jeudi 30 juin 2016

Le Secret des banquises

Pendant la fête du cinéma, je suis allée voir "Le Secret des banquises".
 
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Le pitch : Le professeur Quignard et son équipe de chercheurs étudient la PPM, une protéine immunisante produite par le pingouin. Christophine, jeune thésarde un peu maladroite et émotive, décide de s’injecter du génome pingouin pour aider le professeur dans ses recherches, mais aussi pour se rapprocher de lui... quitte à devenir son cobaye.
 
Côté casting : Guillaume Canet, Charlotte Le Bon, Anne Le Ny...
 
Le film est classé en "comédie". Je ne sais pas si personnellement, c'est bien ce genre là que je lui aurai attribué.
 
Le film est assez étrange, aussi bien au niveau de l'ambiance, que des couleurs : tout semble rappeler le froid et la banquise, le film est beaucoup dans les tons de blancs et de gris.
 
Verdict : j'ai adoré !
 
Je me suis totalement laissé transporter par ce film ô combien bizarre, je persiste et signe.

Par quelques cotés, cela m'a parfois rappelé "l'Ecume des jours", de Michel Gondry.
 
C'est surprenant, inattendu, attendrissant.

Ceux qui me connaissent bien savent que je me suis régalée à voir des manchots tout le long du film !
 
J'ai beaucoup aimé le binôme Canet-Le Bon.
 
La fin est pour le moins imprévisible, et space ^^
 
Le film a beau se passer à notre époque, dans la réalité, il n'en conserve pas moins un côté impossible et très irréel...
 
A découvrir !  

mercredi 29 juin 2016

L'Idéal

Hier soir, je suis allée au cinéma voir "L'Idéal".
 
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Avec une belle affiche bien provoc', le ton est donné dès le départ, et on n'en attendait pas moins de Beigbeder remarque !
 
Le pitch : L'ancien concepteur-rédacteur Octave Parango de « 99 francs » s'est reconverti dans le "model scouting" à Moscou. Cet hédoniste cynique mène une vie très agréable dans les bras de jeunes mannequins russes et les jets privés de ses amis oligarques... jusqu'au jour où il est contacté par L'Idéal, la première entreprise de cosmétiques au monde, secouée par un gigantesque scandale médiatique.
Notre antihéros aura sept jours pour trouver une nouvelle égérie en sillonnant les confins de la Russie post-communiste, sous les ordres de Valentine Winfeld, une directrice visuelle sèche et autoritaire.
Entre les réunions de crise à Paris, les castings à Moscou, une élection de Miss en Sibérie, une fête chez un milliardaire poutinien et une quête des "new faces" aux quatre coins de l'ex-URSS, le fêtard paresseux et la workaholic frigide vont apprendre à se supporter et peut-être même à se sauver.
 
Côté casting : Gaspard Prouts (j'adore ! Il jouait déjà dans "L'Amour dure trois ans", aussi tiré d'un roman de Beigbeder ), Audrey Fleurot, Jonathan Lambert, etc...
 
Pour la petite histoire, ce film est tiré du livre de Frédéric Beigbeder, "Au secours pardon", qui était la suite du célèbre "99 francs".
 
Résultat des courses : top !

Le film est incroyable, c'est dément, délirant, décalé, provoquant, politiquement incorrect, bref, c'est du Beigbeder !

Avec un Gaspard Proust au sommet de son art, irrévérencieux au possible, , une Audrey Fleurot réjouissante en harpie de la pub, et notre Frédéric Beigbeder qui s'offre une pt'ite apparition comme dans chacun de ses films, on est comblés !

A voir absolument !

mardi 28 juin 2016

Presque célèbre

Le week-end dernier, j'ai vu "Presque célèbre".
 
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Le pitch : Dans les années 70, William Miller, un adolescent de quinze ans, ne vit que pour la musique rock. Ce qu'il souhaite le plus au monde, c'est écrire des articles sur cette musique qu'il aime tant.
Il envoie un essai au magazine Rolling Stone dans l'espoir de devenir journaliste. Son talent n'est pas passé inaperçu : on est prêt à l'envoyer suivre le groupe Stillwater en tournée afin qu'il fasse un reportage sur eux.
Le rêve devient réalité ; malgré les objections d'Elaine, sa mère, William s'engage dans cette folle aventure.
Il n'est toutefois pas facile de gagner la confiance des musiciens, surtout lorsqu'on est journaliste. William prouve rapidement aux membres de Stillwater qu'il est avant tout un admirateur inconditionnel de leur musique. Au cours de leur tournée, il abandonne peu à peu la passivité de son rôle d'observateur pour participer à la vie du groupe.
 
