samedi 30 novembre 2019

La Fille dans l'écran

Récemment, j'ai lu "La Fille dans l'écran", une bd à deux voix, écrite par Lou Lubie et Manon Desveaux, conseillée par un ami.
Le pitch : Coline vit en France et rêve de devenir illustratrice. En quête d'inspiration, elle contacte Marley, une photographe installée au Canada qui a abandonné sa passion pour une vie sociale trépidante.
Ces deux jeunes femmes que tout oppose vont tisser sur Internet un lien troublant, plus fort que la distance et le décalage horaire...
Verdict : pas mal, sans plus, pas de réel coup de coeur, ni pour l'histoire, ni pour le trait de crayon...

vendredi 29 novembre 2019

Derrière la haine

Récemment, j'ai lu "Derrière la haine", de Barbara Abel.

Barbara Abel était l'une des auteurs belges invitées au Salon du livre de Fuveau cette année, et ceci est un des livres issus de mon repérage à cette occasion là !
Le pitch : d’un côté il y a Tiphaine et Sylvain et de l’autre il y a Miléna et David. Voisins du même âge, partageant les mêmes passions et la même conception de la vie, les deux couples sont devenus inséparables et, malgré la mince cloison qui les sépare, on peut dire qu’ils vivent joyeusement les uns avec les autres. Une amitié fusionnelle tout naturellement renforcée quand deux petits garçons viennent au monde pour enchanter les maisons. Maxime et Milo naissent la même année, grandissent ensemble, comme deux jumeaux qui le soir venu rentreraient dormir chez leurs parents respectifs. Mais ce tableau idyllique éclate violemment le jour où Miléna est témoin d’un tragique accident qui coûtera la vie au petit Maxime, le garçon de ses voisins. Hantée par la culpabilité de n’avoir pas pu aider l’enfant et par la douleur d’avoir perdu un être qu’elle aimait comme un fils, Miléna commence à s’inventer des histoires, aveuglée par la douleur. Tiphaine lui en veut, elle va se venger, elle projette de tuer Milo qui lui rappelle chaque jour l'enfant qu'elle a perdu. Miléna a tellement peur de perdre son enfant, de vivre ce qu’à vécu Tiphaine… La paranoïa l’isole du reste du monde et elle ne comprend pas que c’est peut-être elle qui est en train de tuer son fils, à petit feu…
Verdict : j'ai adoré !
Il a des petits côtés "Chanson douce", de Leïla Slimani, ou encore "Deux sœurs", de David Foenkinos !

J'ai aimé que l'auteur nous "ballade", qu'elle nous laisse penser l'impensable, croire que nous nous sommes égarés, puis réaliser l'imaginable !

Vous ne regarderez plus jamais vos voisins de la même manière après ce livre...

A lire et à offrir aux fans de bons thrillers psychologiques !

jeudi 28 novembre 2019

Soudain, seuls

Récemment, j'ai aussi lu "Soudain, seuls", d'Isabelle Autissier, qu'une amie m'avait conseillé.
Le pitch : un couple de trentenaires partis faire le tour du monde.
Une île déserte en plein Atlantique Sud, très au large de la Terre de Feu. Une nature rêvée, sauvage, qui vire au cauchemar. Un homme et une femme amoureux, qui se retrouvent, soudain, seuls.
Leurs nouveaux compagnons : des manchots, des otaries, des éléphants de mer et des rats.
Comment lutter contre la faim et l'épuisement ? Et si on survit, comment revenir chez les hommes ?

Un roman où l'on voyage dans des conditions extrêmes, où l'on frissonne pour ces deux Robinson modernes.
Une histoire bouleversante.
Verdict : j'ai beaucoup aimé !
je dirai que le livre se décompose en trois phases : l'avant, le "pendant", et l'après.

