vendredi 31 janvier 2020

Ghost in love

Récemment, j'ai lu "Ghost in love", le dernier Marc Lévy.



Le pitch  : ils ont trois jours à San Francisco. Trois jours pour écrire leur histoire. Que feriez-vous si un fantôme débarquait dans votre vie et vous demandait de l'aider à réaliser son voeu le plus cher ? Seriez-vous prêt à partir avec lui en avion à l'autre bout du monde ? Au risque de passer pour un fou ? Et si ce fantôme était celui de votre père ? Thomas, pianiste virtuose, est entraîné dans une aventure fabuleuse : une promesse, un voyage pour rattraper le temps perdu, et une rencontre inattendue… 

Verdict : beaucoup aimé, et dévoré ! 

Marc Lévy est un auteur que je suis, et j'aime bien, et dont les titres sont parfois très inégal ! 

J'ai aimé celui-ci, qui devait plaire je pense à ceux qui avaient aimé "Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites"...

jeudi 30 janvier 2020

Danser, encore

Récemment, j'ai lu "Danser, encore", de Julie de Lestrange.
Le pitch : Alexandre, Marco et Sophie connaissent une amitié de trente ans et autant d'amour, de blessures, de déceptions et de joies. Désormais adultes, confrontés au poids du quotidien et des responsabilités, à l'existence et ses tourments, sonne l'heure de faire des choix.

Mais qu'advient-il dès lors qu'il n'y a plus de guide?

Que reste-t-il des certitudes lorsque le sort frappe au hasard?

Juste un vertige, profond et déroutant, des liens indéfectibles, et parfois comme la nécessité de respirer, le besoin de danser et celui de s'aimer.
Découvrez la bande de copains drôles et attachants qui a fait le succès de Hier encore, c'était l'été, et plongez dans une magnifique histoire d'amour, un hymne à l'entraide, qui fait la part belle à la vie et à notre humanité.
Verdict : j'étais très impatiente de le lire, tellement j'avais aimé le premier roman de cet auteur, "Hier encore c'était l'été". Et au final, cette fois, plutôt déçue, la magie n'a pas opéré...
Pour moi, le premier roman est bien meilleur, là, on réchauffe, on recycle mais il n'y a plus la surprise, la légèreté et la magie du premier opus qui m'avait tellement enchantée !

mercredi 29 janvier 2020

Cosmétiques 2020/2

Des cosmétiques, encore et toujours, et voici les résultats des derniers tests effectués ! 

On commence avec un shampoing, le Timotei, de la gamme nutrition intense : 


Pas mal, mais je préfère l'odeur, la texture et l'effet de celui de la gamme "réparation prodigieuse", même s'ils ont changé la formule et enlevé la rose de Jéricho : 


Depuis, ils ont rebaptisé la gamme "réparation miraculeuse", c'est un peu moins bien, mais toujours très bien quand même ! 


On continue avec le masque hydratant réparateur de Kristin Ess


J'ai adoré, et la texture crémeuse, et l'odeur subtile, et le rendu sur mes cheveux secs qui étaient hydratés et sublimés ! 


On continue avec un masque visage, le masque 3 en 1 de La Rosée


Cela faisait longtemps que j'en entendais parlé, et que j'avais envie de le tester, je n'ai pas été déçue, j'adore, et sans doute : BEST MASK EVER ! 

Joli packaging, format stick original et pratique, permet d'éviter d'en mettre trop et donc de le gaspiller, sent divinement bon, et laisse une peau éclatante, et comme neuve ! 

On continue avec un baume à lèvre rose de chez Avène, que je voulais tester depuis longtemps aussi : 


Il est hydratant, et couleur naturelle mais rien de transcendant, il ne m'a pas transportée, pas de réel coup de cœur...

Puis des parfums ! 

On commence avec le Flower by Kenzo Poppy Bouquet, le dernier Kenzo


Énorme coup de cœur, je vais le tester sur ma peau et s'il rend bien, je le prendrai dès que possible  ! 

Ce coup de cœur, me ravit, et me désole tout à la fois : décidément, je n'arriverai jamais à être fidèle à une seule fragrance ! 

Et puis j'adore ce flacon relooké en rose ! 

Et aussi, de Guerlain, le Flora Cheerysia, de la gamme Aqua Allegoria : 



Original, surprenant, agréable, mais pas de coup de foudre ! 
Et le flacon est sublime, comme touts ceux de la gamme ! 

