Boris Vian a écrit « L’Écume des jours », et Physalia lui a rendu hommage en
composant « L’Écume des nuits ».
La Physalia est une sorte de méduse composée
de quatre polypes, et tout comme eux, les membres du groupe ne peuvent pas exister
les uns sans les autres. Réunis par leur amour des mots et de la musique, trois
musiciens encadrent le chanteur, un poète maudit, dans leur quête de vérité,
leur désir de lever le voile sur les travers de notre monde. Leur violence n’est
jamais loin d’eux quand on les écoute,
et si elle s’exprime aussi bien dans leur musique que dans leurs textes, elle
n’est jamais gratuite. Leur leitmotiv : dénoncer ce que tout le monde
feint d’ignorer. À mi chemin entre le rock progressif et le métal, Physalia ne se réclament pourtant
d’aucun des deux genres en réalité, se frayant un passage entre ces deux
courants afin de créer leur propre style. À travers des morceaux tels que
« Le Silence », « Mon étoile » ou encore « Münchhausen », pénétrez dans cet
univers musical si particulier qui saura vous envoûter, vous attirer, vous
interpeller. Physalia est un doux poison duquel
on ne peut guérir : une fois qu’on y a goûté, on est possédé…
Place au côté obscur de la musique à présent...
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