L'avant nous explique comment nos héros sont arrivés dans cette situation, le pendant comment ils la vivent et l'après, quelles sont leurs séquelles/remises en causes/prises de conscience lors de leur retour à la civilisation.
Pour moi, le livre aborde plusieurs thèmes : le couple, la communication, l'isolement, la technologie et ses limites, la survie, l'entraide et pour finir, l'instinct de survie.
A lire, et à offrir aux aventuriers dans l'âme !

mercredi 27 novembre 2019

Nous les filles de nulle part

Récemment, j'ai lu "Nous les filles de nulle part", d'Amy Reed, qu'une amie m'a offert (merci A.L. !) .
Le pitch  : Grace vient d'entrer au lycée de Prescott après avoir déménagé. Dans la chambre de sa nouvelle maison, elle découvre des mots griffés sur le mur : Aidez-moi. Tuez-moi, je suis déjà morte.
Ces mots, c'est Lucy, qui les a tracés. Lucy, qui a accusé trois garçons de Prescott de l'avoir violée. Lucy, qui a été traitée de menteuse par le reste du lycée. Lucy, que la police n'a pas écoutée. Lucy, qui a fui la ville avec ses parents.
Très vite, Grace comprend que cette violence s'exerce à tous les niveaux dans la ville de Prescott : quand les joueurs de l'équipe de foot notent le physique des filles qui passent devant eux ; quand son amie Rosina doit éviter les avances des clients du restaurant où elle travaille ; et surtout sur le blog du moment, « Les vrais mecs de Prescott » dont la ligne éditoriale consiste principalement à considérer les femmes comme des objets.
Grace, Erin et Rosina sont décidées à agir, mais elles ne peuvent le faire seules.
Verdict : j'ai beaucoup aimé !
le démarrage a été un peu long, ainsi que la mise en place et j'ai même envisagé de le poser mais ensuite, quand l'histoire se lance, quel régal !
J'ai adoré ce récit pour jeunes adultes, cela faisait un moment que je n'avais pas lu de livres jeunesse, et cela m'avait parfois manqué !
Le livre a des airs de "13 reasons why", et pour moi, hasard ou coïncidence, il fait clairement écho à la série netflixienne.
Je donnerai le même conseil pour ce livre que pour la série : très bon mais âmes sensibles s'abstenir...

mardi 26 novembre 2019

Le Pacte des Phénix

Récemment, j'ai lu "Le Pacte des Phénix", que j'avais très envie de lire, et qui m'a été offert par une amie (merci A.L.) !
Le pitch :  1986, dans le sud de la France. Une petite dizaine d'enfants américains découvre le camp de vacances où ils vont passer les deux mois d'été. MacKenzie, William et Tommy ont huit ans, entre eux l'amitié est immédiate. Leur nom de totem : les Phénix. Une fille, deux garçons qui chaque année ont le même plaisir à se retrouver. Mais l'été de leurs 16 ans, un drame frappe le camp et les sépare brutalement. 15 ans plus tard, Mac, Will et Tom reçoivent une lettre qui les prie de revenir en France... Des retrouvailles empreintes d'un lourd secret.
Verdict : j'ai adoré !
J'ai été surprise par la fin, sans être surprise, quelques éléments que j'avais pressentis se sont réalisés.

Mais j'ai adoré la lecture de ce récit, entre histoire au présent et flash back pour expliquer le passé.
J'ai aimé l'écriture, le ton, la peinture des personnages, l'histoire, j'aurai voulu poser une journée pour le lire d'un trait !
A lire, et à offrir !

lundi 25 novembre 2019

Changer l'eau des fleurs

Récemment,  j'ai lu "Changer l'eau des fleurs", prêté par une amie.




Le livre a eu le Prix Maison de la Presse 2018.
Le pitch : Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu’elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu’un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l’on croyait noires, se révèlent lumineuses.
Beaucoup de gens m'en avaient parlé autour de moi, et le livre était très présent sur le net, il faisait pas mal le buzz dans les groupes littéraires que je suis, sur le net et sur Facebook.
Verdict : je suis très partagée...
Le livre ne correspond pas du tout à ce que j'avais imaginé.

