vendredi 22 décembre 2017

Joyeux Noël et bonnes vacances d'hiver !

Et voilà, le temps est (enfin ! ) venu de souffler à nouveau, et de reprendre (pour ma part, j'espère que pour vous aussi) quelques jours de vacances bien méritées (j'ai bien travaillé avant cela ! ) .
Je vais donc vous souhaiter de bonnes fêtes de fin d'année, et bien sur un Joyeux Noël !

Je sais, la photo fait un peu cliché de téléfilm américain de Noël, mais je l'ai trouvée très jolie !
Que vos fêtes soient douces, autour d'un feu de cheminée, auprès des vôtres, avec vos amis, entourées de bons crus ou de beaux livres, sur fond de chants de Noël (que personnellement, j'ai toujours du mal à écouter sans avoir la larme à l'œil ^^) ,de Kinder Schokobons ou de Ferrero Rocher !
Que vos repas de famille soient empreints de sérénité, et ne vous donne pas mal au ventre à l'avance et l'envie de vous enfiler une pleine boite de Lexomil...

Que les cadeaux que vous avez choisis pour votre proches plaisent, en espérant que vous ayez ciblé juste et non pas que vous les retrouviez le lendemain sur "Leboncoin" ^^ !



Que vous soyez gâtés, et si ce n'est pas le cas, que vous pensiez à vous gâter, notamment en prenant soin de vous, en vous accordant du temps, en pensant à vous et en étant un peu égoïste pour une  fois !


Et si vous survivez à tout cela, on se retrouve en janvier, avec une liste de résolutions longue comme le bras, que le ne tiendra pas, mais qu'on est toujours contents de prendre (notamment le régime, pour nous, les filles, après les excès des fêtes ^^) !

Alors rendez-vous l'année prochaine, et on y croit : 2018 sera plein de promesses !



Coup de coeur pub !

Coup de cœur pour la dernière pub Intermarché, découverte hier à la télé !



Elle est de saison !

Bon visionnage !

jeudi 21 décembre 2017

Mes livres préférés !


Je possède très peu de livres chez moi.

Voilà plusieurs années, depuis que je suis tombée dans le développement personnel et que je m'intéresse au minimalisme, découvert grâce, notamment , aux livres de Dominique Loreau (je recommande "L'Art de la simplicité" pour découvrir cet auteur, ainsi qu'une première approche du minimalisme).

Du coup, la totalité des livres que je possède figure sur la photo ci dessus :  c'est la plus récente en date, j'en ai enlevé quelques uns il y a quelques temps).

Je vais détailler les titres, que l'on ne voit pas bien sur la photo, et vous dire quelques mots sur chacun d'entre eux.
Je ne vous mettrai pas les pitch, seulement mes avis et ressentis sur ces titres.

Et avant d'aller plus avant dans ce billet, je tiens à dire que certains titres ne sont pas de la "grande littérature", mais pour moi, ce sont des bons livres dans le sens où je les ai aimés, et j'aime encore les relire !
Le dernier de la pile, en partant du bas, est "La Mort des bois", de Brigitte Aubert !
Brigitte Aubert est un auteur que je suis, depuis ce livre que j'adore, et que j'ai eu l'occasion de rencontrer à plusieurs reprises au Salon des écrivains de Fuveau : elle est aussi drôle que ses thrillers sont noirs !
Je suis fan de "La Mort des bois", qui est le premier tome de la "saga Elise Andrioli" (personnage principal des trois volumes) , mais aussi de sa suite, "La Mort des neiges", un tout petit peu moins bien, mais dans lequel ont retrouve quelques uns des personnages de l'opus précédent.
Par contre, le 3e tome, "La Mort au Festival de Cannes", ne vaut pas grand chose entre nous soit dit, très décevant ; l'auteur n'aurait pas dû dépasser le tome 2....

En partant du bas, il y a ensuite "Un cri dans la nuit", de Mary Higgins Clark.


J'ai découvert ce livre via mes parents, il était dans leur bibliothèque et ils me l'avaient conseillé. Quand j'avais épuisé mes livres "à moi", ils me disaient souvent quoi piocher dans les leurs.
Ils m'ont ainsi fait découvrir, entre autres Boris Vian, Stendhal, Donna Tartt, Didier Decoin, Stephen King, Mary Higgins Clark...

J'ai adoré ce livre, qui m'a glacé le sang dès la première lecture !

J'ai beau le connaître par cœur, j'évite toujours de le lire en soirée, avant de dormir, et j'ai toujours refusé de regarder les adaptations sous forme de téléfilms qui avaient pu en être tirées...

