Je n’avais jamais prêté
beaucoup d’attention à Clint Eastwood, sans ignorer pour autant que sa renommée
dans le monde du cinéma n’était plus à faire. J’avais beaucoup entendu parler
de « Gran
Torino », et l’avais beaucoup prêté aux
élèves et aux enseignants de l’école ; aussi, je me suis dit que j’allais
l’emprunter, pour voir de quoi il retournait, et voir si les personnes qui ne
tarissaient pas d’éloge à son propos étaient dans le vrai….Et je dois avouer
que j’ai été bluffée !
« Gran Torino » est de
ces films qui marquent, de ceux dont on ne sort pas indemne, qui ne peuvent pas
laisser indifférents les spectateurs. Sous couvert de fiction, c’est une réelle
leçon qu’apporte le film, et ce à plusieurs niveaux : une leçon de
tolérance, une leçon de courage, une leçon d’amitié, d’entraide, et d’amour.
J’ai été emportée dès les
premières minutes par la mise en scène de Clint Eastwood le réalisateur,
seulement effacée par endroit par Clint Eastwood l’acteur, qui crève l’écran !
Malgré ses deux heures, le film n’est pas assez long et l’on voudrait que ce
conte moderne et très ancré dans son époque ne s’achève jamais tellement Clint
Eastwood et les acteurs qui lui donnent la réplique savent bien nous le
raconter ! Ce film m’a donné envie de mieux connaître l’acteur et le
réalisateur, et dès le lendemain, j’ai donc emprunté « Invictus » . Mais ça c’est une histoire que
je vous raconterai la prochaine fois…
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