lundi 29 septembre 2014

Mission impossible : protocole fantôme

Hier soir, j'ai vu "Mission impossible : protocole fantôme" ! 


J'ai bien aimé ce film, il dure 2h15 mais on ne s’ennuie pas ! 

J'avais bien aimé le premier, et le deuxième, je n'ai pas encore vu le trois, mais ça ne saurait tarder...

Côté casting, on retrouve bien sûr Tom Cruise, dans le premier rôle/ A ses cotés, surprise, Léa Seydoux, que l'on ne s'attend pas forcément à voir dans une super production américaine ! Mais aussi Simon Pegg et Jérémy Renner.

Le pitch : Impliquée dans l'attentat terroriste du Kremlin, l'agence Mission Impossible (IMF) est totalement discréditée. Tandis que le président lance l'opération "Protocole Fantôme", Ethan Hunt, privé de ressources et de renfort, doit trouver le moyen de blanchir l'agence et de déjouer toute nouvelle tentative d'attentat. Mais pour compliquer encore la situation, l'agent doit s'engager dans cette mission avec une équipe de fugitifs d'IMF dont il n'a pas bien cerné les motivations…

J'aime aussi le côté "gadgets" que l'on retrouve aussi dans les James Bond ; ) 

Hippocrate

Ce week-end, sur un coup de tête, je suis allée au ciné, voir "Hippocrate" ! 


J'ai beaucoup aimé ce film, la bande-annonce m'avait donné envie d'aller le voir, et en fait, je l'ai trouvé encore mieux que ce que la bande-annonce laisse présager.

L'histoire nous fait suivre les début d'un jeune interne en hôpital, dans le service de son père. On y relate ses rapports avec les autres internes, ses rencontres avec le personnel hospitalier, ses premiers patients, ses premières erreurs...

Le pitch : Benjamin va devenir un grand médecin, il en est certain. Mais pour son premier stage d’interne dans le service de son père, rien ne se passe comme prévu. La pratique se révèle plus rude que la théorie. La responsabilité est écrasante, son père est aux abonnés absents et son co-interne, Abdel, est un médecin étranger plus expérimenté que lui. Benjamin va se confronter brutalement à ses limites, à ses peurs, celles de ses patients, des familles, des médecins, et du personnel. Son initiation commence.

Je vais reprendre à mon compte deux critiques parues dans la presse au sujet de ce film car je les trouve juste : 
"Une piqûre de bonheur" ! 
"La prescription à suivre" ! 

vendredi 26 septembre 2014

jeudi 25 septembre 2014

A l'origine

Hier soir, j'ai vu un bon film français proposé par Arte (cette chaîne propose souvent de bons films, et d'intéressants cycles thématiques, ou d'auteurs) : "A l'origine" ! 



J'ai beaucoup aimé ce film, assez incroyable, avec, comme d'habitude, une performance étonnante de François Cluzet (j'adore cet acteur) ! A ses côtés, Emmanuelle Devos (elle par contre elle m'insupporte ! ).

Le film raconte comment un petit escroc débarque dans une ville dans laquelle il va se faire passer pour un chef de chantier aux yeux de tous. Il remettra en route un chantier d'autoroute abandonné, passant ainsi aux yeux de tous pour un sauveur, un messie...

Le film est un peu long (2h10), mais bien construit; Il est inspiré de faits réels. 

Le film se termine en annonçant qu'à ce jour, cet escroc demeure toujours non retrouvé par les services de police...

mercredi 24 septembre 2014

Sans laisser de traces

Hier soir, suite à "Mince alors", mes yeux ne se fermaient pas, j'ai donc décidé d’enchaîner sur le second film proposé par M6, en seconde partie de soirée : "Sans laisser de traces".



Je ne l'ai regardé d'un œil, car je me suis rapidement aperçue que je l'avais déjà vu. Et ça ne nécessitait pas un second visionnage très attentif, surtout quand on se rappelle bien de l'intrigue, et de son dénouement...Film donc déjà vu, mais pas encore blogué (sans doute vu avant la création du blog).

Côté casting, Benoït Magimel, Julie Gayet, Léa Seydoux et François-Xavier Demaison se donnent la réplique, dans ce huis clos intéressant, qui fait monter petit à petit le suspens set la tension du spectateur...

Le pitch : A bientôt quarante ans, Etienne, sur le point de prendre la présidence de son groupe, veut soulager sa conscience d'une injustice qu'il a commise au début de sa carrière et qui, précisément, l'a lancée. Convaincu par un ami de jeunesse, il se rend chez l'homme qu'il a lésé à l'époque pour le dédommager. Mais les choses tournent mal et l'homme est tué par son ami. Etienne tente alors de reprendre le cours de sa vie, mais celle-ci vire peu à peu au cauchemar. Harcelé par son ami, rattrapé par l'enquête de police, plus Etienne se débat, et plus l'étau se resserre. Au bout du rouleau, Etienne réalise qu'il ne lui reste plus qu'une seule solution...

C'est un bon thriller, à voir une fois, avec des petits côtés qui ne sont pas sans rappeler les films de Claude Chabrol.

Mince alors !

Hier soir, passait à la télé "Mince alors", un film de Charlotte de Turckheim.


J'ai trouvé ce petit film français très sympa, pour une soirée télé à la maison réussie ! 

Ca n'appelle pas des millions de commentaires, mais ça se laisse volontiers regarder une fois ! 