Côté casting : Patrick Fugit, Billy Crudup, Kate Hudson, Zooey Deschanel, Jason Lee, Noah Taylor et Frances McDormand.
 
Verdict : j'ai détesté, j'ai trouvé ce film nul et inintéressant au possible.

Et teeeeeeeeeeellement long  !
 
Je déconseille !

lundi 27 juin 2016

Un traître idéal

La semaine dernière, je suis allée au cinéma voir "Un traître idéal".
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Le pitch : En vacances à Marrakech, un couple d’Anglais, Perry et Gail, se lie d’amitié avec un millionnaire russe nommé Dima. Ils ignorent que cet homme charismatique et extravagant blanchit l’argent de la mafia russe… Lorsque Dima demande leur aide pour livrer des informations explosives aux services secrets britanniques, la vie de Perry et Gail bascule. À travers toute l’Europe, ils se retrouvent plongés dans un monde de manipulation et de danger où chaque faux pas peut leur coûter la vie. Pour avoir une chance de s’en sortir, ils vont devoir faire équipe avec un agent anglais aux méthodes vraiment particulières…
Côté casting : j'y suis allée d'abord pour Ewan McGregor, absent depuis trop longtemps des écrans selon moi ! A ses côtés, Stellan Skarsgard, Damian Lewis et Naomie Harris.
Résultat des courses : très déçue. Le film m'a semblé long et ne m'a jamais tenue en haleine...

vendredi 24 juin 2016

Voyage au coeur de l'actualité brûlante...

Mardi 14/06, je suis montée à Paris pour la journée.
Cela allait être pour moi une longue journée, une journée dense, chargée émotionnellement, stressante, et dont dépendrai en partie une orientation possible de mon avenir professionnelle.

Mardi était aussi le jour de grève nationale.
J’avais vu passer à cet effet environ un mois avant un mail appelant à un important rassemblement ce jour-là à la capitale, afin de protester (encore et toujours) contre la loi travail (El Komhry).
 
Avec ma chance habituelle, j’ai donc eu le plaisir de voyager avec tous les syndicalistes.
 
Je vous dépeins le tableau. J’ouvre la porte de mon wagon et là, retentit un bruit de sirène. J’ai cru que j’avais par mégarde activé une alarme, il n’en était rien, c’était mes charmants compagnons de voyages ; Les mêmes qui ont fumé dans l’inter wagon…
Tous les wagons n’étaient pas comme cela, ais imaginez un wagon plein de gros beaufs marseillais, affublés des gilets jaunes que l’on garde dans la voiture en cas d’accidents, en train de hurler, avec l’accent qui va bien : « c’est nous les marseillais » !
 
A côté de cela, ça chante, c’est seul au monde dans le wagon.

Perso, j’ai rapidement quitté le wagon, on y était que trois filles, vu qu’à jeun ça donnait déjà du « Vive DEASH » et « Vivement que e casse du CRS, je vais lui péter les dents, il va manger de la purée ce soir » (je cite mot pour mot), et qu’ils attaquaient au gros rouge…
je vous rappelle l’horaire de mon train : 7h20.
 
Encore une fois, j’étais dans le wagon 8, à croire que c’est dans celui-là qu’ils mettent la fine fleur, la crème de la crème.

Pour la petite histoire, la dernière fois que je suis montée à Paris tôt un matin et que je me suis retrouvée dans ce même wagon 8, j’ai eu la chance d’avoir pour hôtes de wagon un groupe de kékés marseillais qui montaient voir Roland Garros.
Même schéma, seuls au monde dans le wagon, ça s’interpelle à autre voix d’un bout à l’autre d’u wagon, et entre deux citations de Zidane (oui, ils aimaient le foot aussi…), il y en a un qui a sorti : « Oh, y a un silence de cathédrale » (à prononcer avé l’accent de marseilleuh, peuchère ! ).
 
