lundi 22 septembre 2014

Shirley : visions of reality

Ce week-end, je suis aussi allée voir "Shirley : visions of reality", le fil réalisé en mettant en scène des tableaux du peintre Edward Hopper ! 


Esthétiquement, c'est innovant, c'est du jamais vu, c'est incroyable, c'est bluffant et très beau ! 

Mais c'est un peu long, il n'y pas de lien réel entre chaque séquence, qui représente un tableau...

Le pitch  : Un hommage à la peinture d’Edward Hopper et aux États-Unis des années 1930 à 1960. Une impressionnante reconstitution de treize tableaux prenant vie et restituant le contexte social, politique et culturel à travers le regard du personnage féminin, Shirley.

Une œuvre unique, véritable rencontre du cinéma et de la peinture.


Un hommage à la peinture d’Edward Hopper et à la vie quotidienne américaine des années 1930 aux années 1960, avec la mise en scène de treize de ses tableaux prenant vie et restituant le contexte social, politique et culturel de l’époque à travers le regard du personnage féminin, Shirley.

Personnage directement inspiré de Joséphine son épouse, un modèle unique et froid. La vision d’une réalité ordinaire, sans concession.

Je vous joins quelques critiques qui résument bien ma pensée : 


LA CRITIQUE DE PREMIERE

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    Fasciné par l’œuvre du peintre américain, Gustav Deutsch a eu l’idée de raconter une histoire à partir d’une série de ses toiles. Son personnage principal est une femme dont chaque étape de la vie est évoquée sous la forme d’un tableau vivant, commenté par la voix de l’actrice. Hélas, en dehors du plaisir esthétique de la reconstitution, il se passe peu de choses entre le début et la fin de chaque séquence, ce qui exige de la part du spectateur une patiente remise en question de sa notion de la durée au cinéma.> Ses dernières critiques : (Shirley : un Voyage dans la Peinture de Edward Hopper) (Un Homme très Recherché)

LES AUTRES AVIS DE LA PRESSE

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  • A voir à lire (
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    Malgré une image pour le moins saisissante de ressemblance avec les tableaux de Hopper, le film pâtit de quelques longueurs - le réalisateur semblant nous inviter à prendre le temps de la contemplation - et le spectateur sera susceptible de se perdre dans les monologues parfois monotones de Shirley.> Ses dernières critiques : (Si Je Reste) (Tout est Faux)
  • StudioCiné Live (
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    Si la plastique est superbe, c'est une autre histoire au niveau dramatique. Quel ennui !> Ses dernières critiques : (Shirley : un Voyage dans la Peinture de Edward Hopper) (L'Institutrice)
  • Télérama (
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    L'univers du peintre Edward Hopper se prête bien à une transposition au cinéma : décors dépouillés, perspectives marquées, éclairages précis... Pour faire vivre ces tableaux, l'artiste autrichien Gustav Deutsch y pose sa griffe : une réflexion sur la lumière et le regard, livrée en voix off. Mais la cérébralité de cette approche assèche les visions de Hopper, qui semblent soudain de pures vues de l'esprit. 

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