Il y a ensuite un vieux numéro de "Je Bouquine", qui propose trois nouvelles , de trois auteurs différents, que j'adore, dont je n'ai plus les titres exacts : une sur une rencontre au delà des apparences, une sur le prince charmant et enfin, une sur une "intellactaboum" !
Pour info, deux des trois auteurs sont Susie Morgenstern et Malka Ferdjoukh !



Je n'ai jamais réussi à me séparer de cette vieille revue, dont je relis régulièrement les histoires et, au fil des ans, elle a passé avec succès à chaque fois l'épreuve des différents tris que j'ai pu faire !

Nous voilà arrivés à présent devant quatre fortes têtes, des "nanas" qui n'ont pas peur de se retrousser les manches et d'affronter la vie et ses difficultés, j'ai nommé bien sûr "Les Quatre Filles du Docteur March", de Louisa May Alcott !


Celui là, on me l'a offert à un anniversaire en primaire, une amie je crois, et j'adore le livre dès sa couverture ! Je veille d'ailleurs très précisément, tout à long de ce billet, à émailler mon propos avec les vraies couvertures des livres que j'ai chez moi, et pas celle d'une autre édition  !
J'adore ce livre, qui est en fait le premier d'une série de 4 ou 5 (j'ai un doute), que j'ai lue intégralement ; il est par contre le seul que je relis régulièrement !
Vient ensuite "Sept baisers sans respirer", de Patricia MacLachlan, offert par ma mère il y a très longtemps .

Là encore, impression de retrouver un vieil ami qui m'aurait accompagné au fil de l'eau, au travers des âges, à chaque fois que je me replonge avec délice dedans !

Ensuite, place à "Halloween Party", de R.L. Stine, dans la série "Peur bleue" (l'équivalent de la série "Chair de poule" pour les un peu plus âgés).



Là aussi, j'ai beau la connaître par cœur, cette histoire fait toujours son pti' t' effet terrifiant !
J'en avais deux autres de cette série, mais elles n'ont pas survécu à l'un des tris !
Vient après Anna Gavalda, et son "Echappée belle", dans la version sortie à l'époque chez France Loisir en littérature ado, d'où la couv' qui n'est pas celle que l'on a le plus vue en librairie...
C'est un cadeau de Fred , qui avait eu du mal à me le dénicher à l'époque (c'était avant la réédition grand public), et j'y tiens beaucoup !
Ce livre me fait toujours le même effet à chaque relecture : celle d'un grand bol d'oxygène, d'une grande bouffée d'air pur, avec son air polisson et ces allures d'école buissonnière !
On reste avec le même auteur pour le suivant, "Ceux qui savent comprendront", encore plus rare que le premier, introuvable et donc...inenvisageable pour moi de le prêter !
C'est aussi un cadeau de Fred je crois !
Ces deux livres, selon moi, auguraient en fait de l'ère des "feel good book" qui cartonnent actuellement : même si le terme n'est apparu qu'il y a peu, il y avait déjà des livres rentrant dans cette catégorie, tout particulièrement les deux que je viens de mentionner !
Là encore, ce n'est que du bonheur cette lecture !
A ce stade du billet, vous devez vous estimer peut-être déçus que je n'en dévoile pas plus sur ces livres, ni sur les pitch, ni plus sur mes ressentis.

Déjà, vous le savez, je manque souvent de temps ou d'occasions pour écrire mes billets, donc je fais au mieux avec ce que j'ai ; j'ai donc estimé sur ce coup là que les plus curieux d'entre vous iraient chercher les pitch d'eux mêmes !
Ensuite, pour les ressentis, eh bien...Justement, ce sont des ressentis, c'est du domaine du personnel, du vécu, et de l'intime, et on n'arrive pas forcément toujours à trouver les mots justes pour faire passer ses idées...Certains livrent nous parlent, ou touchent, tout simplement, sans même que parfois on en trouve la raison ou l'explication derrière.
Et puis le mieux reste que vous alliez vous faire votre propre avis, vous ne pensez pas ? ^^

En espérant en tout cas vous avoir donné envie de les lire tous !
Enfin, une fois que j'aurai fini ce billet, ce qui n'est pas encore le cas, alors hop, on y retourne et plus vite que ça !
J'en arrive donc à La Comtesse De Ségur, avec "Les Vacances" !

C'est la bonne couverture, mais le mien est quand même une édition plus récente (mais dont je ne trouve pas trace sur le net).
Celui là aussi, il date ! Et si, durant mon enfance, j'en ai dégusté beaucoup de cet auteur, il a été le seul à survivre, au fil des ans, dans ma bibliothèque !
En général, j'aime le relire l'été, pendant mes vacances justement !

C'est beau, résolument optimiste et plein de bons sentiments, j'adore !

On en a besoin, surtout à notre époque où tout fout le camp !