Je ne sais pas pourquoi, sans que l'on m'en ait dévoilé le contenu, j'imaginais un livre léger et drôle, et il n'en est rien.

J'ai failli le poser au bout de 50 pages, je ne comprenais pas, je n'arrivais pas à rentrer dedans.
Au final, je suis heureuse de l'avoir lu, le livre est beau, bien écrit, et j'en ai aimé la  lecture, parfois un peu pesante malgré tout.

Je ne pense pas, suite à cela, continuer à découvrir cet auteur, je n'ai pas envie pour le moment de lire autre chose d'elle.

dimanche 24 novembre 2019

Né d'aucune femme

Récemment, j'ai lu "Né d'aucune femme", de Franck Bouysse, le Prix des Libraires 2019.
Le pitch : "Mon père, on va bientôt vous demander de bénir le corps d'une femme à l'asile.
— Et alors, qu'y-a-t-il d'extraordinaire à cela ? demandai-je.
— Sous sa robe, c'est là que je les ai cachés.
— De quoi parlez-vous ?
— Les cahiers…, ceux de Rose."

Ainsi sortent de l'ombre les cahiers de Rose, ceux dans lesquels elle a raconté son histoire,
cherchant à briser le secret dont on voulait couvrir son destin.
Verdict : mais quel livre extraordinaire !
Sans l'ombre d'un doute, un des meilleurs que j'ai lus, ces dernières années, et dans toute ma vie d'ans l'absolu !
Pourtant, entre cet auteur et moi, ça avait mal commencé, car je l'avais découvert avec son titre "Grossir le ciel", que je n'avais pas aimé !
Mais là...
J'ai été happée, subjuguée, j'aurai voulu rallonger ma pause déjeuner et commencer mes soirées plus tôt pour le reprendre, et si le sommeil ne m'avait pas emportée, je l'aurai lu d'un trait, d'un seul souffle, en une seule soirée !
J'ai été touchée par le destin de Rose, portrait de la condition féminine à une certaine époque.

J'ai mesuré ma chance, car, contrairement à elle, j'ai de la chance, une belle vie, un peu plus d'emprise sur ma vie, et la possibilité de faire des choix.
Rose m'a émue car elle n'a pas connu le bonheur, et si peu l'amour.
Rose vient d'une famille de taiseux, où la pudeur se dispute à la pauvreté, et où l'on n'a pour seul horizon que le labeur, les corvées besogneuses, et le crouton de pain en guise de repas à trouver pour orner la table.
Rose vient d'une époque où les parents monnayaient, et vendaient leurs enfants, pour survivre, tenter de faire subsister le reste de la famille.
Rose a connu la peur, la violence, la haine, et elle a à peine eu le temps de s'ouvrir à l'amour et la découverte du bonheur que sa vie a basculé, et que tout le bon lui a été arraché.
Un roman prenant, haletant, un récit à couper le souffle, des personnages plus vrais que nature, qui surgissent du papier pour vous prendre en otage et vous raconter, se raconter.

Voici ce que L'Express a écrit sur le livre, et qui figure sur sa quatrième de couverture : "Une quasi-perfection, addictive et obsédante" !

Je plussoie !

A lire , à offrir, à faire découvrir !

samedi 23 novembre 2019

Divers coups de coeur !

Nouveau format, je vous blogue aujourd'hui deux pubs et une citation que j'ai aimées :
La dernière pub pour Zalando, qui promeut l'inter génération et le partage :
la dernière pub Tic-Tac, juste trop mignonne :
"Ceux qui s'aiment deviendront invincibles", Walt Whitman.
A méditer...

vendredi 22 novembre 2019

Nouveaux cosmétiques !

