jeudi 17 décembre 2015

Zéro sucre, la suite !


Bonjour à tous ,

 

Je commence ce billet en réalisant avec stupeur que vous dire « un p’tit bonjour » n’est pas automatique dans mes post, erreur qui sera réparée dès ce jour. En attendant, toutes mes excuses pour cette négligence difficilement pardonnable.

J’ai posté récemment un billet sur mon dernier livre coup de cœur, « Zéro sucre », de Daniel Gerkens.

 

Suite à cette lecture, voici ce que j’avais écrit dans un cahier, et que je souhaite partager avec vous aujourd’hui.

 
Je m’appelle E. V. J’ai 31 ans et je suis très gourmande. Parallèlement, j’ai une relation assez conflictuelle avec la nourriture : je peux manger parce que je m’ennuie, parce que je stresse, parce que je suis triste, ou en colère, ou encore parce que je suis à la maison, et tout simplement, je sais qu’il y a du chocolat dans la pièce d’à côté ^^.
 
Et même si globalement, je préfère le salé (surtout quand j'ai faim), ça ne m'empêche pas de craquer aussi sur du sucré, surtout lorsque je ressens une pression ou un stress intense, que je n'arrive pas à surmonter autrement.
 
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Or, le stress, c'est un peu toute ma vie. Le stress me donne mal au ventre, et ce quasiement depuis toujours. Or, rajouter du sucre là dessus n'aide en rien à résoudre les maux de ventre; Bien au contraire, cela ne fait qu'empirer les choses...
 
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Je sais que lorsque j'engloutis un paquet de gâteaux, ou une tablette de chocolat, sous le coup d'une émotion trop vive et mal gérée, je ne fais qu'aggraver mon cas. De plus, j'ai appris récemment que manger des saletés entraîne des baisses d emoral, et on sait tous ce qu'entraînent les baisses de moral ? se réfiguer dans les plaisirs rapide,s les satisfactions immédiates, à sa voir, se goinfrer de sucreries. Je défie quiquonque de soigner un coup de blues à coup de courgettes vapeur ou de carottes vichy...^^
 
La boucle est bouclée, c'est donc le serpent qui se mord la queue.
Il y a quelques jours, j'ai terminé le livre de Danièle Gerkens, "Zéro sucre", dont je vous ai parlé dans un bille tprécédent. je l'avais commencé la veilmle, je l'ai quasiement dévoré, si vous me permettez l'image facile, et je vous en recommande la lecture !
 
J'y ai appris beaucoup de choses sur le sucre : ses méfaits, les aliments insoupçonnés dans lesquels il peut se cacher, son côté addictif. Bref. Et je me suis dit : pourquoi pas moi ? Pourquoi ne pas, à mon tour, tester une année sans sucre ?
 
2015 a été pleine de grands bouleversements, et de changements positifs : un rééquilibrage alimentaire, troc de la vie en solo contre une coloc' génaile, du sport, alors pourquoi ne pas placer 2016 sous d'autres auspices tout aussi positifs ?
 
En général, j'ai parfois du mal à me tenir à certaines de me décisions, surtout en ce qui concerne l'alimentation. Malgré une forte motivation, je peux parfois manquer de volonté, et/ou de discipline. Et douter.
 
Malgré tout, je décide que je vais tenter le coup. Cette aventure durera un an. Un an avec sucres lents (pain, pâtes, riz, en privilégiant le complet ou semi-complet), avec des sucres naturels (fruits), mais sans sucres raffinés ou industriels.
 
Au moment où je décide de tenter le coup donc, soit à la fin de la lecture du livre, je me lève et j'éradique toute trace de chocolat de l'appart : y sont passé des Kinder, et la fin d'une tablette de chocolat noir. Voilà. A présent, j'étais prête, et l'appart allait suivre !
 
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Cela s'annonce dur, ou compliqué pour moi qui ai du mal à ne pas finir un repas sur une note sucrée, et qui craque volontiers sur une douceur, le soir, une fois détendue devant la télé. Moi qui suis accro au chocolat. Moi qui "gère" tout mon stress via la gourmandise, voire la boulimie selon les cas. Il va falloir sérieusement modifier les mécanismes de mon cerveau, et parvenir enfin à juguler le stress autrement.
 
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Pour ce faire, j'hésite encore entre remplacer le sucre , en général, et le chocolat, en particulier, par le sport, ou le sexe.
 
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Ah. Mais je me rappelle soudain que je suis célibataire. Soit. Ce sera donc le sport (soupir résigné^^).
 
Je tâcherai de vous faire un bilan mensuel de mon parcours.

Alors, en attendant, souhaitez-moi bonne chance pour cette nouvelle vie !
 
No sugar !

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