Il y a quelques jour, j'ai fini de lire "Le Cri", de Nicolas Beuglet, qui m'avait été conseillé par ma belle-sœur.
Le pitch : À quelques kilomètres d'Oslo, l'hôpital psychiatrique de Gaustad dresse sa masse sombre parmi les pins enneigés. Appelée sur place pour un suicide, l'inspectrice Sarah Geringën pressent d'emblée que rien ne concorde. Le patient 488, ainsi surnommé suivant les chiffres cicatrisés qu'il porte sur le front, s'est figé dans la mort, un cri muet aux lèvres – un cri de peur primale. Soumise à un compte à rebours implacable, Sarah va découvrir une vérité vertigineuse sur l'une des questions qui hante chacun d'entre nous : la vie après la mort...
Verdict: j'ai adoré ! Je l'ai dévoré ! Cela m'a passionnée !
Cela m'a aussi donné envie d'en lire d'autres de cet auteur, soit son précédent, "Complot", dans lequel je vais bientôt me plonger avec délice, et qui s'annonce, à la vue du résumé, tout aussi savoureux...
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