Récemment, j'ai aussi vu "Trois souvenirs de ma jeunesse", que j'avais raté lors de sa sortie ciné ET lors de sa rediffusion dans le cadre du Festival Télérama.
Le pitch : Paul Dédalus va quitter le Tadjikistan. Il se souvient… De son enfance à Roubaix… Des crises de folie de sa mère… Du lien qui l’unissait à son frère Ivan, enfant pieux et violent…Il se souvient… De ses seize ans… De son père, veuf inconsolable… De ce voyage en URSS où une mission clandestine l’avait conduit à offrir sa propre identité à un jeune homme russe… Il se souvient de ses dix-neuf ans, de sa sœur Delphine, de son cousin Bob, des soirées d’alors avec Pénélope, Mehdi et Kovalki, l’ami qui devait le trahir… De ses études à Paris, de sa rencontre avec le docteur Behanzin, de sa vocation naissante pour l’anthropologie… Et surtout, Paul se souvient d’Esther. Elle fut le cœur de sa vie. Doucement, « un cœur fanatique ».
Le film est présenté dans la sélection "La Quinzaine des Réalisateurs" au Festival de Cannes 2015.
Le film a obtenu un prix "Meilleur réalisateur pour Arnaud Desplechin et 10 nominations aux Césars 2016.
Côté casting : Quentin Dolmaire, Mathieu Amalric et Lou Roy-Lecollinet, trois acteurs qui me sont très antipathiques !
Quelle déception que ce film !
Je me suis ennuyée du début à la film.
Le film est construit autour de trois souvenirs, de longueur inégale, que le narrateur nous raconte en voix off tandis que les évènements dont il se souvient défilent sur l'écran...
Je n'ai pas aimé !
Le film est construit autour de trois souvenirs, de longueur inégale, que le narrateur nous raconte en voix off tandis que les évènements dont il se souvient défilent sur l'écran...
Je n'ai pas aimé !
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