mardi 25 février 2014

Les Onze Commandements

Les Onze Commandements…

Le film était déjà passé la semaine dernière, mais je l’avais raté, et comme j’ai eu l’occasion de le voir hier soir, vu qu’il était rediffusé, je me suis mise devant.

Croyez-mi, je regrette d’avoir perdu du temps de sommeil pour cela ! Et d’avoir gâché du temps, et gaspillé de l’énergie à lutter contre la fatigue pour le regarder !


J’avais bien une ide de ce qu’il y avait derrière ce film, mais j’étais tellement en dessous de la réalité !

Je comptais dire que c’était une daube, mais je ne vais finalement pas m’arrêter, et je vais développer, car le mot « daube » n’est encore pas assez fort pour tenter de vous faire passer ce que j’ai ressenti devant ce film !

Je me suis ennuyée au plus haut point : c’est nul, vulgaire, grotesque !

Outre l’ennui, j’ai été atterrée, affligée : comment un film pareil a-t-il intéressé des gens, qui ont ensuite souhaité le financer ? Ca n’aurait pas été une lourde perte pour l’humanité si le film n’avait jamais vu le jour.

On m’avait dit le film drôle…Plaît-il ? ! Cela ne m’a pas arraché un sourire !

Le film est bête et minable, il raconte les « exploits » d’un groupe d’adultes (on se demande s’ils ont atteint au niveau du développement la puberté, ou même pas) dont le seul but dans la vie semble d’être faire chier le monde, emmerder le commun des mortels, pourrir la vie de gens qui n‘ont rien demandé (et n’ont rien fait de mal) !

On les voit ainsi dégrader une chambre d'hôtel, un appartement, un autre, scier un scooter en deux, réduire à l'état de cube une voiture, faire un concours d'outrages à agents...gros plan réguliers sur des gens en train de vomir, cracher, des paires de fesses, le mot "bite" est un leitmotiv qui revient tout au long du film, sous forme de mot, ou de costume, et j'en passe ! 

C’est ça les idoles des jeunes ? Les exemples ?! Il vaut mieux s’en passer que d’avoir ceux-là je pense !

Pour conclure, je dirai que Michael Youn propose de l’humour fait par des beaufs, et pour des beaufs, et qu’il pense sans doute qu’au niveau du corps humain, c’est dans les fesses que m‘intelligence est stockée, car le film est rythmé par les vues sur son postérieur, et presque pas une scène ne se passe sans qu’il se dessape ! Et vu que ce n’est même pas un Apollon…


Ce billet est sans doute plus mal écrit et vulgaire que la plupart des autres, mais je suis remontée contre ce genre de « cinéma » et les gens qui l’encensent, pour leur donner une place qu’il ne mérite certainement pas ! 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire