Je préfère commenter ici, même s'il n'y a qu'un lien vers l'article sur l'autre blog... Alors, voilà quelques pensées que m'ont inspiré la lecture de cet article: "je pense, les années avançant, que le bonheur passe plus par l’acceptation de soi que par la connaissance de soi." Possible, mais j'ai envie de répondre qu'il est beaucoup plus compliqué d'accepter ce qu'on ne connait pas. "Ennemie pour le côté critique, l’œil avisé qui permettrait de me remettre dans le droit chemin les quelques fois où je m’égare sur des sentiers nocifs, auprès de personnes toxiques ou qui cherchent à dénaturer qui je suis et ce que je suis." Pour moi, ce que tu décris là est aussi le rôle d'un(e) ami(e). La principale différence étant la bienveillance avec laquelle cela doit être fait, qu'on retrouvera chez l'ami mais pas chez l'ennemi. "S’aimer quand on le mérite, et être capable de se réprimander si on démérite." Peut-être est-il encore plus important d'être capable de s'aimer quand on démérite... "Car au bout du compte, comme le dit la chanson, « on est toujours tout seul au monde »" Un peu pessimiste ton choix de chanson. J'en citerai plutôt une autre: « on n'est riche que de ses amis, c'est dit. »
Je préfère commenter ici, même s'il n'y a qu'un lien vers l'article sur l'autre blog...
RépondreSupprimerAlors, voilà quelques pensées que m'ont inspiré la lecture de cet article:
"je pense, les années avançant, que le bonheur passe plus par l’acceptation de soi que par la connaissance de soi."
Possible, mais j'ai envie de répondre qu'il est beaucoup plus compliqué d'accepter ce qu'on ne connait pas.
"Ennemie pour le côté critique, l’œil avisé qui permettrait de me remettre dans le droit chemin les quelques fois où je m’égare sur des sentiers nocifs, auprès de personnes toxiques ou qui cherchent à dénaturer qui je suis et ce que je suis."
Pour moi, ce que tu décris là est aussi le rôle d'un(e) ami(e). La principale différence étant la bienveillance avec laquelle cela doit être fait, qu'on retrouvera chez l'ami mais pas chez l'ennemi.
"S’aimer quand on le mérite, et être capable de se réprimander si on démérite."
Peut-être est-il encore plus important d'être capable de s'aimer quand on démérite...
"Car au bout du compte, comme le dit la chanson, « on est toujours tout seul au monde »"
Un peu pessimiste ton choix de chanson. J'en citerai plutôt une autre: « on n'est riche que de ses amis, c'est dit. »