samedi 29 février 2020

Je m'appelle Elisabeth

Récemment, j'ai lu "Je m'appelle Elisabeth", d'Anne Wiasemsky, prêté par ma mère.
Le pitch : «Betty sursauta. Cette fois, elle était sûre d'avoir entendu crisser le gravier. Quelqu'un se déplaçait le long du mur de la villa, se rapprochait de sa chambre. Du salon, la radio toujours allumée diffusait les accords de harpe qui annonçaient le début de l'émission Le Masque et la Plume.
Betty, alors, se leva et se dirigea vers la fenêtre avec le sentiment précis qu'une chose horrible l'y attendait. Elle ne se trompait pas. Posée sur le rebord, la tête décapitée d'un écureuil la regardait.»

La vie de Betty, douze ans, se transforme le jour où
elle rencontre Yvon, un malade échappé de l'hôpital psychiatrique. Elle décide de le protéger et le cache dans sa cabane. Elle ose, mue par un appel mystérieux vers «une autre vie», défier l'autorité paternelle, braver la police et transgresser les règles.
Verdict : je n'ai pas aimé du tout !
Vide, creux, plat, inintéressant, pas 'motion, bref, à zapper !
A priori, le film a ou va être adapté à l'écran...


vendredi 28 février 2020

Everybody’s changing…

Clin d’œil, en guise de démarrage de ce billet, à mon groupe préféré, Keane, et à l’un de leur titres les plus connus.




L’automne est là depuis quelques temps déjà, et malheureusement, comme chaque année en novembre, les baisses de température et de luminosité n’aident pas à tenir le cap, et je me demande déjà comment je vais « passer l’hiver ».

Si le corps est engourdi par le froid, j’ai aussi l’esprit embrumé, je ne suis plus tranquille ou sereine.
Comme chaque année à cette période, l’approche de la fin d’année me fait me poser beaucoup de questions avant l’arrivée de la suivante, et l’heure est un peu au bilan.


En ce moment, je n’arrive pas à me réjouir de l’automne, me dire que je vais zyeuter un film de Noël sous un plaid en buvant un chocolat chaud (et ainsi coller à un des clichés ambulants les plus connus de cette saison ^^).

Je cogite, la route tourne, le petit vélo s’active, car des changements à venir s’annoncent, et ils sont inévitables pour ma famille et moi.
Déjà, je vais être tata, pour la première fois. Ma plus jeune sœur attend un bébé, et, cerise sur le gâteau, c’est un garçon, le premier « pt’it » mec de la famille !
J’ai une amie proche enceinte de son premier enfant également.

Côté famille, je continue à assister, impuissante, au vieillissement de mes trois grands-parents, et à tout ce que cela engendre d’angoisse et de pression sur mes parents…

Qui dit nouvelle année à venir dit aussi bonnes résolutions, of course.
De ce côté-là, je ne me mets pas la pression, je vais simplement essayer de me maintenir dans ma voie d’allégement, et de lâcher prise.

Continuer à faire du vide matériellement, ne pas m’encombrer, accepter de laisser derrière moi des gens que je me suis fatiguée à « porter », ou des amitiés dont j’ai entretenu seule la flamme.

Continuer à me recentrer, me préserver, afin d’éviter toute forme d’épuisement, aussi bien physique que moral.

Côté poids, en ce moment, cela va un peu mieux (merci la cure de soupes de légumes bien frais^^), j’espère maintenir ce cap et perdre plus dès l’an prochain ! Enfin ça allait au début de ce billet et depuis c’est malheureusement la cata', mais clairement pas le bon moment pour attaquer une diète à la veille des fêtes…

Côté travail, j’attends la réponse d’un avancement auquel j’ai postulé, en croisant les doigts pour avoir échoué, car j’aurai dès lors la possibilité de postuler pour un avancement plus intéressant.
J’ai en effet échoué, depuis le début de ce billet, mais c’est une bonne chose, car j’ai pu postuler à un avancement plus intéressant, réponse en février je pense croisez les doigts pour moi !
J’attends aussi le retour des élections, je me suis présentée pour aller défendre l’avancement de mes collègues aixois en haut lieu, à Paris, et je croise les doigts, car la mission m’intéresse !
Yes, j’ai depuis été élue, #populargirl !