Le pitch : Nina est jeune, jolie et ronde. Malheureusement son mari Gaspard n’aime que les femmes très minces… Surtout depuis qu’ils se sont installés à Paris pour monter leur ligne de maillot de bain ultra pointue. Pour tenter de le séduire à nouveau, Nina accepte à contrecœur le cadeau qu'il lui offre : une cure d’amaigrissement à Brides-les-Bains. Le dernier espoir des gros quand on a tout essayé. 
Là-bas, elle va faire la connaissance de Sophie, une belle avocate marseillaise qui veut tout contrôler ; son corps, comme son cœur. Emilie, une mère de famille très enveloppée qui clame partout que « Big is beautiful » alors que sa vie amoureuse est à l’arrêt, et que son poids commence à la mettre en danger. La rencontre de ces trois personnalités va déclencher un raz-de-marée.

mardi 23 septembre 2014

Quelques nouveaux coups de coeur musicaux !

Quelques nouveaux coup de coeur musicaux qui squattent la playlist de mon MP3 et hantent mes journées... ^^

Bonne découverte, ou bonne écoute ! 





Le Dernier Trappeur

Hier soir, j'ai vu "Le Dernier Trappeur", dont on m'avait beaucoup parlé ! 


Il y a de belles images, et c'est un beau film, mais il y a des longueurs, et ce n'est pas trop le genre d'histoires qui me captivent...

Le pitch : Au coeur des Montagnes Rocheuses, Norman vit avec Nebraska, une indienne Nahanni, et ses chiens de traîneaux. Déconnectés des besoins créés par la société moderne, ils se nourrissent des produits de la chasse et de la pêche. Norman fabrique ses raquettes, son traîneau, son canoë avec le bois et l'écorce prélevés en forêt.
Une fois par an, Norman effectue un voyage jusqu'en ville pour vendre ses peaux et acheter le peu dont il a besoin : farine, allumettes, bougies, piles pour son transistor...

lundi 22 septembre 2014

Shirley : visions of reality

Ce week-end, je suis aussi allée voir "Shirley : visions of reality", le fil réalisé en mettant en scène des tableaux du peintre Edward Hopper ! 


Esthétiquement, c'est innovant, c'est du jamais vu, c'est incroyable, c'est bluffant et très beau ! 

Mais c'est un peu long, il n'y pas de lien réel entre chaque séquence, qui représente un tableau...

Le pitch  : Un hommage à la peinture d’Edward Hopper et aux États-Unis des années 1930 à 1960. Une impressionnante reconstitution de treize tableaux prenant vie et restituant le contexte social, politique et culturel à travers le regard du personnage féminin, Shirley.

Une œuvre unique, véritable rencontre du cinéma et de la peinture.


Un hommage à la peinture d’Edward Hopper et à la vie quotidienne américaine des années 1930 aux années 1960, avec la mise en scène de treize de ses tableaux prenant vie et restituant le contexte social, politique et culturel de l’époque à travers le regard du personnage féminin, Shirley.

Personnage directement inspiré de Joséphine son épouse, un modèle unique et froid. La vision d’une réalité ordinaire, sans concession.

Je vous joins quelques critiques qui résument bien ma pensée : 


LA CRITIQUE DE PREMIERE

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2
  • 2
    Fasciné par l’œuvre du peintre américain, Gustav Deutsch a eu l’idée de raconter une histoire à partir d’une série de ses toiles. Son personnage principal est une femme dont chaque étape de la vie est évoquée sous la forme d’un tableau vivant, commenté par la voix de l’actrice. Hélas, en dehors du plaisir esthétique de la reconstitution, il se passe peu de choses entre le début et la fin de chaque séquence, ce qui exige de la part du spectateur une patiente remise en question de sa notion de la durée au cinéma.> Ses dernières critiques : (Shirley : un Voyage dans la Peinture de Edward Hopper) (Un Homme très Recherché)

LES AUTRES AVIS DE LA PRESSE

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2
  • A voir à lire (
    2
    Malgré une image pour le moins saisissante de ressemblance avec les tableaux de Hopper, le film pâtit de quelques longueurs - le réalisateur semblant nous inviter à prendre le temps de la contemplation - et le spectateur sera susceptible de se perdre dans les monologues parfois monotones de Shirley.> Ses dernières critiques : (Si Je Reste) (Tout est Faux)
  • StudioCiné Live (
    1
    Si la plastique est superbe, c'est une autre histoire au niveau dramatique. Quel ennui !> Ses dernières critiques : (Shirley : un Voyage dans la Peinture de Edward Hopper) (L'Institutrice)
  • Télérama (
    1
    L'univers du peintre Edward Hopper se prête bien à une transposition au cinéma : décors dépouillés, perspectives marquées, éclairages précis... Pour faire vivre ces tableaux, l'artiste autrichien Gustav Deutsch y pose sa griffe : une réflexion sur la lumière et le regard, livrée en voix off. Mais la cérébralité de cette approche assèche les visions de Hopper, qui semblent soudain de pures vues de l'esprit. 

Gatsby le Magnifique

Ces jours-ci, j'ai vu, en plusieurs fois, "Gatsby le magnifique".



Je dirai qu'avec "Le Loup de Wall Street", c'est la seconde superproduction dans laquelle DiCaprio avait le premier rôle cette année.

J'ai détesté ce film  Je n'avais pas beaucoup plus aimé la vieille version, avec Mia Farrow et Robert Redford, mais là, j'ai vraiment failli l’arrêter au bout de 45 mn !

