n'est pas toujours là où on l'attend...