Côté conduite, je suis toujours autant une inadaptée sociale dans ce domaine, et je flippe même en tant que passagère parfois (mais c’est entre moi et moi, les conducteurs n’y sont pour rien).

Everydbody’s changing, mais j’aurai aussi pu dire everybody’s adapting, quant à moi, je suis toujours aussi terrorisée par le changement.
Depuis quelques temps, j’avais senti chez moi un changement, une montée en puissance : je me sentais plus belle, plus sûre de moi, presque solaire (on me l’avait dit une ou deux fois, des gens m’avaient attribué ce qualificatif si flatteur à mes yeux).
Mais c’est fini, j’ai tout perdu, le papillon retourne dans sa chrysalide, il faut croire que je suis montée trop haut trop vite, et que je me suis brûlé les ailes.

Jamais dans ma vie auparavant je n’avais fait une telle « percée »…

Mais justement, je me disais que tant de bonheur était trop louche, que je ne méritais pas, et que le vent risquait fort de tourner, que l’on allait me remettre à ma place, que j’allais déchanter…

Bon, finalement, les choses se sont tassées, et temporairement améliorées. Et ce sont des changements effrayants mais très positifs qui vont s’annoncer. Mais il faut bien savoir saisir sa chance lorsqu’elle se présente, prendre des risques, etc…

Par le passé, j’ai toujours eu peur aussi du changement, mais cela ne m’a pas empêchée de prendre des décisions difficiles mais nécessaires, et de ne jamais les regretter !
Elles ont parfois pu être douloureuses, mais cela a toujours été pour du mieux…
Aussi, comment avancer quand on vit parfois dans le passé, souvent dans le futur, mais peu au présent , je ne maîtrise toujours pas bien le carpe diem, et j’anticipe beaucoup les évènements à venir, angoissant même parfois malheureusement pour rien.

Comme vous l'aurez compris, j'avais commencé ce billet à l'automne, et je ne l'avais jamais terminé, par manque de temps et ou d'inspiration...


Au final, faisons un point aujourd'hui, 26 février, toujours en plein hiver, même si le climat nous laisse croire que le printemps est déjà la ! 


Côté pro, je n'ai pas eu mon avancement MAIS je vais repostuler en avril, à la 2e vague de promotion ! 


Côté pro, le chantier de la nouvelle bib' a encore pris du retard mais a priori, on devrait déménager dans l'été dans nos nouveaux locaux...


Côté perso, j'ai repris le cap côté nourriture saine, et je ré-attaque même doucement le sport, avec l'accord de mon kiné (je laisse derrière moi ma vilaine tendinopathie) ! 

Côté perso, je suis plus amoureuse que jamais de Chéri, la lune de miel se prolonge ! 





Il a eu sa mutation, et je visite ce soir un appart pour qu'on habite ensemble, on cherche notre futur nid douillet ! 






Côté perso, je suis aussi tombée en amour complet de mon bébé neveu, mon mini chou, mon bébé d'amour ! 





Alors on va dire que oui, j'ai peur, oui, les choses changent et s'accélèrent MAIS j'y vais, pas après pas, doucement mais sûrement, vers cette nouvelle vie qui me tend les bras ! 





jeudi 27 février 2020

Je suis allée chez le coiffeur…

Et j’ai coupé mes cheveux !


Je les avais au milieu du dos et là, j’ai fait un genre de carré long, aux épaules, dégradé, plus un balayage couleur miel, afin d’éclaircir, avec un effet qui reste naturel, l’ensemble de la chevelure.