Le film a un côté très exubérant qui fatigue ! Réalisé par Baz Luhrmann, on a presque l'impression que tout le film est une redite de la scène du carnaval dans "Roméo et Juliette", avec là aussi DiCaprio dans le rôle principal.

Côté musique, il est bien entendu normal qu'on film sur l'époque charleston propose dans sa bo du hip hop, du r'n'b, et du jazz à la sauce électro ! J'imagine que c'est censé créer un décalage mais personnellement, à mes yeux, cela s'apparente plus à un anachronisme très dérangeant  !

Toutes ces paillettes et ce vernis en permanence présent dans le film m'ont exaspéré, le réalisateur en fait trop, et ça fatigue !

Le pitch : Printemps 1922. L'époque est propice au relâchement des mœurs, à l'essor du jazz et à l'enrichissement des contrebandiers d'alcool… Apprenti écrivain, Nick Carraway quitte la région du Middle-West pour s'installer à New York. Voulant sa part du rêve américain, il vit désormais entouré d'un mystérieux millionnaire, Jay Gatsby, qui s'étourdit en fêtes mondaines, et de sa cousine Daisy et de son mari volage, Tom Buchanan, issu de sang noble. C'est ainsi que Nick se retrouve au cœur du monde fascinant des milliardaires, de leurs illusions, de leurs amours et de leurs mensonges. Témoin privilégié de son temps, il se met à écrire une histoire où se mêlent des amours impossibles, des rêves d'absolu et des tragédies ravageuses et, chemin faisant, nous tend un miroir où se reflètent notre époque moderne et ses combats.

Côté casting, le film est porté par Leonardo Di Caprio, avec, à ses côtés, la pétillante Carey Mulligan, ainsi que Tobey Maguire ! 

Seul point positif du film, un morceau de sa bo, interprété par Lana Del Rey que j'adore : "Young and beautiful" ! 

A découvrir ici : https://www.youtube.com/watch?v=Te11UaHOHMQ


Bon rétablissement !

Ce week-end, je suis aussi allée avec des amis voir "Bon rétablissement" ! 



A la base, nous devions aller voir "Tu veux ou tu veux pas", mais il n'était pas sorti, alors nous nous sommes rabattu sur celui là.

C'état un bon film, même si moins léger que ce que je le croyais. On y remarque en filigrane une critique du milieu hospitalier français.

On s'attache aux personnages, et au personnage principal.

Le pitch : Suite à un accident, Pierre, la soixantaine, se retrouve cloué au lit avec une jambe dans le plâtre. Misanthrope au caractère bien trempé rêvant de silence et de solitude, voilà que le monde s’invite à son chevet. Il assiste alors impuissant à la valse quotidienne des médecins, infirmières et personnels hospitalier, puis de ses proches dont son frère Hervé. Au fil de rencontres inattendues, drôles ou touchantes, Pierre reconsidère certains a priori et pose sur les autres un regard différent. Et, contre toute attente, ce séjour à l’hôpital finit par ressembler à une renaissance…

Sextape

Ce week-end, je suis allée voir "Sextape", et je l'ai trouvé consternant ! 



Pour moi, il est aussi mauvais et inintéressant que "Bad teacher", normal, c'est du même réalisateur ! 

C'est vulgaire, lourd, nul, pitoyable ! 

Le pitch : Jay et Annie s’aiment, mais dix ans de mariage et deux enfants ont un peu érodé leur passion. Pour ranimer la flamme, ils décident de filmer leurs ébats lors d’une séance épique. L’idée semble bonne… jusqu’à ce qu’ils s’aperçoivent que la vidéo a été envoyée par erreur à tout leur entourage, familial et professionnel ! Pris de panique, ils sont prêts à tout pour faire disparaître le film à scandale chez chacun des destinataires. Ils jouent leur réputation, leur carrière, leur mariage et leur santé mentale…

jeudi 18 septembre 2014

Pas de scandale

Hier soir, j'ai regardé un film de Benoit Jacquot, qui passait sur "Arte" : "Pas de scandale" ! 


Je l'ai essentiellement regardé pour le casting, car il réunit trois acteurs que j'adore : Isabelle Huppert (honneur aux dames ; )), Fabrice Luchini et Vincent Lindon ! 

Le pitch : Comme quelques-uns de ses pairs, Gregoire Jeancour, grand patron d'industrie, vient de se retrouver en prison. A sa sortie, il retrouve ses enfants, sa femme, son frère Louis. Mais est-ce le même homme ?

J'aime le cinéma français un peu intimiste, et les films plus basés sur la psychologie des personnages que sur l'action, mais là, on dirait du mauvais Lelouche, ou du mauvais Chabrol ! Et mon programme télé le donnait comme le meilleur film de ce réalisateur ! 

De ce réalisateur, j'avais aimé "Casse-tête chinois", et peu aimé "les Adieux à la reine".

En guise de conclusion, je vais dire que si le film s'intitule "Pas de scandale", moi j'ai eu envie d'en faire un, de scandale, tellement je me suis ennuyée devant ce film ! 

mercredi 17 septembre 2014

Une soirée danse...



Cet été, j’ai passé une grande partie de mon temps au Pasino ! Deux fois par semaine, je m’y rendais fidèlement ! Et non, ce n’est pas ce que vous croyez, je ne me suis pas mise à flamber ; )
En fait, je ne m’y rendais ni pour la roulette, ni pour le black jack, et encore moins pour les machines à sous. En réalité, j’y allais pour danser !