Viennent ensuite une grande dame du livre policier anglais, Agatha Christie, et ses "Dix Petits Nègres".


Celui là, je l'avais étudié au collège, en 5e précisément, avec la meilleur prof' de français de tous les temps, sans doute une des profs dont je conserverai toujours un souvenir ému,  la nostalgie, ainsi qu'un souvenir impérissable, accompagné d'un immense sentiment de gratitude !
C'est elle qui nous a appris à nous exprimer le mieux possible, à utiliser les stylos plume (que je prends plaisir à réutiliser lors de correspondances manuscrites avec une amie ; malgré les mails et sms, on tient toutes les deux beaucoup à cette pratique et voilà plus de 15 ans je pense que l'on s'envoie des lettres ! ) .

Ce livre se rapproche un peu pour moi d'"Un cri dans la nuit", dans le sens où, là encore, bien que connaissant la résolution de l'énigme, j'ai toujours autant de mal à le lire sans frissonner ! C'est sans doute là l'apanage des grands écrivains, que l'on puisse relire leur œuvre sans jamais sans lasser et en la redécouvrant à chaque fois ! Il faut croire que certains livres ne se laissent jamais déflorer vraiment...

Et voilà ma transition toute trouvée, puisque le prochain livre est à nouveau de Mary Higgins Clark : "La Clinique du Docteur H."


Là, plus facile pour moi de le lire le soir mais le suspens n'en demeure pas moins toujours présent à chaque lecture !

Et l'on finira sur deux titres du même auteur, un de mes auteurs préférés, voire peut-être mon auteur préféré, j'ai nommé l'inimitable et toujours actuel Guy de Maupassant !

Pour moi, son style n'a pas pris une ride, et l'on démarre avec "Une vie", pour laquelle j'échoue lamentablement en terme de recherche de ma couverture !

J'aime ce récit de la vie d'une femme, ses rêves, ses doutes, ses amours, ses aspirations, le tout superbement rendu sous la plume aiguisée de notre ami Guy !

Et enfin, last but not least, le recueil de nouvelles "Boule de Suif", du même auteur précité.


J'adore ce recueil, j'ai d'ailleurs relus ces deux Maupassant récemment, et je m'en suis délectée !

La première nouvelle, "Boule de Suif", du même titre que le recueil qui la contient, a pour moi des airs de "L'Assomoir", de Zola : dans les deux, il est question à un moment donné de banquet, et mes amis, quelles descriptions !

On a l'impression d'y être, de faire bonne chère avec les personnages, d'avoir pris vie à leur côté dans la fiction, de boire le rouge à la même timbale qu'eux, de partager leur terrine de lièvre, leurs fraises à la crème !

Le style est si vivant, si pertinent, les images si bien rendues, qu'on se retrouve tout droit projetés à leur table, pour le plus grand bonheur de notre odorat et de nos papilles , qui s'activent et salivent à la lecture des lignes de ces deux monuments de la litérature française, de ces deux grands hommes, de ces deux héros (à mes yeux ils en sont en tous cas) !

Voilà, ce billet aurait pu s'arrêter là, si ce n'est que je souhaite mentionner quelques auteurs, qui ne figurent pas dans cette liste , mais ont longtemps habité les étagères de mes différentes bibliothèques, avant que je ne les désherbe (les bib', pas les auteurs ! Remarque, ils y sont passés aussi les pauvres ! ) .

Ceux qui me connaissent bien savent que j'aurais pu ajouter à la liste, selon les époques de ma vie, Bernard Werber, Amélie Nothomb, Boris Vian, Raymond Queneau, Susie Morgenstern, Ann Brashares, Maud Tabachnik, Gilles Legardinier, Gudule, Virginie Grimaldi, Emile Zola, tant leurs œuvres m'ont marquée, chacune à sa façon, chacune au bon moment !

La liste ci dessus n'est classée dans aucun ordre, j'ai juste listé les auteurs tels qu'ils me venaient, et il en manque beaucoup sans doute !

Et je terminerai avec un livre qui ne figure pas sur la photo, mais que j'ai tout de même chez moi, exposé en hauteur, sur un meuble, presque en guise de décoration, mais comme leitmotiv en tout cas !

 Vous allez comprendre avec son titre, car il s'agit de "Pour toujours", de Judy Blume !


Suite à celui ci, j'en ai lu pas mal d'autres du même auteur, sans toutefois jamais retrouver la "magie" de celui ci.

Et je ne résiste pas à l'envie de vous raconter comment j'ai "découvert" ce livre.

J'ai trouvé ce livre, ou alors peut-être est-ce lui qui m'a trouvée ? Va savoir !