Pourquoi miel ? Car je porte des couleurs chaudes en bijou, du doré.
Pourquoi un balayage ? Car des mèches ça aurait fait moins naturel, une couleur plus radical, et que je n’aurai entretenu aucun des deux (financièrement ça fait un coiffeur par mois quasi, donc non).

Comme d’habitude, je ne savais pas où aller, je n’ai jamais eu de coiffeur attitré.

Comme d’habitude, j’étais très stressée… On est jamais sûr du résultat, moi encore moins avec mes cheveux, et la nouvelle tête, eh bien, il faut vivre avec jusqu’à la repousse !


Et comme d’habitude, le jour où je suis allée discuter avec la coiffeuse pour un premier contact, j’avais les cheveux en état de grâce, côté couleur et matière, ils faisaient les beaux, genre « Ne nous coupe pas, regarde comme on est beaux en vrai «  !

Bon je vous rassure, je n'ai pas la même tête que sur la photo, pour celles et ceux qui ne m'auraient ps encore vue ! 

Au final, j'ai suivie les conseils de ma cadette et suis allée à Aix, rue Gaston de Saporta, au salon Saint-Algue.




Elle en avait été ravie, elle avait suivi les avis Google qui étaient dithyrambiques , et ne l'avait pas regretté ! 

A mon tour, je dois dire que j'ai été agréablement surprise ! 




La première prise de contact s'était très bien passé, un accueil agréable, professionnel, des conseils et de l'écoute. Et un tarif très attractif, bien moins cher qu’ailleurs pour la même prestation ! 
Pourquoi ? Facile  ! Elle m'a d'abord coupé les cheveux AVANT d'appliquer le balayage, ainsi que n'ai pas payé plus de produits...

Par le passé, les fois où j'ai fait couleur ou mèches, les coiffeurs les faisaient sur mes cheveux longs, avant de les couper, je n'avais jamais compris pourquoi...

Au final, le jour J, j'ai pu avoir la coiffeuse avec qui j'avais eu le premier contact, on m'a servi un délicieux thé.




Et tout s'est bien passé, à part l'attente, qui me semble toujours interminable, du temps de pose des produits ! 





Au moment du séchage, je ne voulais pas de diffuseur et de boucles ne mode maxi volume, je n'assume pas, mais je ne voulais pas non plus d'un brushing baguette, qui ne me va pas.

On a donc opté, la coiffeuse et moi, pour un compromis, un genre de brushing souple.
parfait, mais c'était sans compter le mouvement qu'elle leur a donné en bas, que j'ai détesté, et qu'elle a eu l'obligeance donc de reprendre.

Au niveau du résultat , comme d'habitude, j'étais très anxieuse, et très partagée...

Je suis rentrée chez moi en rasant les murs, en courant presque, et affublée de lunettes noires ! Je sais, tout n'est pas réglé chez moi, et le chapitre "cheveux" à lui seul pourrait occasionner des années de thérapie ! 





Bref, j'étais mitigée, peu convaincue.

Ce soir là, en vacances, je prenais un covoit', V. , un de mes conducteurs habituels, qui n'a rien dit...C'est un homme, alors je me suis dit qu'il n'avait rien vu (et j'ai prié pour qu'il ne se soit pas tu parce que c'était hideux lol) ! 

L'ultime test ça a été Chéri, à qui je faisais la surprise, et qui ne savait même pas que j'allais chez le coiffeur ce jour là. Je ne lui avais pas dit pour d'une lui faire la surprise, de deux parce que il y aurait eu des chances que je me dégonfle et que j'annule...

En plaisantant, j'ai dit à ma mère, qui elle était au courant, par téléphone : "Je te dirai ce soir si je suis toujours en couple ou à nouveau célibataire" (dans le cas où Chéri n'aimerait pas ^^).