J’ai eu d’abord envie de rire, le mec avait placé LA phrase un peu recherchée qu’il connaissait, et ensuite, j’ai eu envie de rétorquer : « Ben non, connard, y a pas de silence, vu que tu le gâches avec tes potes depuis tout à l’heure ! » !
 
En bref, deux fois où j’ai eu beaucoup de chance. Deux voyages durant lesquels j’ai encore rêvé d’une Marseille vidée de tous ses marseillais…
Remarque, en ce moment, Being sport fait pas mal concurrence aux bars de la ville…
 
Et donc, pour vous finir le récit palpitant de ce jour de grève nationale et de manifestation massive que j’ai choisi pour me rendre à Paris, laissez-moi vous narrer mon retour, histoire de boucler la boucle…
 
Au retour, j’arrive dans mon wagon, et j’y croise les mêmes que le matin, dans le même état d’excitation. Le wagon était plus que bruyant, le retour s’annonçait aussi « pénible » (et c’est un euphémisme léger) que l’aller…
Finalement, j’ai eu de la chance dans mon malheur : il s’était trompé de wagon et étaient en train de migrer à l’étage. Du coup, je commence à discuter avec un passager qui s’était mis comme moi en retrait pour les laisser passer, soulagé, et il me dit « Bon ben on n’aura pas droit aux syndicalistes, on n’aura que les supporters ». Sa remarque me fait sourire, étant sur la même longueur d’onde que lui, et je rétorque « Entre la peste ou le choléra…Nous nous sommes regardés souriants, en phase…
 
Et non, cela n’a pas marqué » le début d’une grande histoire d’amour, mais cela faisait du bien de discuter encore avec quelqu’un de non contaminé et non lobotomisé, à baver devant un kéké coiffé comme un sac poubelle ficelé qui court après la baballe, tous ces débiles hirsutes que nos jeunes élèves au rang de dieux vivants et qui feraient mieux de refuser de s’approcher d’un micro tellement leurs interviews font honte à la langue française…
 
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Et pour finir l’histoire, j’avais donc échappé au wagon CGT, pour atterrir dans le wagon…FO ! Chance, quand tu nous tiens.

Mais la FO, ils se tiennent un peu mieux, ils sont plus vieux et fatigués du coup, après avoir poussé une gueulante lorsqu’ils ont découvert que le bar ne servait pas de whisky (étonnant^^), ils se sont tous endormis, réduisant les nuisances sonores à un gai concert de ronflements…
 
Je plains par contre le wagon au-dessus, infestés de mes compagnons du matin, qui ont tapé du pied, des mains, hurlé, chanté. Eux ils avaient dû le prendre avec eux le whisky…
 
Et voilà un court extrait de ma vie de voyageuse que je souhaitais vous faire partager !
 
Bon week-end à tous !

Nouvelles pensées...



"Une réponse sans chaleur, c'est comme un regard qui se pose ailleurs".
 
e retourner sur sa vie c prendre le risque de voir les traces du passé dans le sable de nos souvenirs
 
ledig les deux

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
 

 
A méditer...
 

jeudi 23 juin 2016

Coup de coeur littéraire !

 
Il y a quelques temps, j'ai eu l'occasion de lire un des livres que j'ai fait acheter à mon travail : "L'Amour et les forêts", d'Eric Reinhardt.
 
 
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Eric Reinhardt est un auteur qui avait sorti "Cendrillon", il y a quelques années, roman que j'avais très envie de lire, mais qui m'était tombé des mains.
 
J'ai donc décidé de redonner une chance à cet auteur avec ce livre là, Prix Renaudot des lycéens.

"L'amour et les forêts"» est un ouvrage dense, un texte qui se mérite.
 
Je suis surprise que des lycées l'aient lu, aimé, et distingué!
 
La collègue à qui je l'ai prêté me l'a rendu sans le finir.
 
Quant à moi, j'ai eu du mal à rentrer dedans, ayant peur que le même schéma que pour "Cendrillon" se reproduise, me disant que définitivement l'auteur et son écriture n'étaient pas pour moi, mais là, le miracle s'accomplit.