C'était chez un bouquiniste aixois que je continue de fréquenter, RBO (Rue des Bouquinistes Obscurs), qui à l'époque possédait deux magasins, et proposait de la jeunesse (aujourd'hui, seul un magasin persiste, et ils ne vendent quasiment plus de littérature jeunesse).

Je errais dans les rayons, à la recherche de je ne sais quoi. Sans doute d'une raison de vivre. J'étais en pleine dépression post-rupture à l'époque (ma première histoire ET ma première rupture), et c'était là une des premières sorties, une des premières fois où, convaincue par ma mère, aussi inquiète que bienveillante , j'ai accepté de remettre le nez dehors. J'avais 18 ans, et j'ai trouvé un livre qui allait devenir un ami précieux, un allié, un soutien, un réconfort en cette période trouble.

Ma mère me l'a offert, et j'en ai entamé la lecture dès notre retour à la maison.

Tout en le lisant, j'ai eu l'impression (exagérément narcissique, j'en suis consciente ^^) que c'était là mon histoire que l'on me racontait !

L'auteur avait su rendre avec une justesse stupéfiante les premiers émois amoureux, les doutes, les frustrations, et toute cette palette d'émotions aussi enrichissantes que contradictoires qui nous habitent lors d'une relation amoureuse, et plus précisément, de la première.

Je ne vais pas prétendre que j'ai refermé ce livre et que j'étais guérie, ce serait mentir.

Mais, il a sans doute participé de ma guérison, contribué à me remettre sur pied, et reconstruire un équilibre instable...

On m'avait brisé le cœur, je n'étais pas la première ni la dernière à qui cela arrivait, je m'en remettrais !

Du coup, je suis reconnaissante à ce livre qui ne m'a pas seulement "divertie", il m'a aussi aidée...

Donc, en guise de vraie conclusion cette fois, je ne vais pas vous ressortir tous les chiffres qui tendent à confirmer que la lecture est bonne pour la santé, pour le coeur, pour la tête, pour la mémoire, pour le vocabulaire et l'orthographe, pour le moral, pour se laisser aller à la rêverie, pour voyager, pour s'octroyer du temps pour soi, pour rêver, rire, pleurer, s'insurger, partager, en parler...

Je dirai simplement :








mercredi 20 décembre 2017

Un voisin trop parfait

Hier soir, la télé diffusait un film que j'avais bien envie de voir, en 2e partie de soirée.

Je me suis donc accrochée et ai essayé de tenir le coup au maximum, afin de regarder "Un voisin trop parfait" !

Le pitch : Une mère, récemment divorcée, a une aventure avec un jeune homme de son quartier. Quand ce dernier sympathise avec son fils et qu'elle décide de mettre fin à leur relation, les problèmes commencent...
Côté casting : Jennifer Lopez, Ryan Guzman, Ian Nelson...
Verdict : le film est bien ficelé, et je m'y suis laissée prendre !
Ce n'est pas du grand cinéma, mais contente de l'avoir (enfin ! ) vu une fois !

lundi 18 décembre 2017

Nouvelle chronique !


Voilà mon 2e billet publié sur le blog pour lequel j’ai été recruté comme chroniqueuse  occasionnelle
 

Les Dissociés

Ce week-end, j'ai regardé un film conseillé par des amis : "Les Dissociés".


Le film a été écrit et réalisé par le collectif d'humoristes français Suricate.
Le site est diffusé gratuitement sur deux plateforme : You tube et le site de Golden Moustache.
Le pitch : Un matin, Lily et ben se réveillent côte à côte dans des corps qui ne sont pas les leurs. Et Magalie, une petite fille dans le corps d'un grand barbu, les attend dans la chambre d'ami. C'est le début d'une aventure rocambolesque, parfois parcours initiatique, où les corps et les identités s'inverseront au gré d'une simple accolade.
Côté casting : Raphaël Descraques, Marsu Lacroix, Julien Josselin, etc...
Verdict : je me suis régalée !
C'est drôle, original, inattendu, bien imaginé, avec un scénario bien ficelé !
Je l'ai mis un peu par hasard, dans un moment creux de mon week-end et en fait, je me suis totalement laissée emportée par ce film, que j'ai regardé sous ma couette depuis mon téléphone !

vendredi 15 décembre 2017

Encore des pensées...

Nouvelles pensées...










"Le chocolat plonge des êtres par ailleurs normaux dans d'étranges états extatiques". John West (je plussoie ^^).


"L'amour est le champ de bataille le mieux partagé. Le challenge, pour que le jeu soit un plaisir, est de trouver un partenaire à sa mesure". Maud Tabachnik, "L'Ordre et le chaos".