Au final, Chéri a aimé, il a trouvé sa plus moderne et très joli (comme ma belle-mère ^^), il a dit que ça faisait "plus femme" ! 

Ouf, j'étais toujours en couple avec lui ! 

Là où je me suis réellement détendue c'est après m'être lavé les cheveux, quelques jours après, et les avoir laissés sécher à l'air libre.




Au final, frisé c'est ce qui me va le moins mal, et ce que Chéri et ma mère préfèrent (et disent qui me va le mieux).


Le test suivant allait être le travail, c'était la reprise le lendemain...

Entre la rentrée et a coupe, je suis donc arrivée au travail un peu tendue.

Verdict : aucun retour masculin, donc relire plus haut le passage sur mon covoitureur, V.

Ni le covoitureur du lundi matin, D., que je connais bien aussi, ni les collègues n'ont rien dit. Seul un élève fidèle m'a dit "Sympa la nouvelle coupe" ^^ ! 

J'ai un collègue masculin, R. collègue et ami, qui est très observateur et qui le verra, mais il est en vacances, verdict lundi prochain ; ) .

Côté collègues féminines, soit rien, soit des compliments : "Ca te va très bien !", "Ca te va trop bien !", "Tu es trop belle !", "Tu es canon avec cette coupe !".Cris du cœur de ma chef, quelques collègues et ma monitrice.

Je crois, au final, que celles qui n'ont rien dit, leur silence m'inquiète encore plus que celui des hommes...









mercredi 26 février 2020

Pourquoi j'aime cette époque !

Liste non exhaustive des raisons qui me font aimer cette époque (attention, il y en a plein d'autres qui me font la détester, mais là n'est pas le propos).


Chéri ! (non, pas hors sujet ^^)
Le shopping en ligne
Vinted
Les glaces Haagendazs
Les conversations téléphoniques multiples via Messenger
Le 36 qui est le nouveau 38 (bon ok les tailles ont augmenté mais ça fait quand même du bien au moral d'acheter un top en 36 ! ) 
Netflix ! 
Faire le métier de son choix
Les cosmétiques (et spécialement le parfum, et les baumes à lèvres, et les crèmes ! )
Youtube
Amazon
Commander tous les livres que je veux via mon travail
Le vernis semi-permanent
Le choix de thés et de tisanes
La livraison des courses à domicile
La lingerie Etam
Les manteaux et les robes Naf Naf
Le Hanzo
Koh Lanta
Garder un lien quotidien avec un ami aux States via Whatsapp
Garder un lien quotidien via le mail avec ma super friend parisienne
Le salon de thé rue d'Italie
Un grand choix de thés
Les livres de Dominique Loreau
Les thrillers de Franck Tilliez, Bernard Minier, Maxime Chattam, Jean-Christoiphe Granger
Les yaourts au lait de brebis
Les danettes "lait de vache" à la vanille ! 
Keane
La naissance de mon neveu

A votre tour de faire votre liste ! 








mardi 25 février 2020

Paulette

Un soir, à la télévision, j'ai regardé le film "Paulette".
Le pitch : Paulette vit seule dans une cité HLM de la banlieue parisienne. Avec sa maigre retraite, elle n’arrive plus à joindre les deux bouts. Lorsqu’un soir elle assiste à un curieux trafic en bas de son immeuble, Paulette y voit le signe du destin. Elle décide de se lancer dans la vente de cannabis. Après tout, pourquoi pas elle ? Paulette était pâtissière autrefois. Son don pour le commerce et ses talents de cuisinière sont autant d’atouts pour trouver des solutions originales dans l’exercice de sa nouvelle activité. Mais on ne s’improvise pas dealer !
Côté casting : Bernadette Lafont, Carmen Maura, Dominique Lavanant...
Verdict : surprenant, politiquement incorrect, original et sympa à voir une fois !
Je suis globalement fan de Bernadette Lafont, je l'adore notamment dans "Prête-moi ta main" !