Puis un autre Guerlain, La Petite Robe noire, dans sa déclinaison "Ma robe plissée" , aux notes d'abricot : 


Grâce à mon d'achat Sephora de Noël, je le porte depuis quelques semaine,s et j'adore ! 
Le flacon est sublime, et la fragrance m'a envoûtée , sans être ni trop sucrée, ni écœurante ! 


Et on termine avec une lotion visage de chez Biotherm :  


J'ai bien aimé, elle sent bon et est douce avec les peaux mixtes, mais je préfère définitivement me démaquiller avec une huile ou une gelée, ou tout autre produit ne nécessitant pas l'usage d'un coton, qui dans mon cas m'agresse la peau...

C'est tout pour cette fois-ci, alors on attend la suite, et...












mardi 28 janvier 2020

Dans le jardin de l'ogre

Récemment, j'ai aussi lu "Dans le jardin de l'ogre", de Leila Slimani.




J'avais découvert cet auteur i y a quelques années, avec "Chanson douce", que j'avais adoré, et je pense que j'avais dû lire celui-ci à la suite, même si je n'en avais aucun souvenir.

Mais en le lisant, j'avais comme une impression de déjà vu, alors déjà lu ou pas, le mystère demeure entier ; ) ! 

Le pitch : "Une semaine qu'elle tient. Une semaine qu'elle n'a pas cédé. Adèle a été sage. En quatre jours, elle a couru trente-deux kilomètres. Elle est allée de Pigalle aux Champs-Élysées, du musée d'Orsay à Bercy. Elle a couru le matin sur les quais déserts. La nuit, sur le boulevard Rochechouart et la place de Clichy. Elle n'a pas bu d'alcool et elle s'est couchée tôt.Mais cette nuit, elle en a rêvé et n'a pas pu se rendormir. Un rêve moite, interminable, qui s'est introduit en elle comme un souffle d'air chaud. Adèle ne peut plus penser qu'à ça. Elle se lève, boit un café très fort dans la maison endormie. Debout dans la cuisine, elle se balance d'un pied sur l'autre. Elle fume une cigarette. Sous la douche, elle a envie de se griffer, de se déchirer le corps en deux. Elle cogne son front contre le mur. Elle veut qu'on la saisisse, qu'on lui brise le crâne contre la vitre. Dès qu'elle ferme les yeux, elle entend les bruits, les soupirs, les hurlements, les coups. Un homme nu qui halète, une femme qui jouit. Elle voudrait n'être qu'un objet au milieu d'une horde, être dévorée, sucée, avalée tout entière. Qu'on lui pince les seins, qu'on lui morde le ventre. Elle veut être une poupée dans le jardin de l'ogre."


Verdict : j'ai adoré ! 

L'ouvrage, tout comme le premier, est extrêmement bien écrit, très prenant, avec une belle analyse psychologique et des portraits de personnages réussis.

L'héroïne essaye tant bien que mal de mener une vie normale malgré sa nature, qui la tyrannise. Selon moi, elle est piégée, victime de ses pulsions, à mi-chemin entre la nymphomanie et l'érotomanie.

Ses troubles, avant qu'elle ne se prenne en main pour les soigner, l'empêchent d'être mère, et journaliste accomplie, donc il est intéressant d'envisager le livre comme une progression, un chemin de croix vers une rédemption, suggérée, soupçonnée ou...simulée...

Pour moi, la fin de ce livre est aussi ambiguë que celle du film "Orange Mécanique", et on ne sait pas très bien quel est l'état réel de notre héroïne, et où elle en est de ses troubles, au moment où le récit s’achève...

lundi 27 janvier 2020

La Maison


Je viens de finir le livre "La Maison", d'Emma Becker.



J'ai entendu parler de ce livre dans la presse, et sur les réseaux sociaux, j'ai eu tout de suite envie de le lire.

Une journaliste, écrivain qui pour mieux écrire sur les prostituées passe deux ans comme l'une d'elles, en maison close, pour mieux raconter ensuite, c'était du jamais vu selon moi ! 