Et toujours à méditer !

jeudi 14 décembre 2017

Happy Birth Dead

Hier soir, je suis allée au cinéma avec un ami voir "Happy Birth Dead" !
 

Le pitch : Prisonnière d’une boucle temporelle, Tree, étudiante, revit sans cesse le jour de son meurtre. Une journée apparemment banale qui s’achève systématiquement par sa mort atroce. Finira-t-elle par découvrir l’identité de son tueur ?
 
Côté casting : Jessica Rothe, Israel Broussard, Ruby Modine...
 
Verdict : j'ai bien aimé, bien ri, ça m'a détendue, idéal pour le début de semaine !
 
Ce n'est pas du grand cinéma, et c'est plus une comédie qu'un film d'horreur selon moi.
 
En plus, mon ami bénéficie du bon plan Orange, et on ne paye qu'une place sur deux, on a donc été au ciné à deux pour 6.20 euros (avec ma carte Cinétoile)  : ca vaut vraiment le coup !
 

mercredi 13 décembre 2017

Minimalisme et zéro déchet !


Voilà plusieurs années que je m’intéresse au minimalisme !


 Cela avait commencé avec les livres de Dominique Loreau, et notamment « L’Art de la simplicité », que j’ai déjà souvent cité sur ce blog.



J’essayais de veiller à ne plus accumuler trop de choses, utiliser tout ce que j’avais, en profiter , plutôt que racheter et surconsommer (bon en théorie, car en pratique je craquais parfois)…


En parallèle, j’ai profité de chaque déménagement de ces deux dernières années (5 en tout ! ) pour retrier mes possessions et me délester à chaque fois un peu plus.
J’ai même testé la méthode dont j’ai oublié le nom, qui consiste à trier sa maison en un mois : le premier jour, on se sépare d’un objet, le 2e jour de deux, et ainsi de suite jusqu’à la fin du mois. Cela peut être de petits objets, et personnellement, je crois que j’ai tenu jusque vers le 20e jour. L’idée : savoir exactement ce que l’on a , ne pas garder pour rien (donc typiquement, on vire tous les « ça peut »…), jeter, éviter d’encombrer son intérieur, et pour les fringues, essayer d’arriver à n’avoir que l’essentiel (je m’intéresse à l’idée de la garde-robe capsule ; j’en ferai un billet si un jour j’arrive à mettre en place ce principe. Pour l‘instant, je poursuis mon tri et mes reventes sur le net et en vide-grenier).
Pour ranger, ensuite, j’ai lu les deux ouvrages de Marie Kondo sur la thématique : je les ai trouvés intéressants, mais le 2e est un peu redondant avec le premier selon moi.

A côté du minimalisme, je commençais à entendre pas mal parler du zéro déchet. Une des premières fois, je suis tombée sur le livre de Béa Johnson, la « papesse » du mouvement, en librairie, mais au moment où le livre est sorti, le phénomène n’avait pas encore l’ampleur qu’il connaît actuellement.
Ou alors on en parlait moins, il était moins populaire, ou moins suivi ? Alors phénomène de mode ou mode de vie durable ? Seul l’avenir nous le dira. En tous les cas, je commençais donc à m’intéresser à cette thématique du zéro déchet et pour découvrir ce que cela cache, j’ai commencé par lire des livres sur le sujet : « Zéro déchet », de Béa Johnson, ou encore « Famille presque zéro déchet », de Jérôme Pichon ; et à côté de mes lectures, j’allais voir des vidéos de Youtubeuses.