En effet, tout l’été, en juillet et en août, le Pasino avait revêtu ses plus beaux habits de scène, et avait transformé sa terrasse extérieure via des projecteurs, un parquet, une piste de danse aménagée, des lumières, et des dj aux commandes, pour le plus grand bonheur de cette petite communauté, et de cette grande famille, que forment les danseurs !

De nombreux aficionados s’y sont retrouvés, et succédés, tout l’été, sur des rythmes toujours plus endiablés ! Et j’ai été de ceux-là !

Laissez-moi vous raconter comment se passe une soirée de danse ; ).

Il faut commencer par préciser que toutes les soirées de danse ne se tiennent pas en  plein air, ni dans un cadre aussi agréable. Pour les fans de rock, de salsa et de bachata, de nombreux lieux proposent des soirées, sur Aix et dans ses alentours. Donc le choix est vaste, et les occasions de danser multiples !


Là, les horaires étaient bien pensés en plus : 19h-minuit ! Ni trop tôt, ni trop tard ! Cela laissait aux gens le temps de rentrer du travail, manger, se doucher, et repartir ! Et deux occasions proposées dans la semaine : le lundi soir, consacré à la salsa, la bachata et la kizomba ; et le jeudi soir, pour la salsa et le rock !

En général, j’y allais avec un ami à partir de 21h, ce qui nous laissait trois bonnes heures pour enflammer le dancefloor ! Sur place, on y retrouvais régulièrement d’autres amis, des connaissances que l’on a appris à mieux connaitre, et de nouveaux amis, rencontrés là-bas ; )

L’ambiance était très bonne, tout le monde invitant tout le monde, les tranches d’âge mélangées, et j’y ai souvent recroisé de vieilles connaissances de l’époque où je pratiquais la danse sportive, et donc les soirées toutes danses !

Ces soirées se sont toujours passées dans la bonne humeur, j’y alternais danses et papotages !

On y croisait plusieurs types de personnes, d’hommes et de femmes bien reconnaissables : les gars qui font toutes les danses, soit parce qu’ils invitent beaucoup (mai ça ne fait pas d’eux forcément des bons danseurs ^^), soit parce qu’on les invite beaucoup (là, en général, c’est plus fiable comme critère ^^ !) et qui ont une serviette dépassant de la poche de leur pantalon, afin de s’éponger le visage entre deux danses ; des hommes et des femmes venus là en jean ou autre tenue confortable ; les nanas danseuses de salsa, en mini robe, talons hauts et au maquillage soutenu (trop).

La danse est un vecteur d’échange. Quand on partage une danse avec quelqu’un, en général, et rares sont les exceptions à cette règle, s’instaure immédiatement une intimité et une complicité, qui ne dureront parfois que le temps d’une danse. C’est dire combien cette discipline rapproche ! Petite anecdote personnelle en passant : mon premier grand amour a été un danseur, et nous sommes restés neuf ans ensemble, neuf années pendant lesquelles nous avons été un couple à la scène, comme à la ville… ; ).

Selon moi, danser égale sourire, car je prends toujours du plaisir à danser (à de rares exceptions près). Et quel bonheur d’avoir un cavalier qui nous sourit en retour ! J’ai envie de dire que le cavalier propose, et que la cavalière dispose ; ). Parfois, ce n’est pas qu’on refuse une passe qui nous est proposée, c’est qu’on la loupe, tout simplement ; ) Et oui, cela existe !

On observe que systématiquement, à la fin d’une danse, les deux partenaires se remercient (eh oui, le danseur est un être poli^^). Quoi de plus normal au fond, ils viennent de partager un bon moment, se sont mutuellement « donné du plaisir » (je mets volontairement l’expression entre guillemets, car je vous rappelle que l’on parle ici de danse ^^) !

Cet été, lors de ses soirées, j’ai eu quelques surprises musicales inoubliables : « Thriller », de Mickaël Jackson (mais est-ce bien utile de le préciser ^^) remixé en salsa, et j’ai eu une pensée émue pour une amie fan de Bambi, qui aurait eu une attaque ^^ ; « Wrecking ball », de Miley Cyrus, en bachata, ou encore "le coup de soleil", de Cocciante, en Zouk, et j’en oublie des millions, ce sont là seulement les deux exemples les plus frappants que j’ai conservés à l’esprit !

Pour terminer, nous avions eu la bonne surprise d’apprendre en août que ces soirées seraient finalement reconduites jusqu’à fin septembre, ce qui présageait encore de belles soirées de danse à venir ! Et malheureusement, à cause des intempéries, il n’en est rien. Ces soirées sont donc à reléguer au rang des (bons) souvenirs, pour cette année…Cette fois c’est sûr, l’été est bien terminé, et la rentrée reprend ses droits…


Mais la bonne nouvelle, c’est que le Pasino nous réouvrira les portes de sa terrasse l’été prochain ! Alors détendez-vous et reposez vos pieds, car l’été prochain sera caliente…Ou ne sera pas ! 


mardi 16 septembre 2014

Master and commander

Hier soir, j'ai tenté un film, arrêté au bout d'une demi-heure : "Master and commander".


C'est rarissime que j'arrête un film avant la fin, mais là je n'ai pas pu plus d'une demi-heure ! 

