Il y a des chansons que je ne peux pas écouter sans pleurer.
Si si, les paroles, la musique, la mélodie, l’intonation de voix de
l’interprète, il y a des choses, dans certains titres, parmi celles-là, qui me
bouleversent et me font immédiatement monter les lares aux yeux.
Quelques exemples : « L’Hymne à l’amour », de
Piaf ; « Le Petit Âne gris », d’Hugues Aufray (on nous l’a fait
apprendre en maternelle, ils sont fous ces profs, ils veulent nous traumatiser
tous jeunes ou quoi ?!) ; « I dreamed a dream », dans
« Les Misérables », « Dernière danse », de Kyo…Ou encore "la Tendresse", "Les Vieux Mariés", de Sardou, la chanson de Duuuuuuuuuumboooooooo (snif), (celle là j'ai même du mal à juste la mentionner!), "Le Sud", "Les Copains d'abord", de Brassens, "Céline", d'Hugues Aufray (encore lui, il abuse avec ses chansons tristes! lol) ! Et il y a aussi "Mon vieux", de Daniel Guichard, "Le plus fort c'est mon père", de Linda Lemay, et "Toi le frère que je n'ai jamais eu" (pas sûre que ce soit le tire, et celle là je sais jamais si elle est de Delpech ou de Le Forestier), "What a wonderful world". Et le pire du pire, les chants de Noël, avec, dans le top 2, "Petit Papa Noël" (et le pire, c'est chantée par mon père : ) ) et "Silent Night".
Ça ne s’explique pas, c’est quelque chose de personnel, dû
au vécu. C’est les paroles qui me touchent, une voix, un regard pendant
l’interprétation, va savoir…Les émotions humaines sont si complexes à cerner…
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