Ted

Hier soir, j'ai vu "Ted".

 

 

Je vous resitue le contexte.

 Il était déjà passé plusieurs fois à la TV sans que je puisse le voir, et même si je savais que j’allais regarder une daube, c’était l’enchainement parfait, après une bonne douche, un masque pour les cheveux, et pour le visage ; en plus, j’avais prévu de le regarder d’on œil en refaisant mon vernis à ongles !

Le pitch : À 8 ans, le petit John Bennett fit le voeu que son ours en peluche de Noël s’anime et devienne son meilleur ami pour la vie, et il vit son voeu exaucé. Presque 30 ans plus tard, l’histoire n’a plus vraiment les allures d’un conte de Noël. L’omniprésence de Ted aux côtés de John pèse lourdement sur sa relation amoureuse avec Lori. Bien que patiente, Lori voit en cette amitié exclusive, consistant principalement à boire des bières et fumer de l’herbe devant des programmes télé plus ringards les uns que les autres, un handicap pour John qui le confine à l’enfance, l’empêche de réussir professionnellement et de réellement s’investir dans leur couple. Déchiré entre son amour pour Lori et sa loyauté envers Ted, John lutte pour devenir enfin un homme, un vrai !

 

Verdict : c’était bien une daube, comme prévu, mais j’avoue avoir souri face à certaines répliques inattendues et totalement politiquement incorrectes ! Et bien sûr, je suis toujours atterrée devant ce genre de film dans lesquels tout le monde semble trouver normal des choses inenvisageables ! Exemple, ici , tout le monde trouve cela normal qu’on ours en peluche soit vivant, mais également qu’il travaille comme caissier dans un grand magasin, fume, se drogue, et aie un langage ordurier et une gestuelle tendancieuse…

 

Côté casting, Mila Kunis et Mark Wahlberg nous avaient tous les deux habitués à mieux choisir leurs rôles…Je pense notamment au film « Black Swan » pour elle, et au mignon « Sexe entre amis ».