Récemment, j'ai lu "Réparer les vivants", de Maylis de Kerangal.
J'en avais assez que tout le monde me parle de cet auteur, sans que je l'ai jamais lue.
Le pitch : "Le coeur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d'autres provinces, ils filaient vers d'autres corps". "Réparer les vivants" est le roman d'une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d'accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le coeur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l'amour.
Verdict : j'ai détesté !
Avec des phrases de la longueur d'une page, j'ai subi le livre, le style, l'écriture, le récit.
Pour moi, le livre est aussi froid que le scalpel utilisé pour le prélèvement d'organes.
Pour moi, le livre est aussi froid que le scalpel utilisé pour le prélèvement d'organes.
Bref, aucune envie d e ire autre chose de cet auteur et de renouveler l'expérience pour mieux la connaître !
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