Holy Motors

Cet été, j'ai vu, sur les conseils d'un "ami" (lol, c'est pour la blague ^^), "Holy Motors".

J'en avais vaguement entendu parler lors de sa sortie ciné, sans voir la bande-annonce, et sans être tentée par ce que j'en avais entendu.

Je dirai qu'il s'agit d'un cinéma plus indépendant, plus underground, et moins "main stream". Cinéma que j'aime aussi regarder et découvrir, habituellement...

Pour ceux intéressés, cela passe ce soir sur Arte.Et ils enchaînent avec un second film du même réalisateur, et je sais déjà qui ne sera pas devant : MOI !

Personnellement, je n'ai rien compris, et j'ai détesté ! 

Pendant le visionnage, je suis allée lire des articles sur le film sur le net, pour tenter de comprendre ce qu'on cherchait à me raconter ! 

Voici le pitch donné sur le net : de l'aube à la nuit, quelques heures dans l'existence de Monsieur Oscar, un être qui voyage de vie en vie. Tour à tour grand patron, meurtrier, mendiante, créature monstrueuse, père de famille... M. Oscar semble jouer des rôles, plongeant en chacun tout entier - mais où sont les caméras ? Il est seul, uniquement accompagné de Céline, longue dame blonde aux commandes de l'immense machine qui le transporte dans Paris et autour. Tel un tueur consciencieux allant de gage en gage. À la poursuite de la beauté du geste. Du moteur de l'action. Des femmes et des fantômes de sa vie. Mais où est sa maison, sa famille, son repos ?

Voilà voilà voilà, même le pitch est énigmatique !