Le pitch  : "J'ai toujours cru que j'écrivais sur les hommes. Avant de m'apercevoir que je n'écris que sur les femmes. Sur le fait d'en être une. Ecrire sur les putes, qui sont payées pour être des femmes, qui sont vraiment des femmes, qui ne sont que ça ; écrire sur la nudité absolue de cette condition, c'est comme examiner mon sexe sous un microscope. Etc en éprouve la même fascination qu'un laborantin regardant des cellules essentielles à toute forme de vie."

Verdict : l'ouvrage a eu le Prix Renaudot, et ce n'est pas pour rien, car je l'ai trouvé très bien écrit ! 

Déjà, il faut savoir que ceux qui le liraient "en mode voyeur", à la recherche de sexe, seront déçus.

Car là n'est pas le propos.

Selon moi, le livre parle des hommes, des femmes, du mystère que l'un représentera toujours pour l'autre, et des instants miraculeux où les deux peuvent s'accorder.

Il est question de travail, de lutte, de sentiment parfois, de compatibilité, de ne pas mélanger travail et plaisir, d'estime de soi, de beaucoup de choses en fait !

Bien sûr, il est aussi question de sexe, et certaines scènes peuvent être qualifiées de crues, mais en comparaison de ce que l'on peut voir ou lire régulièrement, rien de choquant.
Et ce n'est pas ce que je retiendrai.

Je n'arrive pas à savoir si j'admire la démarche de cet auteur qui pour mieux écrire s'est immergée, est devenue l'un des sujets de son livre, si elle me choque, ou si elle me "dégoûte". Le terme est fort et mal choisi mais ce matin, je ne trouve pas d'équivalent moins fort, mais vous aurez compris l'idée.

Je ne sais pas à quoi ressemble son quotidien aujourd'hui, si une vie "normale" est possible après une telle expérience,e à quoi ressemble le regard que les gens posent sur elle : voient-ils la femme ? L'écrivain ? La pute ? 

Je ne peux pas m'empêcher non plus de me demander s'il ne s'agit pas d'une nymphomane qui ne s'assumerai pas et aurait pris ce livre pour prétexte de l'expérience.

Je crois que pour moi, ce qui reste le plus surprenant dans ce livre, c'est le côté très humain de ces portraits de femmes. Attention, je n'ai jamais dit qu'une pute est un monstre, mais l'auteur dépeint des femmes qui sont là par choix, qui ont préféré parfois cette alternative là pour payer leurs factures ou arrondir les fins de mois, certaines aiment ça et surtout, toutes sont heureuses au sein de La Maison...

dimanche 26 janvier 2020

Spinning out

Récemment, j'ai regardé la saison un de la série "Spinning out" sur Netflix.



Le pitch : Lorsqu'une terrible chute menace sa carrière de patineuse de compétition, Kat Baker saisit une chance de poursuivre son rêve olympique, au risque de tout perdre. Dans Spinning Out, Kat affronte ses propres démons et traverse les épreuves, tant sur la glace que dans la vie.

Côté casting :  Kaya ScodelarioJanuary JonesWillow Shields...

Verdict : j'ai adoré ! 

Selon moi, c'est un genre de "Black Swan" transposé au monde du patinage, monde qui m'a toujours fasciné ! 

Le thème de la bipolarité séduit décidément les scénaristes, et Kat m'a parfois rappelé Carrie, de "Homeland", série que j'adore et suis aussi (j'attends la saison 8 à la fin du mois).

A voir ! 


samedi 25 janvier 2020

Une évidence

Récemment, j'ai aussi lu "Une évidence", d'Agnès Martin-Lugand.
Le pitch : Reine mène une vie heureuse qu'elle partage entre son fils de dix-sept ans et un métier passionnant.
Une vie parfaite si elle n'était construite sur un mensonge qui, révélé, pourrait bien faire voler son bonheur en éclats...
Faut-il se délivrer du passé pour écrire l'avenir ?
J'étais très impatiente de le lire, c'est le dernier de cet auteur dont j'ai tout lu, que je suis et que j'adore !
Verdict : comme d'habitude, je l'ai refermé la gorge nouée et les larmes aux yeux !
Mon problème avec les livres de cet auteur, est que j'ai à la fois très envie de tourner les pages et d'avancer dans l'histoire, et à la fois l'envie de le faire durer le plus longtemps possible, afin de patienter jusqu'au suivant...
A lire, et à offrir !

vendredi 24 janvier 2020

Cosmétiques 2020/1

Vous en rêviez, vous le vouliez, vous l'attendiez : voici le premier billet beauté de l'année ! 