Hello les filles !
Une nouvelle revue beauté, rien que pour vous !
On commence avec la Pâte SOS soin local,  d'Uriage, contre les boutons localisés :

Je l'ai trouvée très efficace, elle aide bien à assécher les boutons en une nuit !
Puis un déodorant au lait d'ânesse :
Ok c'est naturel mais ça pue et ça sert pas à grand chose, c'est un cadeau, c'était gentil mais bon...
Puis une crème de nuit de chez Kiotis, la Sleeping Cream Nuit :

Sympa, mais sans plus. Ni une odeur à tomber, ni une texture top, ni un effet fracassant, une crème de nuit moyenne.

Puis un gel douche bio, à l'amande, le Nettoyant corporel hydratant de chez Desert Essence :

Alors autant j'adore le lait corporel de la même gamme, autant j'ai détesté le gel douche, trop épais et à l'odeur d'amande chimique écœurante !

On continue avec une crème solaire, de chez Isdin, la Eryfotona AK Fluid 100 SPF + :

Très efficace, très bien, ni grasse ni blanche !
Et aussi un masque, de Nuxe, le masque exfoliant unifiant rose-macadamia :

Top, gros coup de coeur, y compris pour l'odeur (malgré la présence qui reste très discrète de la rose ! ) !

Et on termine avec un kit découverte de cosmétiques coréens,  de la marque Sulwhasoo :

Au menu dans le coffret : une lotion tonique équilibrante, une émulsion équilibrante, un sérum activateur et une crème régénérante.
Je n'ai pas accroché ni les odeurs, ni les textures, ni le rendu sur ma peau.

C'est tout pour cette fois-ci, vous connaissez la consigne en attendant la suite :


















 
 

 

jeudi 21 novembre 2019

The Cooking Me !

Je me suis remise à la cuisine, enfin !
Cela date d'il y a quelques temps en arrière.

J'en avais vraiment envie, et pour moi, et pour faire plaisir à Chéri.
Pour la petite histoire, je ne cuisine que lorsque je suis en couple et du coup, ma longue période de célibat avait fait que je m'étais abstenue, et que j'avais perdu la main.
Là, doucement, timidement, petit à petit, sous l'égide de Chéri parfois (même si je préfère cuisiner quand il n'est pas là à me tourner autour ^^), je m'y remets.

C'est difficile car je viens d'une longue lignée de très bonnes cuisinières, alias mes deux grand-mère et ma mère, mes tantes, ma belle mère et mon beau père cuisinent aussi très bien, ainsi que mon parrain, et Chéri lui-même.
Et ces mêmes personnes aiment manger, et bien manger, tout comme Chéri et moi, qui sommes deux grands gourmands (pour cela aussi nous nous sommes bien trouvés ^^).
Nous sommes compatibles comme le vin et le fromage !
Du coup, j'avais la pression, et je partais vaincue face aux recettes, je l'avoue...
Je suis partie de loin, j'ai repris les basiques, et un des premiers plats que j'ai fait à Chéri c'était...des pâtes !
Bon, ok, des pâtes au saumon sauvage, et il avait aimé !
Depuis, je me suis aventurée en terrain peu connu, mais pas hostile, et j'ai enfin réalisé des quiches, tartes aux fromages, tartes aux légumes, croque monsieur et pizzas, j'ai pu nourrir mon homme !
Il a aimé être nourri, et il a aimé mes plats, hormis une des pizzas un peut trop cuite, qu'il a "gentiment" baptisé "la congolaise". ^^

Après cela, forte de mes succès et ayant pris un peu la confiance,  je me suis aventurée un peu plus loin en réussissant un risotto au parmesan et au vin blanc presque parfait (il manquait deux minutes de cuisson).


Je ne me mets pas la pression, mais j'aime m'y remettre, j'ai envie de progresser, pour moi (c'est bête, mais je sais que cela contribuerait à me faire sentir une femme accomplie, bonne à marier ^^).

C'est aussi pour moi une façon supplémentaire de prouver mon amour à Chéri, et je sais que lorsque nous serons installés ensemble, et que nous recevrons, j'aurai plaisir à cuisiner aussi pour la famille et les amis, rendre les invitations, les gâter !