lundi 24 février 2020

Le Cercle des poètes disparus

Il y a quelques années, j'ai vu "Le Cercle des poètes disparus".
Le pitch : Todd Anderson, un garçon plutôt timide, est envoyé dans la prestigieuse académie de Welton, réputée pour être l'une des plus fermées et austères des États-Unis, là où son frère avait connu de brillantes études. C'est dans cette université qu'il va faire la rencontre d'un professeur de lettres anglaises plutôt étrange, Mr Keating, qui les encourage à toujours refuser l'ordre établi. Les cours de Mr Keating vont bouleverser la vie de l'étudiant réservé et de ses amis...
Côté casting : Robin Williams, Ethan Hawke, Robert Sean Leonard...
Verdict : wow quel film !
Je ne l'ai pas souvent revu, mais il m'a laissé un souvenir impérissable !
J'ai bien sur fini en larmes !
Film à voir absolument, avec une montée en puissance dans l'émotion, malgré les petites touches d'humour savamment distillées par le réalisateur, lorsque l'ambiance est parfois trop pesante...
A voir absolument !

dimanche 23 février 2020

Terminus Elicius

Récemment, j'ai lu le premier livre de Karine Giebel, "Terminus Elicius".
Le pitch : Istres-Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien entre son travail de gratte-papier au commissariat et la maison de sa mère. Elle attend néanmoins qu'un événement vienne secouer le fil de son existence: un regard, enfin, du capitaine Esposito ? La résolution, peut-être, de cette affaire de serial killer qui défraie la chronique phocéenne ? "Vous êtes si belle, Jeanne Si touchante et si belle." Ce soir-là, une lettre, glissée entre deux banquettes, semble combler toutes ses espérances. Un peu trop, même. Car derrière le mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police. Commence alors une correspondance amoureuse qui, pour Jeanne, n'aura de terminus qu'au bout de l'enfer...
Verdict : plutôt décevant. Moi qui étais très impatiente de découvrir cet auteur, je ne suis pas sure d'avoir envie d'en lire d'autres d'elle...

samedi 22 février 2020

La Maison des reflets

Récemment, j'ai lu "La Maison des reflets", de Camille Brissot.
Le pitch  : depuis 2022, les Maisons de départ ressuscitent les morts grâce à des reflets en quatre dimensions qui reproduisent à la perfection le physique, le caractère, et le petit je ne sais quoi qui appartient à chacun. Les visiteurs affluent dans les salons et le parc du manoir Edelweiss, la plus célèbre des Maisons de départ, pour passer du temps avec ceux qu'ils aiment. Daniel a grandi entre ces murs, ses meilleurs amis sont des reflets. Jusqu'à ce qu'il rencontre Violette, une fille imprévisible et lumineuse... Bien vivante.

Qui accepterait de laisser partir un être cher s'il pouvait le garder à ses côtés pour toujours ?
Verdict : plutôt déçue par rapport au pitch, mais le livre est original.

Il aborde les thèmes du deuil, de l'abandon et de la perte d'une façon jamais vue jusque là.
Livre futuriste, utopique ou visionnaire ? Peut-être demain Les Maisons de départ existeront-elles ?...

vendredi 21 février 2020

Coup de cœur court-métrage !


Coup de cœur pour ce très beau court-métrage, que je souhaitais partager avec vous ! 

Bon visionnage, et bonne découverte ! 
Et merci à M. pour le partage : ) ! 

jeudi 20 février 2020

Souviens-toi

Récemment, j'ai aussi lu "Souviens-toi", de (feu) Mary Higgins Clark (paix à son âme).


Le pitch : Menley et son mari Adam, brillant avocat new-new-yorkais, se sont installés pour l’été à Cape Cod, la station balnéaire chic, proche de Boston, avec leur petite fille. Une obsession pour eux : surmonter le traumatisme dû à la disparition accidentelle de leur premier bébé.