On commence tout de suite avec un gel douche Le Petit Marseillais, à l'amande et à l'aloé vera : 


J'ai adoré l'odeur, et sa texture crémeuse ! 

Du coup, dans la même gamme, on a acheté celui à l'aloé vera et à la fleur d'abricotier : 

Bon gros coup de cœur aussi, suis fan de l'odeur, et je crois que je l'aime encore plus que le précédent ! 

Pour rappel, l'an dernier j'avais testé, et beaucoup aimé aussi celui à l'aloé vera et la fleur de pommier  :


Puis un autre gel douche, de chez Cadum, à la figue : 


Très exactement, c'est une gelée de douche, et j'dore, là aussi gros coup de cœur pour s texture gelée, et son parfum frais, original et subtil ! 

On continue avec un mascara, de chez Dior, le Diorshow Pump'n Volume  : 


Je l'ai pris en noir, en non waterproof et je l'adore ! 

Je trouve qu'il sépare bien les cils et intensifie le regard ! 

On continue avec le fond de teint Sculpt de chez Mac


Je n'ai pas aimé, je l'ai trouvé trop couvrant, trop gras, au fini pas terrible et au rendu pas assez naturel ! 

On reste chez Mac avec leur crème illuminatrice, le Strobe Cream : 


Là, j'ai bien aimé, elle se mélange à la crème de jour pour un fini plus lumineux et un teint légèrement glowy ! 

On continue avec un masque de nuit de chez Laneige


J'adore les produits de cette gamme ! Là, cette crème sent bon, texture gel hyper fraîche, non grasse, et peau sublime au réveil ! 

Puis on reste chez Laneige avec leur contour des yeux : 


J'ai adoré aussi ! Sent bon, j'avais l'impression d'avoir moins de poches ou cernes le matin ! 

Et on termine avec un savon au tamanu, acheté en ligne sur Zenzishop


J'aime beaucoup, j'ai l'impression qu'il m'aide à réguler ma peau mixte, et même si l'odeur n'est pas très attractive, j'aime l'utiliser ! 

C'est tout pour cette fois-ci, sachez qu'il me reste de quoi rédiger trois autres billets en ce début d'année, y a plus qu'à, mais en attendant...















 

jeudi 23 janvier 2020

L'Amie Prodigieuse (again) ^^

Non, je ne suis pas folle et ce billet n'est pas une redite d'un autre déjà publié ; ) .
"L'Amie Prodigieuse", ce sont d'abord des livres, écrits par Elena ferrante, mais ils ont ensuite été adaptés en série, et diffusé sur Canal + !
Le pitch : quand la plus vieille amie d’Elena Greco semble avoir disparu sans laisser de trace, cette femme férue de littérature décide d’écrire l’histoire de leur amitié. Sa rencontre avec Raffaella Cerullo, qu’elle a toujours surnommée Lila, remonte à leur première année d’école primaire en 1950. Une amitié de plus de 60 ans, avec pour toile de fond la dangereuse et fascinante ville de Naples, que le destin et les décennies tenteront de mettre à mal, alors que les deux amies finiront par prendre des chemins différents dans la vie.
Côté casting : Margherita MazzuccoElisa Del GenioLudovica Nasti…
Verdict : j'ai adoré !
Pour moi, la série, qui ne comprend pour le moment qu'une saison, reste très fidèle à l'esprit des livres, et les acteurs sont très ressemblants à ceux décrits, et que j'avais imaginés !
La saison un ne reprend que le premier livre, et propose dix épisodes.
Une saison deux, qui comportera huit épisodes, et devrait a priori relater le deuxième volume, est annoncée, mais elle serait pour le moment diffusée uniquement sur HBO...
A voir, après avoir lu les livres bien sûr !