Chaque fois que je fais un plat, j'envoie la photo à mes sœurs, et parfois ma mère, ma belle-mère, les amies proches, et leur soutien me fait chaud au coeur !

Il faut croire qu'en cuisine j'ai un côté exhibitionniste...
Petit à petit, je me familiarise avec de nouveaux verbes, j'enrichis mon vocabulaire, mais je sais qu'il y a encore tellement de techniques et manipulations que je ne maîtrise pas !
Heureusement, pour Noël, mes beaux-parents nous offrent le Monsieur Cuisine de Liddl (l'équivalent du Thermomix), et, sans tout déléguer au robot, j'ai hâte qu'il m'aide à réaliser d'autres recettes, élargir mon répertoire de réalisations, et régaler Chéri  !
D'ci là, les week-ends, on alterne petits apéros, sandwichs, apéros dinatoires, plats rapides et recettes plus élaborées quand on a le temps !
Nos téléphones sont truffés de photos souvenirs de nos menus, et quad d'autres filles enverraient des photos coquines à leurs hommes, moi j'envoie au mien les menus des nouveaux restos qui ouvrent à Aix !

Mais personnellement, n'étant pas de la même (très bonne ) constitution que Chéri et n'ayant pas son (merveilleux) métabolisme, il faut que je fasse attention à ce que je mange....




Alors tout le monde aux fourneaux !


mercredi 20 novembre 2019

Je mets de l'ordre dans ma vie, je cultive la simplicité : )

Ceci est un article sérieux, ce n'est pas pour cela que je n'y ai pas glissé un peu d'humour !
Comme certains d'entre vous le savent, il y a quelques années, j'ai lu, d'une traite  quasiment, pas mal d'ouvrages de développement personnel.


J'étais à la recherche de moi, en mode boulimie de lecture !
A l'époque, je me posais beaucoup de questions, sur moi, le sens de la vie, ma place sur cette Terre, etc. et j'étais convaincue que les réponses, voire LA réponse, se trouvaient dans ces livres.



Je me suis notamment intéressée au minimalisme et à la simplicité, avec un coup de coeur particulier
pour les livres de Dominique Loreau, et notamment son premier : "L'Art de la simplicité".
A l'époque, j'avais à coeur de me délester, me désencombrer, délaisser le matériel au profit du spirituel.

J'avais commencé, avec notamment le défi des trente jours : le premier jour, on élimine un objet, le second deux, etc., et ce pendant trente jours.
Puis, j'ai donné, trié, vendu en vide-grenier, chez les bouquinistes, et j'ai déménagé cinq fois, ce qui m'a permis d'épurer mes possessions, de bien trier, et de commencer à ne garder que l'essentiel.
Aujourd'hui, je vends mes vêtements sur Vinted, j'en troque avec mes amies, je trie régulièrement ce que je possède, je ne stocke plus des kilos de cosmétiques dans la salle de bains (même si j'ai encore quelques articles en double entre chez moi et chez Chéri).
En matière de consommation aussi, j'ai changé.
Je dépense moins, je dépense différemment, je réutilise mes cagnottes Vinted pour me racheter des vêtements de seconde main, je ne paye plus plein pot des pièces chez Le Temps des Cerises.
J'aime mes fringues "made in Vinted", j'aime ne plus avoir quinze écharpes, mais en avoir deux que j'adore !
J'aime arriver petit à petit à une garde robe qui me convient, à savoir des basiques confortables pour toute la semaine, quelques pièces pour sortir et non plus des tonnes de robes de soirée et presque rien pour le quotidien, comme à une époque !

Je me suis bien calmée sur les sacs, ma grande folie d'une époque (surtout ceux de la marque Sequoia, vous savez, ceux avec les gros anneaux argentés).