Le pitch, pour les curieux qui voudraient tester à leur tour : en 1805, le capitaine Jack Aubrey est une des figures les plus brillantes de la Marine Royale britannique. Son courage, sa ténacité, son sens tactique lui ont valu le respect et l'admiration des officiers et matelots du vaisseau de guerre Surprise.
Fidèle compagnon de ces aventures, le Docteur Stephen Maturin est son exact opposé. Chirurgien, chercheur et naturaliste passionné, son amour de la musique est son seul point commun avec Aubrey. Ces deux hommes, si contrastés, n'en ont pas moins forgé de solides liens d'amitié.
Attaqué par le navire français Achéron, le Surprise est gravement endommagé et perd une bonne partie de son équipage. Sourd aux conseils de prudence du chirurgien, Jack se lance à la poursuite de l'ennemi. Du Brésil aux Galápagos, en passant par les eaux traîtresses du Cap Horn, sa quête tourne bientôt à l'obsession...

lundi 15 septembre 2014

Deux coups de coeur musicaux...

...que j'écoute beaucoup en ce moment ! 


Gemma Bovery

Hier soir, après un week-end très chargé, je suis allée me détendre au cinéma devant   "Gemma Bovery".


Ce qui m'avait décidée à aller voir ce film ?  La présence de Luchini, que j'adore, au casting, et la bande-annonce alléchante ! 

Au final, quelle déception ! 

Je me suis ennuyée, j'ai trouvé le film long, et parfois prévisible ! 

Le pitch : Martin est un ex-bobo parisien reconverti plus ou moins volontairement en boulanger d’un village normand. De ses ambitions de jeunesse, il lui reste une forte capacité d’imagination, et une passion toujours vive pour la grande littérature, celle de Gustave Flaubert en particulier. On devine son émoi lorsqu’un couple d’Anglais, aux noms étrangement familiers, vient s’installer dans une fermette du voisinage. Non seulement les nouveaux venus s’appellent Gemma et Charles Bovery, mais encore leurs comportements semblent être inspirés par les héros de Flaubert. Pour le créateur qui sommeille en Martin, l’occasion est trop belle de pétrir - outre sa farine quotidienne - le destin de personnages en chair et en os. Mais la jolie Gemma Bovery, elle, n’a pas lu ses classiques, et entend bien vivre sa propre vie...

Je suis sortie de là avec une furieuse envie de pain, de croissants, et le désir de découvrir le roman éponyme et la Normandie encore renforcés !

vendredi 12 septembre 2014

On est bien peu de choses...

Les enterrements nous donnent des leçons de vie. Ils sont faits pour les vivants, ceux qui restent.

J’ai récemment dû aller à un enterrement, j’y accompagnais un ami, qui avait perdu un proche. Je n’ai pas souhaité le laisser seul afronter cette perte, et moi qui ai la chance de ne pas être trop coutumière de la mort et ses suites, je l’ai donc accompagné lui, qui l’a subie.

En roulant vers Marseille, je lui avoue que je suis très nerveuse, et que j’espère être à la hauteur pour le soutenir, sans toutefois lui garantir de ne pas craquer à mon tour. Il me rassure. Cependant, mon angoisse monte d’un cran lorsqu’il m’annonce que le premier rendez-vous est au dépositorium, c’est-à-dire que nous allons nous recueillir devant la personne, mise en bière, mais dans un cercueil ouvert.

Arrivés là bas, nous sommes rapidement rejoints par des collègues du défunt, venus en nombre lui rendre un dernier hommage, ainsi que par la famille, qui a subi cette perte comme un choc très soudain, n’étant pas au courant des problèmes de santé du malade. Parce qu’il avait choisi de le cacher à presque tous ses proches.

Le moment de descendre voir le corps approche. Je me sens extrêmement nerveuse, j’ai l’impression qu’il faut que je mange, et en même temps, il me semble que mon corps rejetterait toute nourriture que je tenterai de lui faire absorber. J’ai peur de faire un malaise, vomir, m’évanouir, peur de craquer, et de ne pas avoir la force que l’on attend de moi dans cette épreuve.

Je rentre parmi les premières dans la salle, et je me place près de mon ami, qui se recueille devant le cercueil. Ses larmes coulent abondamment, tandis que je me sens impuissante face à cela .Je ne peux que le serrer dans mes bras, afin qu’il sente bien qu’il ne traverse pas cela seul. Ma première pensée est qu’un mort, cela ressemble en fait beaucoup à un vivant, et ce constat me surprend. Le défunt a l’air paisible, et j’essaie de me concentrer sur le fait qu’il ne souffre plus, lui qui a eu, selon ce que l’on m’a dit, une fin de vie pénible. Je salue aussi en pensée le fait que cette personne s’est battue jusqu’au bout, dans l’ombre de sa famille, qu’il a souhaité laisser ignorante de sa situation. Et il ressemble tellement à un vivant, que je crois même le voir bouger ! Je vous assure ! A un moment donné, je suis persuadée qu’il respire, et je vois même le drap qui l’entoure se soulever régulièrement au rythme de sa respiration. Et je me demande comment il est possible que personne d’autre ne s’en soit aperçu, c’est une erreur, j’ai envie de crier au malentendu, et de tout arrêter, car pour moi, on s’apprête à enterrer un vivant !