Ce qui se cache derrière l’auteur ? Une plume d’une grande sensibilité, une écriture d’une grande finesse, mais non déniée de force.

Ce qui se cache derrière le titre ? L’histoire de plusieurs vies qui s’entremêlent, plusieurs personnages qui se croisent.

L’auteur, dans son propre rôle, rencontre une de ses lectrices, une de ses fans. Et c’est le destin tragique de cette femme, son histoire bouleversante qui vont ensuite nous être narrés, entrecoupés de ces rencontres avec l’auteur.

Un destin tragique, une écriture forte et pleine de pudeur à la fois, un récit bouleversant sur le sacrifice, le don de soi, le déni, et l’aveuglement qui mènent une femme à sa perte.

Un roman dont on ne sort pas indemne…

mercredi 22 juin 2016

Ce que le jour doit à la nuit

Il y a quelques soirs de cela, j'ai regardé "Ce que le jour doit à la nuit", qui était diffusé à la tv.
 
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Le pitch : Algérie, années 1930. Younes a 9 ans lorsqu'il est confié à son oncle pharmacien à Oran. Rebaptisé Jonas, il grandit parmi les jeunes de Rio Salado dont il devient l'ami. Dans la bande, il y a Emilie, la fille dont tous sont amoureux. Entre Jonas et elle naîtra une grande histoire d'amour, qui sera bientôt troublée par les conflits qui agitent le pays.
 
Côté casting : Nora Arnezeder, Fu'ad Ait Aattou,  Anne Parillaud, Anne Consigny, et Vincent Perez (aaaaaaaaah ^^).
 
Le film est tiré du livre éponyme de Yasmina Khadra, auteur que je connais pour un autre de ses romans, "L'Attentat" (également adapté au cinéma, mais je ne l'ai pas encore vu).
 
Verdit : WOAOUW !
 
Quel film !
 
J'étais épuisée car je m'étais levée le matin à 5h pour faire un vide-grenier, mais quand j'ai vu la présentation, j'ai décidé de lutter jusqu'au bout, en espérant qu'il fasse 1h30...
 
Il en fait 2h39 mais ça valait vraiment le coup, film sublime, juste, dur, émouvant, jeu parfait des acteurs, et quelle découverte que l'acteur principal, sublime en plus d'être évocateur !
 
A voir absolument !

mardi 21 juin 2016

Le Lendemain

En début de semaine, je suis allée au cinéma voir "Le Lendemain".
 
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Le pitch : John, encore adolescent, rentre chez son père après avoir purgé sa peine de prison et aspire à un nouveau départ. Mais la communauté locale n’a ni oublié, ni pardonné son crime. Sa présence attise les pires pulsions chez chacun, l’atmosphère devient menaçante, proche du lynchage. Rejeté par ses anciens amis et abandonné par ses proches, John perd espoir et la violence qui l’a conduit en prison refait peu à peu surface. Dans l’impossibilité d’effacer le passé, il décide d’y faire face.
 
Côté casting, que des gens qu'on connaît pas ^^.
 
Résultats des courses : j'ai détesté !
 
je me suis ennuyée tout le long, c'est long, il ne se passe rien et même si le film est lourd, plein d'une tension palpable, la fin annoncé comme la montée finale du paroxysme de la violence est très décevante !

lundi 20 juin 2016

Donnie Brasco

Il y a quelques temps, j'ai enfin vu "Donnie Brasco", dont mon père et ma soeur sont fans, et dont ils me parlaient depuis des années !
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Le pitch : En 1978 a New York, l'agent special Joe Pistone est designe par le FBI pour infiltrer le clan Bonanno, une des familles les plus puissantes de la cote Est. Il contacte un modeste porte-flingue de l'organisation, Lefty Ruggiero, aupres duquel il se fait passer pour un specialiste en joaillerie du nom de Donnie Brasco. Coupe de son milieu, Donnie va peu a peu s'identifier a ceux qu'il doit detruire.
Côté casting, un affrontement Johnny Depp-Al Pacino pour les deux rôles principaux.

J'ai bien aimé ce film, sans plus, il est à voir une fois.

vendredi 17 juin 2016

Pensées...






 
 
 
 
 
 

 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
"Et si je ne t'offre pas de fleurs, c'est qu'elles seraient vexées, de n'être pas à la hauteur d'un rien de ton parfum"...Vianney.