[Les fans auront bien compris que le Billy est un sac de Jérôme Dreyfuss et pas un Sequoia, mais j'ai trouvé le dessin pas mal]


[Celui-là par contre, c'est un sac Sequoia, fin de la parenthèse]



Aujourd'hui, tous ceux que je possède tiennent dans un sac à dos (quasiment ^^), et la plupart sont "from Vinted"...
Cet écrémage me permet de me sentir mieux chez moi, de me découvrir, de m'aider à mieux savoir qui je suis, ce que je veux, et ce que je veux avoir sur moi et chez moi.
Moins je possède, plus j'aime ce que j'ai, mieux je respire, et plus je me sens libre, et légère (au sens métaphorique du terme, bien sûr) !
J'ai ainsi peu de cosmétiques (enfin toujours plus que toi A.), mais ça, ça ne risque pas de changer ^^), peu de bijoux, peu de chaussures (bon ça ok, ça n'a jamais été ma grande passion), et beaucoup moins de fringues.
Bien sûr, tout n'est pas réglé, et je fais encore parfois des achats impulsifs que je regrette (des fringues que je revends sur Vinted car je ne les aimes finalement pas sur moi) ou encore quelques bêtises côté alimentation, mais vu que j'ai derrière moi un passé d'acheteuse acharnée et de grignoteuse compulsive, je ne peux pas espérer tout régler du jour au lendemain !
Je reste bienveillante envers moi, à m'attachant plus à mes progrès qu'à mes échecs.

Je garde en tête que c'est un travail de longue haleine, qui implique constance, volonté et discipline (à mon niveau en tout cas, car je dois parfois me résonner fort pour ne pas craquer sur un achat).
J'ai parfois peur, et je doute d'arriver à devenir aussi raisonnable que j'aimerais l'être.

En parallèle, avec Chéri, qui m'a pas mal redonné foi en la vie, il faut l'avouer, et en l'avenir, je refais des petits projets de voyage et on a un genre de "cochon tirelire" bien à nous, dans lequel l'on met un peu de sous de côté chaque mois, pour un futur voyage.


Ca aussi ça fait du bien, et c'est parfois un peu nouveau pour moi, les économies, je n'y ai pas toujours excellé, et je suis passé de ultra économe petite à un genre de frénésie dépensière à la fin de l'adolescence, sans que je m'explique vraiment ni le comment, ni le pourquoi...

Je ne détaillerai pas plus que cela l'aspect finance, car l'argent reste un sujet tabou pour moi, comme mes amis proches le savent bien.

Du coup, l'argent que je dépense moins en nourriture et en vêtement sme permet des sorties, des petits restos, des cadeaux aux amis et à la famille !

Ok, A., ma Jimini Crickett  à moi me dirait que même sans argent, je ferai des cadeaux au risque de me mettre dans le rouge, et que cela relève d'une part, du fait de me sentir souvent redevable quand on m'offre quelque chose, et deuxièmement, d'un besoin compulsif de chercher à se faire apprécier et aimer.




Pour info, A.ne reçoit plus de nouveaux patients, elle est suffisamment occupée avec moi !


Faire ce grand tri, ce vide autour de moi, qui s'est aussi accompagné d'une démarche de "laisser partir" (pour les gens, on ne peut pas vraiment parler de "tri") permet de mieux se recentrer sur ce que l'on a , qui est là pour nous, avec qui on a envie de passer du temps, et à quoi on souhaite se consacrer, dans quoi mettre son énergie, où s'investir.

Aujourd'hui, il me manque pas mal de choses en cuisine, même des "basiques" parfois, mais vu qu'à terme j'emménagerai avec Chéri qui lui a tout ce qu'il faut pour bien cuisiner, je me dis que c'est un peu bête de me rééquiper, et en plus, où stocker tout cela, vu que ma minuscule cuisine est déjà pleine et que je dois déployer des trésors d'ingéniosité au quotidien pour trouver de la place dans mes minuscules et trop peu nombreux placards de cuisine.

