Entre vendredi dernier et hier soir, j'ai pu profiter du Festival Télérama pour voir des films que j'avais manqué l'an dernier...
8 jours durant lesquels il nous était offert de voir les "16 meilleurs films de 2014".
Au programme :
Only Lovers Left Alive
de Jim Jarmusch
de Jim Jarmusch
Bande de filles
de Céline Sciamma
de Céline Sciamma
Léviathan
de Andrei Zvyagintsev
de Andrei Zvyagintsev
Dans la cour
de Pierre Salvadori
de Pierre Salvadori
Eastern Boys
ce Robin Campillo
ce Robin Campillo
Under the Skin
de Jonathan Glazer
de Jonathan Glazer
Hippocrate
de Thomas Lilti
de Thomas Lilti
Le garçon et le monde
de Alê Abreu
de Alê Abreu
Winter Sleep
de Nuri Bilge Ceylan
de Nuri Bilge Ceylan
Je n'ai pas d'explication quand au fait qu'aujourd'hui mon blog tolère les images via copié collé, c'est un peu vrac en même temps mais je n'arrive pas à faire mieux...
Bon, donc sur les 16 films proposés, j'en avais déjà vus 3 : "Under the skin" (quelle horreur !), "Hippocrate" (très bien ! ) et "Grand Budapest Hotel" (à voir ! ).
J'ai donc saisi l'occasion d'aller voir les 3 que je voulais voir et que j'avais loupé : "Une nouvelle amie", "Dans la cour" et "Only lovers left alive".
Bon, dans l'absolu, j'aurai bien vu aussi "Mommy", "Saint Laurent" et "Eastern boys", amis je n'étais pas dispo au moment de leur diffusion. C'était assez mal fait cette année la programmation dans le sens où il y avait un jour par film, et pas plusieurs séances sur plusieurs jours pour les films proposés.
Mais revenons à nos moutons et laissez-moi vous parler des trois films que j'ai vu.
Commençons par "Dans la cour".
J'ai détesté ! Et je serai bien incapable de vous dire exactement ce que le film raconte. Cela parle de la vie d'un immeuble, de son gardien, d'addictions, d'obessions...
Côté casting, on retrouve Catherine Deneuve et Gustave Kervern (je ne le connaissais pas) dans les deux rôles principaux.
Le pitch : Antoine est musicien. A quarante ans, il décide brusquement de mettre fin à sa carrière. Après quelques jours d'errance, il se fait embaucher comme gardien d'immeuble. Jeune retraitée, Mathilde découvre une inquiétante fissure sur le mur de son salon. Peu à peu, son angoisse grandit pour se transformer en panique : et si l'immeuble s'effondrait... Tout doucement, Antoine se prend d'amitié pour cette femme qu'il craint de voir sombrer vers la folie. Entre dérapages et inquiétudes, tous deux forment un tandem maladroit, drolatique et solidaire qui les aidera, peut-être, à traverser cette mauvaise passe.
Heureusement qu'il y avait le charmant Pio Marmaï, mais cela ne m'a tout de même pas empêché de piquer du nez...
J'ai aussi vu "Only lovers left alive".
Bon, dans l'absolu, j'aurai bien vu aussi "Mommy", "Saint Laurent" et "Eastern boys", amis je n'étais pas dispo au moment de leur diffusion. C'était assez mal fait cette année la programmation dans le sens où il y avait un jour par film, et pas plusieurs séances sur plusieurs jours pour les films proposés.
Mais revenons à nos moutons et laissez-moi vous parler des trois films que j'ai vu.
Commençons par "Dans la cour".
J'ai détesté ! Et je serai bien incapable de vous dire exactement ce que le film raconte. Cela parle de la vie d'un immeuble, de son gardien, d'addictions, d'obessions...
Côté casting, on retrouve Catherine Deneuve et Gustave Kervern (je ne le connaissais pas) dans les deux rôles principaux.
Le pitch : Antoine est musicien. A quarante ans, il décide brusquement de mettre fin à sa carrière. Après quelques jours d'errance, il se fait embaucher comme gardien d'immeuble. Jeune retraitée, Mathilde découvre une inquiétante fissure sur le mur de son salon. Peu à peu, son angoisse grandit pour se transformer en panique : et si l'immeuble s'effondrait... Tout doucement, Antoine se prend d'amitié pour cette femme qu'il craint de voir sombrer vers la folie. Entre dérapages et inquiétudes, tous deux forment un tandem maladroit, drolatique et solidaire qui les aidera, peut-être, à traverser cette mauvaise passe.
Heureusement qu'il y avait le charmant Pio Marmaï, mais cela ne m'a tout de même pas empêché de piquer du nez...
J'ai aussi vu "Only lovers left alive".
Ce film m'avait interpellée et intriguée au moment de sa sortie, et j'avais été très déçue d el'avoir raté. Je n'aurai pas dû, j'ai détesté encore plus que le précédent !
Quelle horreur ce film ! C'est long, c'est lent, c'est dénué de tout intérêt, et il ne s'y passe absolument rien !
Le pitch : Dans les villes romantiques et désolées que sont Détroit et Tanger, Adam, un musicien underground, profondément déprimé par la tournure qu’ont prise les activités humaines, retrouve Eve, son amante, une femme endurante et énigmatique. Leur histoire d’amour dure depuis plusieurs siècles, mais leur idylle débauchée est bientôt perturbée par l’arrivée de la petite sœur d’Eve, aussi extravagante qu’incontrôlable. Ces deux êtres en marge, sages mais fragiles, peuvent-ils continuer à survivre dans un monde moderne qui s’effondre autour d’eux ?
Bref, je ne le recommande pas non plus !
Enfin, j'ai vu "Une nouvelle amie", le dernier François Ozon, raté lors de sa sortie en salle.
Avant d'aller le voir, et vu le pitch, j'avais une vague idée de ce que j'allais potentiellement trouver dans le film. Je sais que j'aime bien le cinéma de ce réalisateur, mais je ne peux pas nier que ses films sont "space" (exemple : "Swimming pool", "Jeune et jolie", "Dans la maison", ou encore "les Amants criminels"), hormis le plus "classique" et plus "sage" "8 femmes" (top ! ), ou le plus comique "Potiche".
Le pitch : À la suite du décès de sa meilleure amie, Claire fait une profonde dépression, mais une découverte surprenante au sujet du mari de son amie va lui redonner goût à la vie.
Difficile d'en dire plus sans dévoiler toute la substantifique trame du film...
Dans le tandem de choc, on retrouve Romain Duris, très amaigri pour l'occasion, quasi squelettique, et Anaïs Demoustier, jeune actrice montante et prometteuse ! A leurs côtés, le charmant Raphaël Personnaz.
Le film est torturé, troublant, dérangeant, émouvant ! J'ai eu plusieurs fois les larmes aux yeux. La fin nous fait nous questionner, elle est sujette à de multiples interprétations possibles, selon la sensibilité, la compréhension, l'interprétation et le choix du spectateur.
J'ai adoré ce film (qui a sauvé mon festival ^^), et celui-ci, je le recommande vivement !
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