Je suis ainsi passée de Manu Maquillage à Ilia Renon, ou encore Easy Blush. Je trouve ces deux dernières très inspirantes, et beaucoup plus « femmes » que Manu Maquillage (qui fait un peu enfant gâtée avec le recul).
En les écoutant, j’en ai appris beaucoup sur le zéro déchet, qui peut souvent s’accompagner d’un mode de vie de simplicité, sous consommer, un peu de décroissance, manger bio, veggan, et bien sûr, pour les cosmétiques, passer aux solides (et le must du must : les faire soi-même ! ) ; je vais vous développer tout cela.
En m’intéressant au zéro déchet, je découvrais vite qu’il y avait certaines démarches que je pratiquais déjà : acheter des vêtements en occasion (suis fan d’eBay et de Vinted, même si je craque facilement en boutique quand la dernière collection Le Temps des Cerises pointe son nez ^^), avoir un sac en tissu sur soi pour des courses improvisées qui ne nécessiteraient pas de payer ou demander un sac en plastique, réutiliser certains contenants, écouler mes sacs plastiques déjà possédés en guise de sacs poubelles plutôt que de les jeter, acheter en vrac (je débute).
Et le tri sélectif, que j'avais commencé à faire à l'époque de ma dernière colocation.
J’ai donc voulu entrer dans cette démarche de façon un peu plus active, en me doutant qu’être trop radicale ne servirait à rien. En général, on parle de un an pour mettre en place un vrai mode de vie zéro déchet pour une famille (moi, étant seule avec moi-même, je n’avais qu’à être d’accord avec moi, je n’avais pas à faire passer cette idée auprès d’une famille). J’ai donc mis en place le tri sélectif chez moi, j’essaye d’acheter un peu en vrac, MAIS…
Je n’ai pas pu m’empêcher d’être trop radicale, justement, plus spécifiquement pour le domaine de la salle de bains et des cosmétiques.
Une fois terminés mes paquets de cotons tiges et de mouchoirs en cours, je suis passée aux mouchoirs en tissu (demandés à ma grand-mère qui en gardait religieusement dans une de ses commodes) et j’ai remplacé mes cotons tiges par un auriculi.
J’ai aussi remplacé mes gels douche et shampoings par des savons. Idem pour le déodorant : je suis passée au solide, avec une création  offerte par ma responsable, qui fait désormais ses cosmétiques elle-même.
J’ai donc commencé à prospecter sur le net sur des sites bio conseillés, tels que Lamazuna, ou Pachamamai , cosmétiques bio et zéro déchet.
J’ai passé des commandes, j’ai aussi pris une crème de jour et un baume à lèvres chez Fleurance Nature, des cotons réutilisables aux Tendances d’Emma, un gel d’aloé vera et une eau florale chez Onaterra (j’aime beaucoup cette boutique qui a récemment ouvert à Aix aux Allées Provençales), une huile de coco bio chez Sephora, une BB crème bio, un anti cernes bio, et j’avais dans un de mes paniers sur le net des serviettes hygiéniques réutilisables (en tissu, lavables, comme les cotons) que j’avais prévu d’acheter. Or, pour mettre en place tout cela, je tiens à préciser que je n’ai pas jeté mes anciens cosmétiques, j’ai attendu petit à petit de les avoir écoulés pour les remplacer par des choses plus naturelles, meilleures pour la santé et pour la peau, mais pas pour le porte-monnaie. Car dans le zéro déchet (et le bio), il y a des arguments séduisants, d’autres moins.
 Car en effet, pourquoi le zéro déchet ? J’explique depuis le début de ce billet que je m’y intéresse, mais n’ai pas dit pourquoi.
 Donc : pourquoi le zéro déchet ?
 Dans une démarche environnementale ; dans une démarche anticonsumériste (et je sais , là j’ai du boulot !), pour consommer moins, mais mieux ou du moins différemment. Le temps gagné à ne plus faire les courses/les boutiques permet d’être réinvesti ailleurs, en temps avec ses amis, en activités de loisir, en sport, en méditation, en temps pour soi, en réflexion, en écriture, en tout ce que vous souhaitez en fait !
Cela permet de faire des économies (à terme, hormis quelques petits investissements à faire avant ou pendant, ex : cf. au-dessus, les cosmétiques solides ou les mouchoirs en tissu, etc…), d’être en meilleure santé, de moins jeter ; trois des idées phares étant de réduire, réutiliser et recycler.
Je sais que le bilan se fait à un an, et moi mon "expérience" a un début qui se situe environ en août.
Mais je vais déjà vous faire un petit retour de comment cela se passe/ s'est passé pour moi.

Mettre en place le tri sélectif a été facile et rapide : hop, un cabas qui y est consacré dans un coin de la cuisine, et un saut aux conteneurs une fois par semaine, voire une fois tous les quinze jours grand maximum. Il n'y en a malheureusement pas dans ma résidence, qui ne recycle que le carton, mais à une (longue) rue de chez moi, j'ai trouvé un emplacement dédié au recyclage.
Je débute dans le domaine, j'essaie d'identifier ce qui se recycle ou non, sans trop me prendre la tête non plus, donc de ce coté là, pas de grosse contrainte.
Côté cosmétiques...je savais que cela allait se révéler plus compliqué. La preuve, déjà, j'étais assez réticente à l'idée de repasser au savon, et à la fois très enthousiaste à l'idée d'acheter du savon artisanal, sur des sites net bio ou dans des petites savonneries (elles fleurissent à Aix ! ).
J'avais testé un peu les marques Melvita et Lavera, encouragée à l'époque par ma coloc (celle du tri sélectif) qui connaissait bien ces deux marques; je n'avais pas forcément adhéré...
J'ai commencé par un savon pas vraiment bio ni artisanal, un pour le visage de la marque Caolion, que j'avais acheté chez Sephora et adoré utilisé !
Et pour le corps, celui à la pêche de vigne de Rampal-Latour qui avait été un bonheur aussi (je vous en parlerai avant, ou après, je ne sais pas encore dans quels ordre je vais publier mes billets, dans un billet à part entièrement dédié à mes derniers coups de coeur cosmétiques).
J’ai aussi acheté un après-shampoing solide, pour accompagner la fin de mon dernier flacon de shampoing (pas solide lui par contre). J’ai été assez bluffée du résultat, j’étais très sceptique, moi qui ai des cheveux ondulés, très épais et un peu secs je me disais je n’arriverais jamais à les démêler, je vais mourir, casser ma brosse dans mes cheveux etc, bref , les pires scénarios catastrophes ; et en fait, que nenni !
Tout s’est bien passé, et j’ai pu démêler mes cheveux sans heurts, et au final, les retrouver souples et légers.
J'ai même fait moi-même  mon gommage visage, à partir d'une recette trouvée sur le net et ne nécessitant que de l'eau et du sucre !
 MAIS je trouve les cosmétiques solides assez chers, déjà de base, plus chers que les autres, et je suis un peu consternée de voir leur durée de vie, d’utilisation. Cela fait le tout à un rapport qualité prix assez élévé selon moi.

