mercredi 28 mars 2018

Falafel sauce atomique

Le week-end dernier, j'ai regardé "Falafel sauce atomique", une comédie israélienne (je crois) qui était diffusée sur Arte, et dont la bande-annonce m'avait intriguée.

Le pitch :

Plus passionnées par Facebook que par la politique, deux adolescentes tentent d'empêcher une guerre nucléaire entre l’État hébreu et l’Iran. Une comédie satirique qui a fait sensation en Israël avant même sa sortie. 
Au milieu du désert israélien, Mimi élève seule sa fille de 15 ans, Nofar. Sous la surface du terrain où elles ont installé leur food truck, qui ravitaille en falafels les soldats de la base militaire voisine, se trouve une centrale secrète de commandement censée anticiper une éventuelle attaque nucléaire iranienne. Lorsque l’Agence internationale de l’énergie atomique envoie des inspecteurs sur place, Mimi tombe amoureuse d’Oli, un Allemand chargé de vérifier les installations. Le général Haim y voit une menace pour la sécurité nationale et entreprend de mettre fin à cette relation. Pendant ce temps, Nofar tisse sur Internet des liens avec Sharareh, qui habite dans un village du nord de l’Iran où est enrichi du plutonium. Les deux adolescentes deviennent amies et aident à leur manière Mimi et Oli à empêcher le déclenchement d’une guerre nucléaire…
Coup de pub
Cette comédie sarcastique a fait beaucoup parler d’elle alors même qu’elle n’était pas encore sortie en salles. À l’origine de ce retentissement, une affiche géante placardée dans le centre de Tel-Aviv. Annonçant l’ouverture prochaine d’une ambassade iranienne dans la ville, elle a alimenté les spéculations des internautes sur les motivations de cette publicité. Célèbre en Israël pour Operation Grandma (1999) et Sweet Mud (Ours de cristal à la Berlinale 2007), le réalisateur Dror Shaul s’illustre une fois de plus par sa capacité à aborder des sujets sérieux avec distanciation et humour. Il livre ici un savoureux divertissement dénonçant l’ultra militarisme de son pays.

Côté casting, les noms ne vous parleront pas plus qu'à moi : Michelle Treves, Mali Levi Gershon, Alexander Fehling, Shai Avivi ,Tara Melter...
Verdict : c'était loufoque et décalé, j'ai halluciné par certains côtés, mais j'ai au final bien aimé !

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