Lors de mes dernières vacances, en février, j'ai lu "Ferragus", de Balzac.
Le pitch : une femme, généreuse et belle comme un ange, soupçonnée d'adultère ; un jeune officier qui se lance dans la plus vaine et maladroite des enquêtes ; un agent de change égaré dans les affres de la passion ; une somme d'argent qu'on n'explique pas ; une société secrète (les Dévorants) dont les membres entendent exercer l'absolutisme de leur bon plaisir ; des duels, des assassinats, des suicides ; une évocation de Vidocq ; le tout sur un fond de ville monstre - Paris - gigantesque théâtre des fièvres de la Restauration : tout Balzac est déjà dans Ferragus qui apparaît comme l'une des étapes essentielles du grand œuvre, l'un des romans fondateurs de ce qui deviendra "La Comédie humaine".
Verdict : j'ai détesté !
Je n'ai pas été emportée par l'écriture, ou l'histoire, et moi qui avais envie de relire du Balzac, ou le redécouvrir via d'autres textes, cela m'a bien refroidie...
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