Et le fait que cela ne soit pas trop démocratisé, même en boutique bio, fait que l’on est obligés de les commander sur Internet (Mademoiselle Bio, Lamazuna, Pachamamai pour ne citer que ces trois là) , et de payer des ports en plus du prix (souvent , le port est offert à partir de  ou 30 ou 50 euros d’achats sur le site, ce qui n’est pas le cas quand on ne commande qu'un seul produit comme moi).
Bilan final pour les cosmétiques : j’ai fini mon savon pour le corps, et j’en ai racheté un autre, ainsi qu’un…gel douche, car j’aime toujours en utiliser. J’envisage le rachat d’une fleur de douche. J’ai troqué ma crème visage bio qui faisait un effet plâtre via une odeur clairement pas top pour reprendre ma crème Clinique chez Sephora. J’ai viré mes mouchoirs en tissu (en public, c’est pas possible notamment) pour revenir à ceux en papiers, les jetables traditionnels ; et sentant une gêne au niveau des oreilles, jai racheté des cotons tiges et vu le résultat au premier nettoyage (on aurait dit que mes oreilles n’avaient pas été nettoyées depuis belle lurette !), j’ai remisé mon auriculi au placard. Quant au parfum, je n’en parle même pas tellement il est inenvisageable pour moi d’arrêter d’en porter, alors je continuerai à recycler les flacons vides chez Sephora, qui les reprend en échange de remises sur le nouvel achat. Et j'ai racheté un gommage bio pour le visage !
Et pour la nourriture me direz- vous ?
Là encore, je coninue à faire la plupart de mes courses en grande surface traditionnelle, matinées parfois de quelques sauts en boutiques bio pour quelques produits spécifiques et un peu de vrac que je ne trouve que chez eux.

Côté nourriture, en plus, en dehors des idées bio et ZD, on vient de m’annoncer (mon docteur) une intolérance aux œufs et au gluten qui expliquerait mes maux de ventre de ces... 33 dernières années !
Du coup, le passage en boutique bio qui propose des rayons sans gluten plus étendus que les grandes surfaces traditionnelles va s’imposer plus régulièrement. Et pour le reste, essayer de faire cuire moi-même ce que je mettrait dans mes dîners ou tupperware du midi va devenir un passage obligé. Je ne parle pas de cuisiner car je ne possède ni congélateur, ni four, ni lave vaisselle, alors comme dit un ami : « Je ne cuisine pas, je me nourris) ! Et concernant le bio, ça coûte pas mal plus cher pour un résultat auquel je ne suis pas sûre de croire (l'éternel débat du champs bio à côté de celui plein de pesticides, fiabilité des labels, etc).
En conclusion, concernant le minimalisme, le bio et le zd, je dirai que je suis partie très emballée (pas terrible pour du zd, excusez le jeu de mot, facile mais trop tentant ! ) , pleine d’idées, de motivation et d’enthousiasme, et , qu’encore une fois, je me suis beaucoup trop emballée, ou enflammée un peu trop vite.
Du coup, je vais continuer ma quête du minimalisme et de la recherche de moins consommer et manger mieux, mais j’ai fait quelques pas en arrière en ce qui concerne le zd. Et puis je pense aussi que c’est plus facile à deux, mais ce n’est que mon avis. Je pense aussi que je ne suis pas assez engagée dans ce thème là, car peut etre sans doute pas assez convaincue, ou militante. Et peut-être encore tout simplement ai-je d’autres combats personnels à mener avant ? D'autres choses à régler avant ?
J’ai entrepris cette année pas mal de démarches afin de chercher à savoir qui je suis vraiment, ce qui me conviendrait le mieux : bilan sanguin, psy, analyses médicales sur les intolérances alimentaires, envies de changement de travail, de reconversion, et donc, début d’un bilan de compétences, bref, je ne suis pas sûre que le zd puisse s'inscrire en ce moment comme une priorité. A la limite, le gérer en parallèle, si j’ai l’esprit qui devient assez libre pour cela, pourquoi pas ? Ou m’y remettre sérieusement plus tard, pourquoi pas ? En tous les cas, cela ne change pas me fait que j'admire et encourage les personnes pleinement engagées dans cette démarche notamment une amie à moi et ma responsable), j’avais eu envie de tester cela notamment encouragée via deux Youtubeuses que j’aime bien, je les trouve très inspirantes et vous conseille d’aller les découvrir , il s’agit d’Ilia Renon et d’Easy Blush !
Mais bon, comme en parallèle je travaille aussi sur le lâcher prise, je ne veux pas trop me rajouter de contraintes supplémentaires liées à cela ; un petit pas à la fois, chaque chose en son temps !