Mais on ne parle à Cape Cod que de la mort d’une richissime jeune femme, et des soupçons de meurtre qui pèsent sur son mari, héritier de sa fortune. Dans le même temps, Menley a l’impression d’être environnée de menaces, dans la splendide demeure ancienne qu’ils ont louée, théâtre, deux siècles plus tôt, d’événements dramatiques…
Et nous voici enfermés peu à peu, avec ce couple déjà si douloureusement éprouvé, dans un piège diabolique, comme sait seule les imaginer la romancière...


Verdict : j'ai beaucoup aimé ! 

je l'ai lu très vite, sur un dimanche quasiment, et la magie a opéré ! 

J’ai aimé le style, les personnages, leur psychologie, leur description, la construction du récit, l'évolution de l'intrigue ! 

J'en ai lus quelques uns d'elle, sans toujours forcément le même enthousiasme, mais celui-ci demeurera parmi ceux que j'ai vraiment aimé ! 

mercredi 19 février 2020

Un(e) secte

Récemment, j'ai lu le dernier livre de Maxime Chattam, "UN(e) secte", que j'attendais de lire depuis presque un an ! 



Le pitch : à Los Angeles, un tueur laisse ses victimes à l'état de squelette en seulement quelques heures. Dans le même temps, à New York, un ravisseur s'attaque à de jeunes gens passionnés par l'apocalypse. Atticus Gore et Kat Kordell sont les seuls à pouvoir comprendre ce qui se passe, mais ils manquent de temps

Verdict : mais quelle déception encore une fois ! 

Depuis son avant-dernier opus, je ne sais si l'auteur veut innover ou se renouveler mais pour moi, le charme n'agit plus...


Avant, Maxime Chattam me faisait frissonner, ses livres me donnaient des palpitations, ils étaient de parfaits page turner, j'avais juste envie de me cloîtrer deux jours pour les lire d'un trait, j'avais du mal à les poser, mais ça, c'était avant...

mardi 18 février 2020

Tu mourras moins bête tome 5

Ces jours-ci, j'ai aussi lu le tome 5 de la BD "Tu mourras moins bête : quand y en a plus y en a encore", de Marion Montaigne, qu'un ami, fan lui aussi,  m'avait prêté.



Le pitch : la prof revient faire la lumière sur les absurdités scientifiques des films, les recherches improbables et les expérimentations du quotidien. Pourquoi les héros de Game Of Thrones utilisent-ils des corbeaux voyageurs et non des pigeons ? Et pourquoi les générations pleurent-ils de joie au doux nom de "CRISPR-CasY ? ". Sortez de la pénombre de l'ignorance, suivez la lanterne du prof.

Verdict : j'ai adoré ! 

J'ai souri, j'ai éclaté de rire toute seule dans la salle d'attente du kiné ! 

J'avais bien aimé aussi les quatre premiers tomes de la série, lus avant, mais là j'ai trouvé ce dernier opus particulièrement drôle ! 

lundi 17 février 2020

Glory boom


Récemment, j'ai lu "Glory boom", de Killian Arthur.

Le pitch : au cours des trois derniers mois, j'ai fait deux fois la couverture de People et cinq fois celle de Voici. En tapant mon nom sur Google, on obtient deux millions de résultats. Je suis français, américain, japonais, brésilien, mondial. Je suis un it boy. Je suis une putain de star. Et qu'ai-je fait pour en arriver là ? Rien. Je suis quelqu'un qui ne fait rien. Je me lève le matin et je me couche le soir sans avoir rien fait.