"Il faut savoir laisser derrière soi les lumières du passé afin de se tourner vers l'obscurité de l'avenir"...
 
A méditer, comme toujours ...

mercredi 15 juin 2016

Resident evil : apocalypse

Il y a quelques jours, j'ai regardé "Resident evil : apocalypse", qui était diffusé à la télé.
 
Affiche 18 de «RESIDENT EVIL : APOCALYPSE» [Roumanie]

J'avais déjà testé le jeu vidéo, et vu le premier opus de la saga il y a longtemps.
 
Le pitch : Alice a survécu à l'effroyable cauchemar qui a dévasté le complexe scientifique ultrasecret d'Umbrella Corporation, mais elle n'est pas la seule à en être ressortie...
Un virus mortel s'est abattu sur la ville de Raccoon et rien ne semble pouvoir lui échapper. Avec un groupe de survivants, Alice, dont le métabolisme a mystérieusement été modifié, doit affronter le pire. Certes, elle a gagné de nouveaux pouvoirs, elle est plus puissante, ses sens sont surmultipliés et sa dextérité est hallucinante, mais ça ne sera pas forcément suffisant... Elle est rejointe dans son combat par Jill Valentine, un ancien membre des forces spéciales d'Umbrella.
Ensemble, elles vont tenter de résoudre les énigmes et faire face à une force maléfique, un ennemi absolu lancé sur leurs traces. Son nom ? Némésis. Son but ? Eliminer toute vie. Cette fois, s'échapper ne suffira pas. Il va falloir affronter...
 
Côté casting, on retrouve Milla Jovovich dans le rôle principal.
 
Verdict : c'est divertissant, un soir de grande fatigue, à voir une fois d'un oeil...^^

mardi 14 juin 2016

X-Men : Apocalypse

Ce week-end, j'ai enfin pu retourner au ciné, et je suis allée voir , en 2D et V.O., le dernier X-Men : "X-Men : Apocalypse" !
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Le pitch : Depuis les origines de la civilisation, Apocalypse, le tout premier mutant, a absorbé de nombreux pouvoirs, devenant à la fois immortel et invincible, adoré comme un dieu. Se réveillant après un sommeil de plusieurs milliers d'années et désillusionné par le monde qu'il découvre, il réunit de puissants mutants dont Magneto pour nettoyer l'humanité et régner sur un nouvel ordre. Raven et Professeur X vont joindre leurs forces pour affronter leur plus dangereux ennemi et sauver l'humanité d'une destruction totale.
Côté casting, on ne change pas une équipe qui gagne : James McAvoy, Michael Fassbender, Jennifer Lawrence, Rose Byrne, Nicolas Hoult, bref que des acteurs que j'adore !
J'adore les X-Men, série que j'avais découvert avec l'opus "X-Men : Commencement" que j'avais adoré !
Pour la petite anecdote, j'avais enchaîné sur un des volets d'"Avengers", sorti au même moment, et j'avais par contre détesté !
Résultat des courses : c'était excellentissime, topissime, à voir absolument !
Il dure 2h30 mais il m'a semblé trop court !
Les acteurs sont top, les répliques géniales, le scénario magistral, on ne s'ennuie jamais, on est tenu en haleine jusqu'à la toute dernière seconde,  on rit, et ...si vous êtres comme moi, vous verserez une petite larme à la fin ^^.

la meilleure scène du film, selon moi, est sur fond musical du cultissime "Sweet dreams" !
Enjoy, et vivement le suivant !

lundi 13 juin 2016

Le Vilain

Un soir, à la télé, j'ai regardé "Le Vilain", film que je voulais voir depuis plusieurs années, car je suis fan d'Albert Dupontel !
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Le pitch : Un braqueur de banques, le Vilain, revient après 20 ans d'absence se cacher chez sa mère Maniette. Elle est naïve et bigote, c'est la planque parfaite. Mais celle-ci découvre à cette occasion la vraie nature de son fils et décide de le remettre dans le " droit chemin ". S'ensuit un duel aussi burlesque qu'impitoyable entre mère et fils.
Dans le tandem principal, deux acteurs que j'adore : Catherine Frot (honneur aux dames^^) et Albert Dupontel !
Par contre, le film est clairement décevant...

vendredi 10 juin 2016

Pauline Détective

Il y a quelques semaines,  j'ai vu un soir à la télé "Pauline Détective".
 