mardi 12 décembre 2017

Coup de coeur BD !

Récemment, j'ai lu une BD que j'ai beaucoup aimée et dont je tenais à vous parler ; il s'agit de "Rentre dans le moule", de LeCilVert !
Le pitch  : Jean n’a jamais vraiment su ce qu’il voulait faire de sa vie alors il a suivi les aspirations des autres.
Il est rentré aux Arts et Métiers, il a vécu le "bizutage" de l’école et décroché son diplôme d’ingénieur pour plaire à son père. Il a accepté ensuite un boulot qui ne lui plaisait pas parce qu’il allait devenir papa et qu’il devait « assurer ». Il a tout fait selon les règles, mais est-ce vraiment sa vie ?

J'ai connu cette BD dans le cadre de mon boulot, et de nombreux autres centres l'ont achetée aussi. En ce moment, elle est très demandée, mais j'ai eu la chance de l'emprunter un soir, entre deux réservations.
LeCilVert entretient volontairement l'anonymat autour de son identité, on sait seulement que dans sa jeunesse, il a fait l'Ecole des Arts et Métiers.

Verdict  : j'ai beaucoup aimé !
J'ai aimé le côté moqueur, impertinent, irrévérencieux de la BD. Au delà de cela, on sent que l'auteur voue une grande tendresse à son école, même s'il a su prendre ses distances et porter un regard ironique, là où d'autres ne cherchent pas à analyser ou discuter ce qu'on leur propose, ou remettre en cause le système en place.
J'ai aimé aussi le fait (qui ne va pas plaire à tout le monde selon moi, notamment aux étudiants anciens comme actuels des Arts) que l'on nous en dévoile un peu plus que d'habitude sur les traditions (ou "Trad's" en argot gadz'art).
A lire et à offrir pour Noël à un ancien de cette école !

lundi 11 décembre 2017

Coup de coeur lecture !

Un coup de cœur lecture pour un livre jeunesse/jeunes adultes (comme vous le savez, j'aime aussi ce segment de la littérature!  ) !
Le livre en question d'appelle "Everything", de Nicola Yoon ,et il a été également adapté au cinéma (je n'ai pas encore vu le film).

Le pitch : « Everything, everything est vraiment tout : puissant, charmant, déchirant, et si prenant que je l'ai dévoré d'une traite. L'un des rares romans qui vous élèvent, vous brisent et vous nourrissent en même temps. » Jennifer Niven, auteur de Tous nos jours parfaits Ma maladie est aussi rare que célèbre, mais vous la connaissez sans doute sous le nom de « maladie de l'enfant-bulle ». En gros, je suis allergique au monde. Je viens d'avoir dix-huit ans, et je n'ai jamais mis un pied dehors. Un jour, un camion de déménagement arrive. Je regarde par la fenêtre et je le vois. Le fils des nouveaux voisins est grand, mince et habillé tout en noir. Il remarque que je l'observe, et nos yeux se croisent pour la première fois. Dans la vie, on ne peut pas tout prévoir, mais on peut prévoir certaines choses. Par exemple, je vais certainement tomber amoureuse de lui. Et ce sera certainement un désastre.
Verdict : j'ai adoré et j'ai dévoré !
Le style est fluide, l'histoire prenante, les personnages attachants, les rebondissements nombreux, le dénouement : inattendu et merveilleux !
Et je suis impatiente de découvrir le film !

vendredi 8 décembre 2017

Nouvelles pensées...


"J'ai eu beaucoup de problèmes dans ma vie dont la plupart ne sont jamais arrivés !"

Mark Twain









Comme toujours, à méditer...