Alors j'imagine que j'ai eu de la chance, mais un détail me tracasse quand même : Il paraît qu'on mesure un homme à la somme de ses actes. Or cela ne peut signifier qu'une seule chose : je n'existe pas." Ainsi commence la confession d'Avril Alken, 27 ans, qui est ce que notre époque a produit de meilleur, c'est-à-dire le pire : une célébrité sans talent, un artiste sans art, un monstre sacré par YouTube.
De Londres à Hollywood en passant par Las Vegas, Avril nous invite avec humour et cruauté à le suivre au pays des merveilles, où fiction et réalité se confondent sous l'effet des flashs, des pilules et des étranges menaces de mort qu'il reçoit. Une fresque pop, trash et palpitante. Le portrait d'une génération qui rêve d'entrer dans l'histoire sans en écrire une ligne : celle du Glory Boom.


Verdict : j'ai aimé ! 

Drôle, se lit très bien, détonne, et change de mes lectures habituelles ! 

Avec férocité et humour, parfois en caricaturant (à peine), il dépeint la vie des célébrités fugaces.

De palaces en rails de coke, de Vegas en paradis artificiels, de Charybde en Silla, découvrez la vie d’un candidat de télé-réalité.

A mi chemin entre Las Vegas Parano et American Psycho, le livre offre un final insoupçonnable et stupéfiant, qui remet en cause toute sa lecture !

 Suivez la vie d’Avril Alken, du firmament de sa gloire jusqu’à sa chute, ou du moins de celui qui se présente comme tel…

dimanche 16 février 2020

Quatre garçons plein d'avenir

Il y a quelques années de cela, j'ai vu le film "Quatre garçons plein d'avenir".
Le pitch : les aventures de quatre copains, étudiants en droit à Aix-en-Provence. Parmi eux, Arnaud, le bon gros, vient d'apprendre qu'il redouble sa première année pour la troisième fois. Devant son désespoir, ses trois amis décident de l'aider. Ils iront cette nuit même changer les résultats des écrits d'Arnaud. Promesse tenue et Arnaud se retrouve le jour même admis à passer l'oral.
Côté casting : Olivier Brocheriou, Stéphan Guérin-Tillié, Olivier Sitruk , Eric Berger...                                        ,
Verdict : sympa, à voir une fois, pour rire, et voir les vues d'Aix et de sa fac de droit (pas mal quand on est aixois, et que l'on y a été) !

samedi 15 février 2020

My father ce héros

Il y a quelques années de cal, suite au visionnage de la version française, "Mon père ce héros", j'ai eu l'occasion de voir son remake américain : "My father ce héros".
Le pitch  :Les vacances s'annoncent mouvementées pour Nicole : son père ne la laisse pas franchement profiter de sa jeunesse et l'empêche de s'amuser comme toute personne de son âge. Il désapprouve d'ailleurs l'idylle naissante entre sa fille et Ben, un jeune homme de dix-sept-ans. Lassée d'être traitée comme une enfant, elle s'invente une autre vie : son père n'est autre que son fiancé, qui l'aurait sauvée d'une vie de dépravée.
              Côté casting : Gérard Depardieu, Katherine Heigl, Lauren Hutton. Dalton James, Emma Thompson..                    
Verdict : très sympa aussi, même si j'ai une préférence pour la version française !
Je vous mets un morceau de la b.o. que j'aime beaucoup :
A voir !                     

vendredi 14 février 2020

90 livres cultes à l'usage des personnes pressées

Il y a quelques années, j’avais lu "90 livres cultes à l'usage des personnes pressées", d'Henrik Lang.



Le pitch : vous avez mis des années à peaufiner le sourire niais que vous arborez dès que quelqu’un mentionne Proust ou Joyce devant vous. Vous êtes persuadé que L’Histoire de Pi est un une émission de télé-réalité et 1984 vous évoque Duran Duran ou la création de Canal +. Nous sommes là pour vous sauver ! 90 livres cultes à l’usage des personnes pressées est la solution idéale pour ceux qui n’ont pas le temps de lire toutes les pages de Gatsby le Magnifique ou d’Orgueil & Préjugé. Nous vous proposons La Nausée résumée en cinq phrases. Mort d’un commis voyageur en trois cases de bande dessinée. Bref, nous vous offrons la crédibilité littéraire dont vous rêviez pour vos dîners en ville, tout ça en moins de temps qu’il n’en faut pour épeler L’ingénieux Hidalgo Don Quichotte de la Manche.