J’arrive à me montrer assez forte, jusqu’au moment où un discours très émouvant est prononcé par une proche du défunt, sa sœur. Cette dernière lui adresse un dernier au revoir, et glisse dans le cercueil du défunt des photos de sa femme, elle aussi décédée, avant lui, et de son fils. Et là, je sens que je craque, et mes derniers remparts cèdent. Je me retrouve à pleurer auprès de mon ami, même si je n’ai pas connue la personne étendue devant moi. Cela ne change rien, le chagrin me gagne, et une immense peine m’envahit. Je me sens touchée par la détresse de tous ces gens autour de nous, qui ont perdu un frère, un père, un ami, un collègue. Et je me dis que le manque n’est pas encore là, qu’il viendra après, s’infiltrant insidieusement, lorsqu’il ne sera plus auprès de ses collègues au travail, mais qu’il faudra bien qu’ils continuent à travailler. Lorsqu’il ne sera plus là pour sa sœur et son fils, et que les fêtes de fin d’année approcheront par exemple, ou que les autres autour d’eux iront à des déjeuner de famille le dimanche midi. En bref, le deuil ne commence pas le jour où l’on nous apprend la mauvaise nouvelle, selon moi, mais plutôt le premier jour où l’abscence et le manque se font cruellement ressentir. Et ce jour-là, ce jour-là, on ressent une douleur à vous couper le souffle, et comme un vide à l’intérieur, à l’idée que l’on ne reverra plus jamais la personne.

Se profile maintenant le moment de fermeture du cercueil, et sur autorisation de mon ami, les officiers font leur travail. Vous vous doutez bien que si je n’avais jamais vu de cercueil ouvert, je n’avais donc jamais non plus assisté à la fermeture. On commence par poser le couvercle sur le cercueil, puis des vis y sont placées, vissées, et complétées par des embouts. Cela peut paraître de peu d’importance de raconter cela, mais si je tiens à le faire, c’est pour vous exprimer à quel point j’ai pu être choquée de voir la ressemblance entre des « travaux » de la vie de tous les jours, et la fermeture d’un cercueil. Le parallèle est dérangeant. Car hormis les visages fermés, silencieux et empreints de respects des officiants, rien ne change fondamentalement…Là encore, je me sens oppressée, et je ne peux m’empêcher de me demander si la respiration que j’ai cru percevoir comme venant du défunt tout à l’heure n’était qu’une vue de l’esprit, un effet de mon imagination. J’ai peur que l’on enterre quelqu’un qui s’est simplement assoupi, tellement ses traits sont détendus, et son visage apaisé.

Nous serons rejoints ensuite par deux autres amies. L’une d’elle avait perdu son beau-père la veille, autant dire que la série noire continuait, et que de son côté, la mort, ces temps-ci, faisait preuve de nombreuses exigences en matière de victimes…

Tout le monde se retrouve ensuite au cimetière, pour assister à la mise en terre du cercueil, dernière occasion pour ceux qui le souhaite de s’approcher du cercueil, lui dire un petit mot, toucher, voire embrasser le cercueil. Une fois celui-ci en terre, nous sommes restés, à regarder les ouvrier du cimetière refermer le caveau, et reposer la dalle.

Ensuite, mon ami a souhaité se recueillir un peu seul sur la tombe de son père, exigence oh combien légitime. Nous sommes restées là, toutes les trois, trois amies, avec qui j’avais jusque-là partagé des petits malheurs (nos ruptures respectives), et de grands bonheurs (le mariage de l’une d’elles).


Pendant ce temps, je me suis interrogée sur l’importance que les gens accordaient à la mort de nos jours, et la place du deuil dans notre société. Au final, peu de gens étaient venus vêtus tout de noirs, certaines femmes étaient mêmes en jupes courtes, d’autres en tongs, et d’autres étaient habillés comme pour aller travailler. Je ne porte pas de jugement, chacun gère un deuil et un enterrement comme il le souhaite, mais il est vrai que je considère pour ma part, par respect pour le défunt, qu’une tenue noire, décente et sobre est de mise, voire la moindre des choses. Mais peut-être ai-je une vision désuète ou vieillotte de la chose…

Puis c’était fini. Il nous fallait retourner à nos occupations, reprendre le travail, et poursuivre nos vies là où nous les avions laissées…

Mon ami nous a chaleureusement remerciées d’être venues, ce n’était pas la peine, c’est ça l’amitié, être là pour l’autre dans les bons moments, mais aussi lors des coups durs que nous impose la vie. Et la mort fait partie de la vie, malheureusement.

Je ne sais pas conclure ce billet, il y aurait encore tellement de choses à dire sur la mort : dire qu’en Chine, la couleur du deuil est le blanc, et pas le noir, comme chez nous ; dire que dans d’autres endroits du globe, un enterrement est l’occasion de faire la fête, bref, il y aurait encore tellement à dire sur la mort !

Les morts restent auprès de nous pour toujours d'une certaine manière, car ils vivent à jamais dans nos cœurs,et nos mémoires. Ainsi, ils ne tomberont jamais dans l'oubli, et il y aura toujours un parfum, une couleur, un ciel d'été, une pluie d'automne, une musique ou encore des lieux qui nous ramèneront à eux.

J’ai choisi de conclure en citant une phrase de Frédéric Dard que j’adore, qui me parle, et qui parlera sans doute aussi beaucoup à cet ami, à qui je dédie ce billet : « Si j’avais su que je l’aimais autant, je l’aurais aimé encore davantage »…





Mon pire cauchermar

Hier soir, j'ai fini de regarder "Mon pire cauchemar", que j'avais loupé au ciné et à la TV récemment.
Oui, en ce moment je suis très fatiguée le soir pour regarder des films en entier (je n'ai pas encore pris le pli du rythme de la rentrée), alors je fractionne mes films ; ) 


J'ai trouvé ce film sympa, sans plus. J'ai souri à plusieurs reprises.