Affiche Pauline détective - cliquez pour agrandir
 
Le pitch : Plaquée par son petit ami, Pauline se laisse entraîner par sa sœur dans un palace de la riviera italienne. Au lieu de savourer les joies du farniente, elle se persuade qu’un crime a été commis dans l’hôtel et s’improvise détective, embarquant dans ses investigations un séduisant maître-nageur…
 
Côté casting : Sandrine Kiberlain, que j'aime beaucoup, Audrey Lamy, Claudio Santamaria...
 
Film très sympa, réalisé de façon originale, qui est à voir une fois et m'a fait passer un très bon moment !
 
Malheureusement, je l'ai vu suite à une semaine chargée, un soir, et suite à une journée encore plus lourde, et je me suis endormie quelques minutes avant la fin, que je n'avais donc pas vue.

Heureusement, une de mes meilleures amies était devant le même soir et a pu me dévoiler la fin quelques jours plus tard !
 
A voir !

jeudi 9 juin 2016

Mr Turner

Hier soir, j'ai vu "Mr Turner", que j'ai du regarder en plusieurs fois, tellement je l'ai subi...
 
Turner2
 
Le pitch : Les dernières années de l’existence du peintre britannique, J.M.W Turner (1775-1851). Artiste reconnu, membre apprécié quoique dissipé de la Royal Academy of Arts, il vit entouré de son père qui est aussi son assistant, et de sa dévouée gouvernante. Il fréquente l’aristocratie, visite les bordels et nourrit son inspiration par ses nombreux voyages. La renommée dont il jouit ne lui épargne pas toutefois les éventuelles railleries du public ou les sarcasmes de l’establishment. A la mort de son père, profondément affecté, Turner s’isole. Sa vie change cependant quand il rencontre Mrs Booth, propriétaire d’une pension de famille en bord de mer.
 
Côté casting, Timothy Spall dans le rôle principal, l'ex Peter Pettigrow dans la saga "Harry Potter".
 
Résultats des courses : le film dure 2h20 et m'a insupportée tout du long, je n'ai rien aimé !
 
Je ne le conseille donc pas !

J'ai détesté !
 
Par contre, j'ai hâte d'aller voir au Centre Caumont à Aix l'expo consacrée à cet artiste !

mercredi 8 juin 2016

Pensées...

 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
"Le chignon, ce diadème qui range ta tignasse". Vianney
 
 
 
 
 


 

"Tout homme a trois vies : l'une publique, l'autre privée, la troisièeme secrète". Garcia marquez

"Chacun de nous a dans le coeur une chambre royale. Je l'ai murée mais elle n'est pas détruite.". Flaubert.
 
A méditer...

mardi 7 juin 2016

Transformers : l'âge de l'extinction

Ce week-end, j'ai été malade une partie du week-end.

Associez à cela une petite chute de moral et vous comprendrez comment j'en suis venue à passer 2h36 devant un opus des Transformers, le dernier film non encore vu sur ma clé.

Ceux qui me connaissent bien savent que je n'aurai jamais fait ça dans mon état normal ^^.
 
"Transformers", donc : "l'âge de l'extinction".
 
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J'avais déjà vu un des opus de la série, que je n'avais pas trop apprécié mais qui avait au moins le mérite d'être moins long...
 
Le pitch : Quatre ans après les événements mouvementés de "Transformers : La Face cachée de la Lune", un groupe de puissants scientifiques cherche à repousser, via des Transformers, les limites de la technologie.
Au même moment, un père de famille texan, Cade Yeager, découvre un vieux camion qui n’est autre qu’Optimus Prime. Cette découverte va lui attirer les foudres d’un certain Savoy, dont le but est d’éliminer les Transformers. Pendant ce temps, le combat entre les Autobots et les Décepticons refait surface…
 
Côté casting : Mark Wahlberg et Stanley Tucci (pour les plus connus).
 
