mardi 22 mai 2018

Shortbus

Il y a quelques jours, j'ai vu le film "Shortbus", après une discussion avec un ami, qui m'avait intriguée.


Le pitch : Shortbus suit plusieurs personnages new-yorkais dont les aventures tragi-comiques naviguent entre sexualité et sentiments. Tous fréquentent un club underground moderne, Shortbus, où s'expriment toutes les sexualités.

Sofia est sexologue et n'a jamais connu l'orgasme. Avec son mari Rob, elle simule le plaisir depuis des années. Sofia croise Severin, une maîtresse dominatrice qui tente de l'aider.
Parmi les patients de Sofia, James et Jamie sont un couple gay qui tente d'ouvrir ses relations sexuelles à un troisième partenaire. James propose une relation avec Ceth, mais Jamie reste sur ses gardes. James semble avoir un projet secret. Il est suivi par un mystérieux observateur, Caleb...

Verdict : j'ai été très choquée ! 

Pour moi, le film est dans la même veine que le film "Love", que j'avais déjà blogué.

Et pourtant, "Love" m'avait déjà pas mal surprise...

Le film a été interdit aux moins de 16 ans, lors de sa sortie en 2005 ; à mes yeux, il s'agit objectivement, et avant tout, d'un film porno.

Le film parle de libertinage, de sexe, de sexualité, de couple, de triolisme, d'échangisme...

L'ami qui me l'a vendu pense que je suis passée complètement à côté du film qui, selon lui, aborde comment vivre et assumer son histoire personnelle, l'amour, les contraintes et autres pressions sociales et comment s'en affranchir, la liberté...

Cela me rappelle un peu Stanley Kubrick vendant, au moment de sa sortie, le film "Eyes Wide Shut", comme un film abordant "les valeurs de la famille" (je cite)...

Ce n'est malheureusement pas ce que j'en retient, et je n'ai de toute façon pas aimé le film, il m'a profondément ennuyée.


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