Hier soir, toujours, après "Notre univers impitoyable", je n’étais pas fatiguée, et je me suis laissée tenter par le second film proposé ce soir là sur France 4 : "Je suis heureux que ma mère soit vivante".
Le film était de plus annoncé comme un chef d'oeuvre, un petit bijou, à peu près en ces termes là.
J'étais sceptique, mais j'ai décidé de tenter.
Wow !
Je pense que c'est l'un de ces films qui ne peut pas laisser indifférent, et dont l'on ne sort pas indemne !
C'est un choc cinématographique, un coup de poing dans le ventre, un film qui vous prend aux tripes dès les premières secondes, dès les images de début.
Le film est loin d'être léger, alors si vous êtes à la rechercher d'un divertissement agréable, passez votre chemin, ce n'est pas ce film là qu'il vous faut...
Le pitch ? Notre identité est un vêtement dont notre enfance a dessiné les coutures. La présence de ceux qui nous ont élevés, nos parents, a été fondatrice de ce que nous sommes. Mais que se passe-t-il quand il s'agit d'absence ? C'est une des questions posées par notre histoire.
Entre 7 et 20 ans, Thomas a recherché Julie, sa mère biologique. A l'insu de ses parents adoptifs, il va retrouver cette femme qui l'a abandonné à 4 ans et commencer auprès d'elle une "double vie". Mais "qui a deux maisons perd la raison..." dit le proverbe.
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