Verdict : j’adore l'idée, j'adore le principe, j'adore le résultat ! 

Résumer de grands classiques de la littérature et résumer en quatre cases de bande-dessinée leur substantifique moelle, il fallait oser, il fallait le faire ! 

Essai transformé selon moi ! 

J'avais tellement aimé que que j'ai récemment lu la suite , "90 autres livres cultes à l"usage des personnes pressées", du même auteur.

Encore une fois, pari gagné, j'ai souri tout le long ! 

Il existe aussi la même bande-dessiné pour les films, "90 films cultes à l'usage des personnes pressées", et le billet sur ce thème existe lui aussi sur mon blog ! 

jeudi 13 février 2020

Cosmétiques 2020/4

Des cosmétiques, again and again ! 

Voilà le 4e et dernier billet pour le moment de 2020, après je serai à jour des derniers tests beauté dont je voulais vous parler ! 

On commence avec un masque au Tea Tree, de The Body Shop


Gentiment offert par une amie, mais trop fort pour moi, il ne convient pas à ma peau...

Puis un masque base de maquillage de chez Sephora


Autre cadeau dont je n'ai pas été fan. Je n'aime définitivement pas les masques ne tissus, je les préfère en crème, là il y avait plein de résidus une fois le masque enlevé. Échec, malgré une bonne odeur et une jolie couleur ! 

On poursuit avec un nettoyant visage de chez Sephora, tonifiant : 


Pas mal, mais je n'ai pas aimé l'odeur trop forte, et pour cause, c'est un produit masculin...

On continue avec le déodorant bille fleur de coton, de Cadum

Odeur neutre assez agréable, mais pas asse efficace pour moi, et ne couvre pas assez l'odeur de transpiration selon moi ! 

Un autre déo', en spray, à la fleur d'oranger, de la marque Ushuaïa : 


J'aime bien l'odeur, et le format compressé, mais le bouton du pschitt est un peu rigide, sinon pas mal ! 

Et un autre déo', un bio de la marque Respire, en petit format, au thé vert : 


Je le trouve pas mal ! Bonne odeur, couvre bine l'odeur de la transpiration, l'existence de deux formats est pas mal ; on le trouve pour le moment chez Monoprix et Sephora. je recommande d'acheter plutôt le grand format car la bille du petit format est trop petite pour un bon usage...

Puis trois produits de chez Embryolisse

l'eau de beauté : 


Bon produit, bonne odeur discrète, a nettoyé ma peau sans l'agresser ni l'irriter ! 


la crème pour les mains : 

Odeur subtile et délicieuse, texture légère qui pénètre immédiatement et hydrate bien, je rachèterai ! 


et le lait concentré : 


Produit mythique dont j'avais souvent entendu parler dans la presse, et que j’avais hâte de tester ! 

Je n'ai pas été déçue, au contraire, j'ai été éblouie ! 

J'ai adoré son odeur, sa texture fine, la sensation à l'application sur la peau, et le rendu sur le teint ! 

Je rachèterai aussi ! 

Et un lot de produit de chez Laneige, un kit pour flouter le spores, reçu à Noël : 


Ce coffret contient :
- Un Nettoyant Moussant Multi-Actions 30 ml

- Une Lotion Tonique 50 ml
- Un Gel Hydratant 10 ml
- Un Perfecteur de Teint 10 ml
- Un Masque à l'Argile et à l'eau de Menthe 15 ml


Globalement, j'aime beaucoup les produits de ce kit ! Super odeur, super textures très légères ! 

Juste pas trop accroché le masque à l'argile et la menthe...


Voilà, c'est tout pour cette fois-ci, alors en attendant la suite...