Verdict : long et ennuyeux, comme prévu. Pas mon style, j'en ai vu deux, je ne m'obstinerai pas !

lundi 6 juin 2016

Eliza Grave

Ce week-end, j'ai aussi vu "Eliza Grave".
 
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Le pitch : Lorsqu’il arrive à l’asile de Stonehearst le docteur Edward Newgate est accueilli par le Directeur de l’établissement, le Dr Lamb et une envoûtante jeune femme : Eliza Graves. Edward montre beaucoup d’intérêt pour les méthodes de traitement modernes de Lamb, jusqu’à ce que de mystérieuses disparitions attirent son attention...Suivez Edward dans une passionnante enquête aux frontières de l'étrange.
 
Côté casting : Kate Beckinsale, Ben Kinglsey, Jim Sturgess, Michael Caine et Brendan Gleeson.
 
Verdict : hormis un rebondissement final pas mal pensé, je me suis ennuyée quasiment tout le long et je n'ai pas trop aimé.

vendredi 3 juin 2016

Coups de coeur musicaux !

Quelques nouveaux coups de coeur musicaux, à partager avec vous !
 
Mika, avec "Staring at the sun" :
 
 
Puis Flume, et "Never be like you"  :
 
 
Jean-Luc Ponty, avec "Cosmic Messenger", quelque chose de radicalement différent de mes écoutes habituelles...
 
 
"De mes propres ailes", d'Olivier Dion :
 
 
"This is what you came for", de Calvin Harris :
 
 
"Details in the fabric", de Jason Mraz :
 
 
Et "Nothing left", de Kygo :
 
 
 
Death Cab for cuttie, "Meet me on the quinox" :
 
 
 
Bonne écoute !
 
 
 
 
 
 
 
 
 

jeudi 2 juin 2016

Adaline

Ce week-end, j'ai vu "Adaline" .
 
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Il s'agissait d'un film dont j'avais entendu parler au ciné et qui n'est jamais sorti, ou alors très peu de temps, ou alors directement en dvd.
 
Le pitch : Après un accident qui aurait dû lui être fatal, la belle Adaline cesse de vieillir. Aujourd'hui, bien qu'ayant vécu près de huit décennies, elle est toujours âgée de 29 ans. Après avoir mené une existence solitaire afin de ne jamais révéler son secret, une rencontre fortuite avec le philanthrope et charismatique Ellis Jones, va raviver sa passion de la vie et de l'amour.
 
Côté casting : Blake Lively dans le rôle principal, et Harrison Ford dans un rôle secondaire (pour les plus connus).
 
Je n'ai pas été très emballée, j'ai même plutôt été assez déçue.

mercredi 1 juin 2016

Le Monde de Narnia, chapitre 2 : Le Prince Caspian

Ces jours-ci, suite au visionnage du premier opus de la série, j'ai regardé le 2e volet du Monde de Narnia : "Le Prince Caspian".
Le pitch : Un an après les incroyables événements du Monde de Narnia - Chapitre 1, les nouveaux rois et reines de Narnia sont de retour dans ce royaume magique. Mais à Narnia, plus de 1000 années se sont écoulées. L'Age d'Or du royaume est depuis longtemps révolu, et ce n'est plus maintenant qu'une légende. Les animaux parlants et les créatures mythiques ont disparu, ils ne sont plus évoqués que comme les héros d'un folklore que l'on perpétue chez les Telmarins, une race d'humains dirigée par le maléfique roi Miraz, qui règne sans pitié sur Narnia. Même si l'on se souvient encore du nom d'Aslan dans la forêt, le puissant lion n'est pas revenu depuis un millier d'années.
Les quatre enfants ont été rappelés à Narnia par le Prince Caspian, le jeune héritier du trône des Telmarins. Sa vie est en danger : son oncle Miraz cherche à l'éliminer afin que son propre fils nouveau-né puisse monter sur le trône à sa place. Avec l'aide du gentil Nain rouge, d'une courageuse souris parlante nommée Ripitchip, et du Nain noir aigri et revêche Nikabrik, les Narniens, menés par les puissants rois Peter et Caspian, s'engagent dans une formidable quête à la recherche d'Aslan, afin de sauver Narnia de la tyrannie de Miraz et de rendre sa gloire et sa magie au royaume....

J'ai bien aimé également ce second volet de la série !