Je suis fan d'Isabelle Huppert, extrêmement classe, et qui joue tout très bien selon moi. par contre, je déteste Benoit Poelvoorde ! Là, il campe un beauf, et on a l'impression qu'il ne force pas pour l'interpréter...
A leurs côtés, André Dussolier, que j'adooooooooooore, et Virginie Efira, que j'ai adoré dans "Vingt ans d'écart" ! .

Le pitch ? Elle habite avec son fils et son mari en face du Luxembourg... Il habite seul avec son fils à l’arrière d’une camionnette.
Elle dirige une prestigieuse fondation d’art contemporain... Il vit de petits boulots et d’allocations.
Elle a bac + 7... Il a failli faire 7 ans de prison.
Elle tutoie le ministre de la culture... Il tutoie toutes les bouteilles d’alcool qu’il rencontre.
Elle aime le débat d’idées... Il aime le sexe avec des inconnues à forte poitrine.
Ils ne se ressemblent pas du tout... et se supportent encore moins.
D’ailleurs, ils n’auraient jamais dû se rencontrer. Mais leurs enfants, eux, sont inséparables... Ils finiront par comprendre pourquoi...

jeudi 11 septembre 2014

Nos étoiles contraires

Hier soir, je suis allée au ciné avec un ami, voir "Nos étoiles contraires".




Nous parlions d'aller voir ce film depuis longtemps, depuis le premier visionnage de la bande-annonce, et il n'y a que hier soir que nous avons finalement réussi à nous trouver un créneau commun pour aller le voir ensemble ! 

Laissez-vous surprendre, et bouleverser par ce si joli film, qui, bien qu'il aborde sous un angle assez réaliste le thème du cancer, restera pour moi l'une des plus magiques histoires d'amour jamais portées à l'écran ! J'ai même envie de lire le livre, afin de poursuivre l'aventure ! 

Le film est une vraie réussite selon moi, et une réelle surprise, à savoir qu'en visionnant la bande-annonce, on croit connaitre l'histoire, alors qu'il n'en est rien ! 

pendant près de deux heures, le réalisateur va jouer avec nos nerfs, et le vrai héros du film ne se révélera pas être au final celui que l'on croyait...

je me suis régalée à voir ce film, même si en même temps que je l'appréciais, je sentais une boule se former dans mon ventre, une sourde angoisse qui ne cessait d'augmenter quant à l’issue du film.

La bo est très bien pensée, et se marie très bien avec l'action.

Tout le long, on entendait les gens pleurer dans la salle. personnellement, j'ai pu constater hier mes progrès quant au recul pris devant un film : j'ai versé quelques larmes, au lieu des sanglots convulsifs dont j'aurai été prise il y a quelques années encore... Mais je suis  rentrée chez moi avec la gorge serrée tout de même ; ).

Je suis rentrée en flânant, avec mon ami, qui m'a raccompagnée, et ensemble, nous avons pu débriefer le film, et comparer nos ressentis à son propos. C'est l'un de nos petits rituels lorsque l'on fait un ciné ensemble ^^

Le pitch : Hazel Grace et Gus sont deux adolescents hors-normes, partageant un humour ravageur et le mépris des conventions. Leur relation est elle-même inhabituelle, étant donné qu’ils se sont rencontrés et sont tombés amoureux lors d'un groupe de soutien pour les malades du cancer.

Le tandem d'acteurs qui porte le film, Shailene Woodley et Ansel Elgort, avait déjà joué ensemble dans "Divergente", où ils interprétaient des frères et sœurs.

Selon moi, l’interprétation des deux acteurs est magistrale, et à saluer !

Lui a un charme simple, et un sourire charmeur et désarmant tout à la fois, ce sourire qui ressemble tant à celui d’un autre…

Le film est l’histoire de deux êtres qui se rencontrent et vont s’aimer, malgré leurs étoiles contraires…

Burn after reading

Hier soir, j'ai fini de regarder "Burn after reading" ! 



C'était minable comme film ! J'ai détesté ! 

Le pitch : Osbourne Cox, analyste à la CIA, est convoqué à une réunion ultrasecrète au quartier général de l'Agence à Arlington, en Virginie. Malheureusement pour lui, il découvre rapidement l'objectif de cette réunion : il est renvoyé. Cox ne prend pas très bien la nouvelle. Il rentre chez lui à Georgetown pour écrire ses mémoires et noyer ses ennuis dans l'alcool - pas nécessairement dans cet ordre. Sa femme, Katie, est consternée, mais pas vraiment surprise. Elle a une liaison avec Harry Pfarrer, un marshal fédéral marié pour qui elle décide alors de quitter Cox.Quelque part dans une banlieue de Washington, à des années-lumière de là, Linda Litzke, employée au club de remise en forme Hardbodies Fitness, a du mal à se concentrer sur son travail. La seule chose qui l'intéresse, c'est l'opération de chirurgie esthétique d'ampleur qu'elle désire subir. Elle compte sur son collègue, Chad Feldheimer, pour faire son boulot à sa place. Linda est à peine consciente que le directeur de la salle de sport, Ted Treffon, est fou d'elle, même si elle rencontre d'autres hommes via Internet.Lorsqu'un CD contenant des informations destinées au livre de Cox tombe accidentellement entre les mains de Linda et Chad, tous deux décident de tirer parti de cette aubaine. Alors que Ted se fait du souci, persuadé que "rien de bon ne sortira de tout ça", les événements se précipitent et échappent bientôt à tout contrôle, occasionnant une série de rencontres aussi dangereuses qu'hilarantes...

mercredi 10 septembre 2014

Saw 5, 6 et 7

Cet été, j'ai vu la fin de la série des Saw, je ne vais faire qu'un seul et même billet pour vous parler de "Saw" 5, 6 et 7 ! 