mercredi 22 janvier 2020

L'Amie Prodigieuse

A partir de l'automne dernier, j'ai plongé dans une saga littéraire que l'on m'avait souvent recommandée, "L'Amie Prodigieuse", d'Elena Ferrante.
On me l'avait beaucoup recommandé, depuis longtemps, mais cela ne me tentait pas.
Les livres ont fait le buzz, de par leur succès pur et simple, et de par aussi le mystère qui a entouré l'identité de l'auteur. Tout le monde se demandait qui était Elena Ferrante, et la rumeur disait qu'il s'agissait d'un auteur célèbre, ayant déjà publié, mai sous un autre nom…
La série se compose de quatre tomes :
"L'Enfance"
"Le Nouveau Nom"
"Celle qui fuit et celle qui reste"
"L'Enfant perdue"
Le pitch de l'intégrale : à travers 4 romans, tous des best-sellers, Elena Ferrante nous invite à suivre l'amitié exceptionnelle qui lie Lila à Elena, de l'enfance à l'âge adulte, jusqu'à la vieillesse, avec la ville de Naples pour toile de fond. Amies pour toujours bien qu'’'issues de milieux différents et malgré les rivalités qui vont parfois surgir, elles vont connaître bonheurs et déceptions, amours et désillusions, succès et échecs, leur « amitié prodigieuse » étroitement mêlée à l'histoire de Naples et de l'Italie.
Verdict : à ma grande surprise, j'ai adoré, et j'ai très rapidement englouti les quatre tomes de la série, faisant malgré moi une pause entre chaque tome pour lire autre chose (j'attendais de les recevoir en prêt).
J'ai aimé cette peinture d'une époque, cette Italie ancienne. Ayant une grand-mère italienne, cela m'a fait souvent pensé à elle, aux conditions de vie de son enfance.
J'ai aimé aussi bien le style que l'écriture, et je me suis très rapidement attachée aux personnages.

Les deux personnages principaux, les héroïnes, Lina et Lenu, sont très différentes, et interprètent une dans ambiguë. leur amitié est selon moi toxique, et malsaine, sans que Lenu y mette un terme chaque fois que Lila la provoque .
Lors de ma lectures, je me suis demandée souvent si Lina était folle, jalouse, supérieure, ou si c'était Lenu qui était trop gentille et un peu bête ?

Cette histoire m'a un peu rappelée d'autres récits d'amitiés toxiques que j'avais pu lire par le passé, comme "Respire",  d'Anne-Sophie Brasme (également adapté à l'écran), ou encore "Antéchrista", d'Amélie Nothomb.
A la fin de la lecture du quatrième épisode, je me suis demandé si le livre était autobiographique, (les articles sur le net le laissent supposer), s'il y aurait un tome 5, et bien sûr, ce que j'allais pouvais lire après…
A lire absolument, et à offrir !



mardi 21 janvier 2020

Je suis tatie !

 Je suis tatie !

Depuis quelque jours, je suis tatie d’un petit ange, que j’étais très pressée de rencontrer !


 Lorsque ma sœur, en mai dernier, m’avait annoncé sa grossesse, et son terme pour janvier, cela paraissait loin, j’avais l’impression que cela n’arriverait jamais ; et j’ai eu beau voir son ventre pousser, sentir même bouger ce petit être sous mes doigts, cela restait très « abstrait » en quelque sorte.

C’est fou la vie, un instant quelqu’un est là, et l’instant d’après, il peut ne plus être là, et à l’inverse, ce petit être qui n’était pas là il y a quelques jours prend déjà tellement de place à nos yeux, et tellement d’importance dans nos vies et nos cœurs !

Ce qui est fou aussi, c’est la nature, ce qu’elle est belle est bien faite, et comment elle matérialise l’amour de deux êtres adultes par la naissance de leur reproduction miniature !
Ce petit est un tableau de maître, une œuvre d’art, mais vraiment, objectivement, je ne dis pas cela parce que c’est mon neveu !

Ses petites oreilles sont parfaites, ses joues roses et bien remplies à croquer, ses mains laissent voir des petits doigts si minuscules et si parfaitement finis, sa bouche est comme ourlée sur son visage, sa petite langue, que l’on voit lorsqu’il baille, est adorable, et ses yeux, déjà grand ouverts sur le monde, témoignent de son éveil, de sa soif de voir, connaître, découvrir !
Il est déjà très communicant et interagit bien avec nous.

Bref, nous sommes tous gâteux et aux anges !


Mon père m’a dit « J’en ai pris plein les yeux, il est magnifique !  », et ma mère, qui s’était faufilée dans la chambre de la maternité à 12h40 (alors que les visites ne sont autorisées qu’à partir de 13 heures ^^), pleurait déjà avant même d’ouvrir la porte de la chambre, ; et ce petit bout, à peine l’avions nous vu en photo, que nous étions déjà conquis et sous le charme !  