Il me manque également quelques "essentiels" en fringues (tiens faire la liste me permettra de la garder pour mémoire, et n'hésitez pas à me donner des idées d'enseignes dans lesquelles me rendre ^^) :

une ceinture camel
quelques débardeurs basiques neufs
des pantalons (urgent), été et hiver
une jolie tenue de rando
quelques fringues un peu plus détente
des convers' d'occase pour aller à la campagne ?
des bottines noires (les marrons vont lâcher je pense)
des robes d'été
une robe ou jupe d'hiver ?
des collants opaques pour les robes l'hiver

Bon, je vais m'atteler à chercher tout cela, et continuer à essayer de ne pas trop accumuler de choses inutiles, et je vais privilégier les amis avec qui je passe de bon moments, et la famille, of course (qui en plus va bientôt s'agrandir) !



P.S. : au moment où cet article sort, entre temps je suis allée en vacances en Espagne, plus j'ai fêté l'anniv' de Chéri et donc j'ai clairement moins cultivé la simplicité, en voulant le gâter et en me faisant plaisir en Espagne, mais bon, on s'y remet !


















mardi 19 novembre 2019

D'autres citations !

"Là d’où je suis, je souris car ma vie fut belle, et surtout, j’ai aimé"
"Je ne sais si tu es en moi ou si je suis en toi, ou si tu m’appartiens. Je pense que nous sommes tous les deux à l’intérieur d’un autre être que nous avons créé et qui s’appelle « nous »", Robert James
"La vie n’est qu’une longue perte de tout ce qu’on aime", Victor Hugo
"Si la vie n’est qu’un passage sur ce passage au moins semons des fleurs", Michel De Montaigne
"Il faut apprendre à donner de votre absence à ceux qui n’ont pas compris l'importance de votre présence"
"Il n’est de solitude qui ne soit partagée"
"Les feuilles tombent, les saisons passent, seul le souvenir est éternel"
"Nous étions deux pour nous aimer, je reste seule pour te pleurer"
"Tout s’efface, tout passe, hors le souvenir", Camille Laurens
"Je t'aimais je t'aime et je t’aimerais", Francis Cabrel
"Le souvenir des jours heureux apaise la douleur"
"La terre te cache mais mon cœur te voit toujours"
"Tu n’es plus la ou tu étais mais tu es partout là où je suis", Victor Hugo
"Il faut que le noir s’accentue pour que la première étoile apparaisse", Christian Bobin
"Ne pleurez pas ma mort, célébrez ma vie"
"Elle cachait ses larmes mais partageait ses sourires"
"Sa vie est un beau souvenir, son absence une douleur silencieuse"
"Le destin a fait son chemin mais il n’a jamais séparé nos cœurs"
"Ce sont les mots qu’ils n’ont pas dit qui font les morts si lourds dans leur cercueil", Henry De Montherlant
"C’est quand l’arbre se couche que l’on mesure sa grandeur"
"Nous savons que tu serais avec nous aujourd’hui si le ciel n’était pas si loin"
"La mort d’une mère est le premier chagrin qu’on pleure sans elle", Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn
"Sur le sable mouvant où s’écoule la vie croit une douce fleur que mon cœur a choisie"
"Rien ne peut la faner, rien ne peut la flétrir, cette charmante fleur se nomme souvenir"
"Aucun express ne m’emmènera vers la félicité, aucun tacot n’y accostera, aucun Concorde n’aura ton envergure, aucun navire n’ira, sinon toi ", Alain Bashung
"Il vaut mieux te pleurer que ne pas t’avoir connu"
"Il y a tant de belles choses que tu ignores, la foi qui abat les montagnes, la source blanche dans ton âme, penses y quand tu t’endors, l’amour est plus fort que la mort", Françoise Hardy
"Dans le temps qui lie ciel et terre se cache le plus beau des mystères"
Citations extraites du livre "Changer l'eau des fleurs", de Valérie Perrin - Prix Maison de la Presse 2018