Ce n'est pas de la flemme, c'est juste qu'individuellement, ils ne méritent pas un billet  chacun ^^




Bon les Saw, c'est comme les "Destination finale", après le premier, que j'avais beaucoup aimé, l'effet de surprise et d'originalité est perdu, et ils n'auraient pas dû s’obstiner à en faire autant.

De vous à moi, il y a une histoire en filigrane, un fil conducteur, mais perso je me suis perdu. Les mauvaises langues diront que dès qu'un film n'est pas linéaire, je suis perdue dedans ^^

Le 7 était sorti en 3D au ciné, alors évidemment, sur écran télé, cela ne rend pas pareil.

Là encore, l'intrigue qui s'essouffle fait que l'accent est mis sur des meurtres de plus en plus gores, tout comme dans "Destination finale"...

Le premier est à voir.

Et voilà, je suis à présent à jour de tous les films vus cet été, cela tombe bien, ce soir je vais au ciné ! ^^

Alors à demain pour un nouveau billet ciné ! 

Sils Maria

Cet été, juste un peu avant ma reprise, j'ai aussi vu "Sils Maria" au cinéma ! 

J'ai beaucoup aimé ce film ! 

L'histoire m'a plu, il est très esthétique, avec de très jolis paysages.

Il y a parfois quelques longueurs, mais les images sont assez belles, et le tandem Juliette Binoche-Kirsten Stewart m'a enthousiasmée ! C'est la première fois que j'ai l'impression que cette dernière me propose une vraie prestation d'actrice, réellement convaincante ! 

L'histoire : À dix-huit ans, Maria Enders a connu le succès au théâtre en incarnant Sigrid, jeune fille ambitieuse et au charme trouble qui conduit au suicide une femme plus mûre, Helena. Vingt ans plus tard on lui propose de reprendre cette pièce, mais cette fois de l'autre côté du miroir, dans le rôle d'Helena...

Je pense que c'est un film qui peut être taxé d'intellectuel, car il étudie surtout l'évolution et la psychologie de deux personnages, en quasi huis clos.

Le film est ambigu, et l'on se demande tout le long ce qu'il en est de la réelle relation entre les deux femmes.

Et au milieu coule une rivière

Cet été, j'ai enfin vu ce film, que je voulais voir depuis des années, et que je loupais régulièrement à la télé, lors de chacun de ses passages, c'état systématique, je n'étais pas disponible ! 



J'avais souvent entendu parlé de ce film comme d'un chef d'oeuvre du cinéma, à voir absolument, et je savais qu'il était tiré d'un livre (que je n'ai pas lu).

J'ai détesté, je me suis ennuyée tout le long, et je ne risque pas de lire le livre  ! 

le film raconte la vie d'une famille, dans laquelle le père et les deux fils s'adonnent à la pêche.Voilà vous savez tout ! Le summum du suspens est atteint quand ça se bagarre pour savoir qui utilise le meilleur type d'hameçon. Voilà voilà...

Donc si vous avez un peu plus d'une heure et demi à perdre, et que vous voulez mourir d'ennui, n'hésitez pas à vous mettre devant. C'est long et sans intérêt ! 

ce n'est pas que c'est nul, c'est que c'est teeeellement nul ! *Private joke, dédicace à un ami qui se reconnaîtra ^^*

American nightmare

Ah, j'ai enfin vu ce film, que j'avais loupé au ciné, et que je brûlais de voir ! 


J'ai frissonné, mais je me suis régalée ! 

Le film était aussi bien que je l'avais imaginé ! 

Le film se passe en 2022, ère à laquelle le taux de criminalité n'a jamais été aussi bas aux Etats-Unis. Seule exception, une nuit par an, la purge a lieu : il s'agit d'une nuit où toutes les violences sont autorisées, pendant que la police ferme les yeux, afin de soulager les citoyens, et qu'ils puissent décharger, en tuant,  la haine accumulée en eux le reste de l'année...

C'est choquant d'imaginer que le futur puisse ressembler à cela, et que le gouvernement puisse entériner et cautionner une telle pratique ! Quelque part toutes les limites sont repoussées, et les dernières barrières de l'humanité franchies...
Le film est stressant, mais extrêmement bien réalisé, avec une tension et un suspens à vous couper le souffle, et un petit côté "Panic Room"...

A voir absolument ! 

L' Elève Ducobu

Et encore une daube, une ! 



Heureusement celui-ci, je ne l'ai vu ni au ciné, ni loué, il passait à la tv. Et j'étais fatiguée au point de me mettre devant ^^

J'ai détesté, je ne connaissais pas la BD, mais cela ne m'a pas encouragée à la découvrir...

Le pitch : L’élève Ducobu s’est encore fait renvoyer d’une école. Cette fois, pour éviter de finir en pension, il n’a plus qu’une seule chance : réussir à Saint-Potache. Pour s’en sortir, ce cancre attachant va devoir se surpasser et mettre au point les tricheries les plus ingénieuses et les plus spectaculaires jamais imaginées. La partie est loin d’être gagnée car Mr Latouche, son redoutable professeur, est un adversaire coriace et Léonie, la première de la classe sur qui il tente de copier, ne va pas rester longtemps sous son charme…