Quant à moi, depuis que je l’ai vu, je sais que j’ai clairement des cœurs dans les yeux, mais bizarrement, j’ai très peu pleuré, peut-être, me direz-vous parce que j’ai pleuré pendant les neuf mois de la grossesse de ma sœur en l’attendant, ou peut-être que j’ai été submergée par une émotion plus forte, une sorte de chaos intérieur, qui m’a laissée sous le choc, abasourdie, et qui a pris le dessus sur les larmes.

Bien évidemment, j’ai commencé par l’admirer, avant que ma sœur ne me propose de le prendre dans mes bras, et là, le coup de foudre !
Il était enfin là, et c’est comme si il avait toujours été là !

Ce que j’ai ressenti en le tenant est quasiment indescriptible, mais au milieu de toutes mes émotions, j’ai pu discerner la pensée que ce tout petit être venait bouleverser mon monde, agrandir la famille (par sa venue et par l’ajout à notre famille de celle du papa).
Je l’ai trouvé mignon, irrésistible, sage, il m’a attentivement écoutée, il m’a regardée, on aurait dit qu’il avait des choses à me dire. Bientôt…

J’espère qu’il va prendre tout son temps pour grandir, même si Chéri parle déjà de lui offrir sa première canne à pêche pour ses trois ans , et moi sa première bibliothèque ! 

La venue de cet nouveau petit être amène aussi à découvrir les gens sous un jour nouveau, un angle différent : mes parents deviennent des grands-parents, mes grands-parents deviennent arrière-grands parents, ma sœur devient marraine, et Chéri et moi devenons des tonton et tatie.

Il n'y a rien de plus beau qu'un nouveau né (encore plus quand c'est un membre de sa propre famille je pense ^^), ça tisse des liens, ça rapproche, ça soude une famille je pense.

La deuxième fois que je l'ai vu, nous y sommes allées pour que "Chéri le rencontre" (bon, ok, Chéri était prêt à patienter quelques jours alors c'était un peu pour moi aussi ^^). Et là, j'ai pu lui donner le biberon ! 

Je me suis sentie fondre ! Il est tellement petit, tellement beau, il sent bon le bébé, sa petite main est venue agripper l'un de mes doigts (oui car il faut toute sa main à lui pour agripper un doigt d'adulte), et je ne cessais de m'émerveiller de sa beauté ! 

Je l'aime à la folie, c'est le coup de foudre, et j'ai envie de le protéger aussi, le chérir.

Je remercie les parents qui ont la générosité de le laisser passer de bras en bras, tellement de bras pressés de le serrer, tellement de bouches avides de le bisouiller ! 

Un début d'année n'aura jamais été aussi beau...






lundi 20 janvier 2020

Le Bonheur n'a pas de rides

Durant mes vacances d'hiver, j'ai aussi lu "Le Bonheur n'a pas de rides", d'Anne-Gaëlle Huon.





Je l'avais commandé dans une bibliothèque il y a presque un an, j'étais impatiente de le lire ! 

Le pitch  : le plan de Paulette, quatre-vingt-cinq ans, semblait parfait : jouer à la vieille bique qui perd la tête et se faire payer par son fils la maison de retraite de ses rêves dans le sud de la France. Manque de chance, elle échoue dans une auberge de campagne, au milieu de nulle part. La nouvelle pensionnaire n'a qu'une idée en tête : quitter ce trou, le plus vite possible ! Mais c'est compter sans sa nature curieuse et la fascination que les autres résidants, et surtout leurs secrets, ne tardent pas à exercer sur elle.
Que contiennent en effet les mystérieuses lettres trouvées dans la chambre de monsieur Georges ? Et qui est l'auteur de l'étrange carnet trouvé dans la bibliothèque ? Une chose est certaine : Paulette est loin d'imaginer que ces rencontres vont changer sa vie et peut-être, enfin, lui donner un sens.

Verdict : encore une pépite de ma fin d'année ! 

J'ai adoré, dévoré, j'ai ri, j'ai souri ! 

Le ton m'a parfois fait pensé un peu à du Virginie Grimaldi, ou du Gilles Legardinier (pour les fans ^^).

Il n'est pas toujours drôle, et traite d'un sujet délicat - la vieillesse - mais il le traite avec beaucoup de délicatesse, et d'humour ! 

A lire et à offrir aux coeurs sensibles...